Le Striketober (littéralement « Grève d’octobre ») [1] : pourtant martelé sans cesse depuis un mois, la majorité des Américains en parle rarement. Peut-être un signe de plus de l’influence déclinante des grands médias...
Ce à quoi nous sommes confrontés régulièrement, en revanche, ce sont les pénuries constantes de main-d’œuvre dans de multiples secteurs de l’économie, ainsi que les perturbations croissantes de la chaîne d’approvisionnement et les hausses stagflationnistes des prix de détail. La notion médiatique de « reprise du pouvoir par la main-d’œuvre » est un récit de fond qu’ils s’efforcent toujours de planter dans le subconscient du public, tandis que la majorité des gens essaient de s’adapter à des préoccupations plus sérieuses.
Cela dit, l’establishment ne se soucie pas vraiment de savoir si la propagande s’installe, mais seulement d’avoir une couverture utile pour l’effondrement très réel de l’économie américaine. C’est une sorte de perversion vicieuse de la stratégie du fake it until you make it. [2]
Striketober, comme BLM, Antifa et de nombreux autres mouvements gauchistes ou freudo-marxistes, a été créé de toutes pièces par une combinaison de battage médiatique et de financement de fondations globalistes. Il est important de reconnaître d’abord qu’aucune de ces organisations gauchistes n’aurait jamais vu le jour sans le soutien généreux d’institutions comme la Fondation Ford et la Fondation Open Society de George Soros. BLM, par exemple, a été fondé par des leaders ouvertement « marxistes » [3] et a démarré grâce à des millions de dollars de financement de la Fondation Ford et de la Fondation Open Society.
De nombreux « syndicats de travailleurs » impliqués dans divers éléments du Striktober bénéficient également d’un financement direct ou indirect de fondations mondialistes. La Food Chain Workers Alliance, par exemple, reçoit des fonds de la Fondation Ford, et la National Domestic Workers Foundation reçoit beaucoup d’argent de la Fondation Ford, de la Fondation Open Society et de la Fondation Rockefeller.
Comme je l’ai dit à maintes reprises dans le passé, toutes les personnes malveillantes sont du côté de la « gauche ». Toutes les élites milliardaires et les entreprises qu’ils prétendent haïr les alimentent en argent sans fin. Les grèves ouvrières de « gauche » n’existent que parce que les globalistes veulent qu’elles existent.
Bien sûr, les grèves gauchistes sont en fait un problème minime. En fait, je soupçonne qu’il s’agit d’une mise en scène délibérément fabriquée pour masquer les véritables grèves parmi les conservateurs à propos des obligations de vaccination du fait de la pandémie de Covid-19. Laissez-moi vous expliquer...
Nous sommes tous familiers des manifestations sensationnelles des travailleurs, comme la protestation de Netflix contre le spécial The Closer de Dave Chappelle, qui ose faire des blagues sur les activistes transgenres, une minorité de personnes hautement protégées au sommet du totem de l’oppression gauchiste. La plupart des gens ont également entendu parler de la grève des employés de McDonald’s en raison des allégations de #metoo, même s’il n’existe que peu ou pas de preuves à l’appui de ces accusations.
Ce dont nous n’entendons pas beaucoup parler, c’est que la manifestation de Netflix n’était le fait que d’une poignée de véritables employés mélangés à une foule d’activistes de carrière venus d’ailleurs par bus. Nous n’entendons pas non plus parler du fait que les plaintes #metoo déposées contre McDonalds remontent en fait à 2018, et qu’elles sont maintenant à nouveau déterrées de manière pratique alors que le pays est confronté à une crise de pénurie de main-d’œuvre.
Ces grèves et manifestations très médiatisées commencent à éclipser la couverture médiatique des véritables coupables de la crise du travail, à savoir l’administration Biden et les gouvernements des États démocrates qui promulguent des obligations universelles, des contrôles de vaccins et des stimulus Covid.
La source des pénuries de travailleurs, des goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement et d’un grand nombre de nos problèmes de stagflation peut être retracée directement jusqu’aux restrictions et aux programmes d’aide sociale du gouvernement. Débarrassez-vous des restrictions, des obligations et des contrôles Covid et, avec le temps, la crise disparaîtra. C’est aussi simple que cela. Cependant, l’establishment ne veut pas que vous le voyiez de cette façon.
Les groupes gauchistes travaillent fébrilement pour faire du foin avec les protestations et les grèves des employés en essayant de les attribuer au « mécontentement des travailleurs » par rapport aux bas salaires et aux « mauvais traitements » plutôt qu’aux mandats Covid. Cela n’a aucun sens.
