La migration de masse des pays pauvres vers les pays riches n’est pas seulement un outil du mondialisme pour détruire la culture et l’unité des peuples occidentaux, c’est aussi une nouvelle source de profit.

Les mondialistes gagnent sur deux tableaux : une fois contre les nations – les nations pauvres qu’ils dévitalisent et les nations riches qu’ils appauvrissent – et une autre fois en prenant leur dîme sur cette nouvelle Traite.

« C’est un grand commerce, et tout le monde profite, financièrement »

« Honteux », « cruel »...On appréciera les leçons de morale du démocrate Biden, pédophile de son état, aux républicains qui déposent des migrants devant la porte de ceux qui prônent l’immigration de masse.

L’influent gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a revendiqué mercredi 14 septembre l’envoi de deux avions de migrants vers une île huppée – et démocrate – du nord-est des États-Unis. Un groupe d’une cinquantaine de migrants vénézuéliens, dont des enfants, est arrivé le jour même à Martha’s Vineyard, lieu de villégiature pour les plus fortunés ayant accueilli les Kennedy, les Clinton ou encore les Obama, selon le quotidien local MV Times. Bien que le gouverneur de Floride ait organisé ce transport, les avions de migrants arrivaient du Texas et non de son État, selon le journal.

« Des migrants sont en train d’être débarqués à Martha’s Vineyard par des vols affrétés depuis le Texas. Beaucoup ne savent pas où ils sont. Ils disent qu’on leur a dit qu’ils recevraient un logement et un emploi », a tweeté mercredi soir un élu démocrate local, Dylan Fernandes.

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« Les républicains font des manœuvres politiques avec des êtres humains, se servant d’eux comme de pions », a fustigé jeudi soir Joe Biden en marge d’un gala du Congressional Hispanic Caucus Institute. « C’est mal ce qu’ils font. C’est anti-américain. C’est irresponsable », a poursuivi le président américain. La porte-parole de la Maison-Blanche avait qualifié plus tôt ce geste de « honteux » et « cruel ». (...)

La politique d’immigration, sujet explosif aux États-Unis, l’est encore davantage à quelques semaines d’élections de mi-mandat aux enjeux lourds, les républicains accusant le président Joe Biden d’avoir transformé en passoire la frontière avec le Mexique. Elle est un thème de prédilection des républicains, et déplacer des migrants lors d’opérations spectaculaires leur offre une possibilité de replacer le débat au centre de l’actualité. Ron DeSantis, qui a assumé la responsabilité de ce transport par la voix de membres de son équipe, rejoint ainsi un mouvement lancé par les gouverneurs républicains du Texas et de l’Arizona, déterminés à envoyer des migrants vers les villes démocrates du Nord et de l’Est, dans un geste très politique destiné à leurs électeurs.

Ron DeSantis est en pleine campagne pour sa réélection en novembre. Il est également vu comme un potentiel rival pour l’ancien président Donald Trump dans la course à la Maison-Blanche en 2024. Lors d’un discours jeudi, le républicain a dénoncé « l’imposture » des États démocrates qui prônent l’accueil des migrants. « Dès qu’on amène devant leur porte ne serait-ce qu’une petite fraction de ce que les villes frontalières doivent subir chaque jour, ils sont furieux », a-t-il clamé. « Les résidents de Martha’s Vineyard devraient être ravis », a ironisé mercredi sur Twitter Christina Pushaw, de l’équipe de communication du gouverneur de Floride. « Les migrants illégaux rendront la ville plus diversifiée, ce qui est une force. Non ? »

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Le très conservateur gouverneur du Texas Greg Abbott, pionnier de cette initiative et lui aussi en campagne pour sa réélection, a de son côté fait envoyer deux bus de migrants près de la résidence de la vice-présidente démocrate Kamala Harris. Ils sont arrivés jeudi matin à Washington, selon la chaîne Fox News.

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