Tout d’abord, les salaires ont augmenté de façon exponentielle au cours de l’année écoulée pour ce que j’appellerais les « travailleurs sans compétences » dans les secteurs du commerce de détail et des services. Lorsqu’un employé potentiel ne possédant aucune compétence utile peut entrer dans presque n’importe quelle chaîne de restaurants ou de magasins de détail et obtenir 15 dollars de l’heure ou plus, en plus d’une prime à la signature de plusieurs centaines de dollars, simplement pour s’être présenté le premier jour, il n’y a pas de disparité injuste pour la classe ouvrière.
Lorsque le salaire minimum moyen dans tous les États est d’environ 9 dollars et que la plupart des travailleurs du secteur des services gagnent près du double, il n’y a pas de problème légitime dont les gauchistes peuvent se plaindre. Ils doivent donc inventer des choses. Certes, 15 dollars de l’heure ne suffisent pas pour acheter une maison ou fonder une famille avec un seul revenu, mais les gens n’ont pas automatiquement droit à la propriété et aucune personne intelligente ne s’attend à faire carrière dans la restauration ou la vente au détail. C’est pourquoi, il y a plusieurs décennies, ces emplois étaient occupés par des adolescents, et non par des personnes âgées de 20 ans ou plus. Doubler le salaire minimum n’a eu qu’un seul effet à long terme : des prix beaucoup plus élevés pour tout le monde.
Les travailleurs peuvent avoir l’impression d’être maltraités, mais ce ne sont pas leurs chèques de salaire qui sont attaqués ou leurs managers qui leur font des avances sexuelles. Ce sont des préoccupations mineures comparées au problème plus important qui se pose : leurs libertés civiles individuelles.
- « Cette révolution n’est que de la poudre aux yeux »
Comme indiqué, il y a deux facteurs majeurs dans la pénurie de travailleurs : les obligations de vaccination de Biden et les programmes de relance de l’État et du gouvernement fédéral qui paient les gens plus cher pour rester à la maison qu’ils ne le feraient au travail. Ce sont les raisons de la pénurie de travailleurs et toute personne qui prétend le contraire est ignorante ou a un programme.
Les chèques fédéraux Covid ne sont pas encore terminés. Contrairement à la croyance populaire, l’argent continue de couler à travers divers programmes, y compris les programmes de crédit pour les enfants. De même, la plupart des États continuent à verser des aides financières au titre du Covid en plus des allocations de chômage existantes. C’est essentiellement le revenu de base universel et ce n’est pas fini, loin de là. Les entreprises ne trouvent pas assez de main-d’œuvre parce que le gouvernement a soudoyé des millions de travailleurs pour qu’ils restent chez eux. Les gauchistes n’aiment pas aborder ce problème parce qu’il entre en conflit avec leur fantasme de Striketober, alors ils nient son existence.
L’establishment est bien conscient que ces actions déstabilisent le marché du travail et je crois que l’objectif est de détruire spécifiquement le secteur des petites entreprises. Les petites entreprises ne peuvent pas concurrencer les sociétés soutenues par des milliers de milliards de dollars de stimulus de la banque centrale. Elles n’ont pas les moyens de doubler les salaires des travailleurs non qualifiés ou d’offrir de grosses primes à la signature. Elles n’ont pas non plus les ressources nécessaires pour contrôler leurs propres employés et clients afin de s’assurer que ces derniers respectent les passeports vaccinaux et les piqûres de rappel. D’ici un an, les solides fondations des petites entreprises américaines ne seront plus qu’une coquille vide.
Avec la mort des petites entreprises, tout ce qui restera sera des conglomérats internationaux qui appliqueront les obligations et menaceront les gens de pauvreté et de famine s’ils refusent le vaccin. Toutes les autres alternatives légales seront supprimées et c’est exactement ce que veulent les élites. Sans les petites entreprises défiantes, il n’y a plus de place pour travailler ou faire du shopping sans le passeport vaccinal. Les monopoles d’entreprise sont l’outil que les gouvernements utilisent pour contourner les protections constitutionnelles des individus.
Mais à mesure que ce processus se déroule, la résistance grandit. Et, comme on dit, la résistance ne sera pas télévisée.
Le principe même de la grève et de la montée du « prolétariat opprimé » est une farce, mais il y a un autre type de révolution qui se prépare. Le dernier récit représente au moins quelque chose de nouveau dans l’agenda visant à faire dérailler l’économie américaine. La plupart du temps, nous avons eu affaire à des protestations de « marxistes culturels » sous la forme de guerriers fous de la « justice sociale » financés par des fondations globalistes. L’accent est généralement mis sur l’exploitation de tabous culturels ou d’un racisme ou d’un sexisme inexistant. Le développement du Striketober est une interprétation beaucoup plus classique du sabotage gauchiste à l’ancienne, et il semble qu’il ait été mis en place de façon désordonnée par les élites de l’establishment afin d’atténuer les protestations TRÈS RÉELLES des travailleurs conservateurs.
En d’autres termes, à partir de maintenant, attendez-vous à ce que si vous quittez votre emploi ou si vous êtes licencié pour ne pas avoir respecté le vaccin expérimental Covid, on vous associe à un faux mouvement gauchiste et personne ne mentionnera les véritables raisons de votre sacrifice. Mais quel est le but de cette opération psychologique ? Les globalistes ne veulent-ils pas identifier et diaboliser les millions de conservateurs qui refusent le vaccin ?
Cela me rappelle une histoire que j’ai lue quand j’étais enfant, à propos d’une conversation entre un ancien général romain et un sénateur romain. Le sénateur dit au général que quelque chose devait être fait pour séparer et délimiter la classe des esclaves des citoyens romains libres, car souvent ils se ressemblaient tous et étaient parfois habillés de la même façon. Le sénateur suggère que les esclaves soient obligés de porter des brassards noirs afin d’être facilement identifiables. Le général n’était pas d’accord, faisant remarquer que si les esclaves portaient des brassards, ils verraient enfin combien ils étaient nombreux, et réalisant l’ampleur de leur population, ils pourraient être encouragés à se révolter contre l’empire.
Je ne sais pas si ce récit est historiquement exact, mais je le considère comme une parabole. Dans le cas des obligations de vaccination et des grèves massives des travailleurs dans les compagnies aériennes, les hôpitaux, la police et les services d’urgence, etc., plus l’establishment essaie de presser la population américaine avec des efforts de vaccination forcée, plus les gens épris de liberté leur glissent entre les doigts et se défendent. Si les protestations et les grèves de masse sont attribuées aux conservateurs et aux patriotes qui s’opposent aux obligations, alors tous les autres « esclaves » pourraient réaliser qu’ils sont en fait légion. Ce serait mauvais pour les globalistes et leur programme de Grand Reset.
Ils tentent donc de coopter les protestations contre les vaccins et de réécrire l’histoire en temps réel en créant un faux mouvement ouvrier par le biais de la Striketober. Et non, cela ne se terminera pas en octobre, les médias vont promouvoir cette idée à partir de maintenant. De cette façon, la résistance devient alambiquée et confuse et les grands médias peuvent dire que le grand nombre de travailleurs en grève sont en fait du côté de la « gauche » politique qui combat la « machine capitaliste », et non des conservateurs et des patriotes du côté de la vérité et de la liberté.
Nous ne sommes pas censés connaître nos chiffres. En instituant une société à deux vitesses par le biais des obligations de vaccination, l’establishment a fait une erreur. Ils ont évidemment supposé qu’il y aurait beaucoup moins de rébellion contre les passeports. Ils ont évidemment supposé qu’il y aurait une vaste majorité de soutien et que les 10 % ou moins de la population refusant de se conformer seraient submergés et encerclés par le culte Covid. Ils pensaient que nous serions contraints par la pression des pairs et la peur de se démarquer, et que nous rentrerions naturellement dans le rang. Au lieu de cela, 30 à 50 % de la population, selon l’État, la ville ou l’industrie, est en révolte et nous commençons à voir combien nous sommes vraiment nombreux à travers le pays.
Il y a trois choses dont les autoritaires Covid ont le plus peur : que les groupes de la Liberté reconnaissent leur véritable nombre. Ces mêmes groupes s’organisent au niveau local et étatique dans tout le pays. Et la perte du récit dominant selon lequel ils sont les « gentils » et que nous sommes les « méchants insurgés ».
La grève du travail n’est qu’une autre tentative désespérée des élites du pouvoir pour gérer l’image face à une opposition inattendue. Leurs efforts pour terroriser les gens qui refusent de devenir des cobayes pour un cocktail d’ARNm à peine testé se retournent contre eux. Les grèves des travailleurs dues à la vaccination forcée finiront par déboucher sur des actes de rébellion plus importants contre le système. Et, à chaque escalade de la résistance, l’establishment mettra à rude épreuve les cerveaux de ses faibles groupes de réflexion en essayant de créer de nouveaux récits pour masquer ce qui se passe réellement.