La période de la vie étudiante, pour ceux qui ont été étudiants, est souvent la plus belle de leur vie, là où se font les plus beaux souvenirs. On y est relativement insouciant, même si on bosse au Macdo pour se payer ses études, mais on s’y fait des amis, des potes, des copines en pagaille, on vit en communauté, comme des babas cools, on sort ensemble, on vit ensemble (et « on meurt ensemble » disait Zizou), on dort ensemble, on couche ensemble, on mange des pâtes ensemble, on s’engueule ensemble, on partage des appartements, on bosse aussi ses partiels accessoirement. En 2021, il n’est pas sûr que plus tard ce sera le cas des 1 675 000 étudiants sur le sol national.
Tous les jeunes ne sont pas étudiants, il y en a qui bossent, qui sont déjà dans le dur socialement. Et aussi d’autres qui ne bossent pas, qui végètent, truandent, dépriment, ou voyagent, peignent, jouent, vivent en marge. Les étudiants, eux, sont dans l’antichambre du réel, et leur niveau d’études va leur permettre d’échapper à un job trop dur, mentalement ou physiquement.
Mais aujourd’hui, ils sont attaqués par un gouvernement qui veut détruire la culture, l’intelligence, la tradition, ou toute la spécificité française. Il veut en conséquence détruire l’intelligence, enfin tout ce qui participe à l’appareil critique.
Il ne faut pas se leurrer, le programme du gouvernement est un programme de destruction tous azimuts, sauf de ses sponsors. On détruit ce qui fait la France : ses églises, ses cathédrales, sa culture, ses traditions, ses restaurants, ses petites entreprises, ses indépendants, ses producteurs, ses artistes. Et maintenant ses étudiants, qui représentent (théoriquement) la matière grise de la classe moyenne montante.
L’axe Macron-Castex-Véran veut briser la colonne vertébrale française, son socle culturel et intellectuel, pour ne garder qu’une classe de maîtres – dont ils seront – et un réservoir d’esclaves, soumis au triple terrorisme sanitaire, islamiste et économique. Bien sûr, tous ces terrorismes, s’ils sont vrais dans leur manifestation, sont fake dans leur préparation : ils sont produits pour maintenir l’ensemble du pays sous l’éteignoir, sous l’étouffoir.
Pour lutter contre ces vrais terroristes, les représentants nationaux de l’oligarchie mondialiste, les étudiants devront être forts mentalement, et lucides sur la situation. Ils devront entrer en politique, mais pas la politique d’hier, celle qui fait militer dans les pièges à cons et les impasses sociétales que sont les partis et les syndicats, qui ont montré, pendant l’attaque terroriste portant le nom de « Covid », toute l’étendue de leur trahison : la CGT, au lieu de hurler contre la répression économico-sanitaire, a préféré pleurnicher pour plus de sécurité dans les entreprises avec un masque dont tous les gens sérieux savent qu’il ne sert à rien, à part à fermer sa gueule et étouffer dans ses propres microbes. Du côté des syndicats de l’Éducation nationale, ce n’était pas mieux : on réclamait des mensures encore plus « protectrices » pour les enfants, c’est-à-dire coercitives !
Une sacrée bande de dingues, d’abrutis ou de traîtres. Que ces fausses solutions sous contrôle disparaissent dans les poubelles de l’Histoire, et que les Français soucieux de leur santé mentale et physique reprennent les choses en mains.
Justement, de nouvelles formes de lutte et d’organisation existent. On le voit avec la constitution de groupes de résistance sur le Net. Car un individu qui se respecte se doit de résister à la propagande de tous les instants, à la censure incroyable qui frappe le seul média libre, et à la surveillance généralisée qui n’est plus de la science-fiction. C’est pire que 1984 puisqu’on y est en vérité !
Duplicité
Pour en revenir à l’actu et à la trahison, le journal Libération, qui est traditionnellement lu par les étudiants, aujourd’hui dirigé par un membre du Mossad (branche « désinformation » ou « guerre psychologique »), ose titrer sur « la grande détresse » des étudiants. Mais ce journal, depuis le début, ne fait qu’accompagner la politique de psychose lancée par le gouvernement, cette bande de corrompus à la solde des vraies puissances, médiatique, économico-bancaire et pharmaceutique (on n’a pas dit médicale).
Ce journal, qui comme ses confrères a violé toutes les règles de la déontologie – c’était ça ou la mort en 2020, avec la disparition de la publicité des grands annonceurs – pleurniche sur la souffrance des étudiants alors qu’il a participé à la propagande ignoble qui a provoqué la souffrance de ces mêmes étudiants ! Où comment se laver les mains à bon compte de sa coresponsabilité...
On retrouve ici la sempiternelle trahison de la gauche trotskiste, mais le socialo-sionisme nous a habitués à bien pire. La presse mainstream, qui devrait normalement critiquer la politique du gouvernement (sinon le Quatrième pouvoir ne sert à rien d’autre, si ce n’est à faire chambre d’enregistrement comme l’Assemblée), se borne à pointer les petits problèmes non essentiels comme la vitesse de vaccination, le choix du vaccin et autres fadaises. Sur le fondamental, les raisons profondes de la crise économico-sociale provoquée par les forces néolibérales, il n’y a plus personne.
Mais cette presse est déjà morte, et c’est un mort qui nous parle, tenu en vie sous la perfusion d’argent public (un demi-milliard lâché par la Banque, qui a besoin de relais complaisants), que nous devrons en plus rembourser, c’est le directeur de la Banque de France qui l’a dit sur France Inter, la radio de la trahison nationale et sociale.
Nous allons vers une révolution, c’est clair, mais pas la guerre horizontale que souhaitent les dirigeants corrompus et dangereux (voir le nombre de personnes sacrifiées en Ehpad) : la guerre sera verticale. Ce sera la réponse à la violence oligarchique exercée depuis des années – avec une accélération exponentielle en 2020 – sur le peuple français. Et dans toutes les révolutions, ce sont souvent les étudiants qui lancent le mouvement, car ils ne sont pas encore figés dans une vie qui les retient de tout perdre.
Seuls ceux qui ont beaucoup perdu ou qui ont tout perdu peuvent être des révolutionnaires. Mais pour cela, il faudra renoncer au RSA ou au revenu universel. Combien pour votre colère, les jeunes ?
"A 18 ans, ce qu'on veut, c'est un travail"
Bruno Le Maire dit "non" au RSA pour les 18-25 ans https://t.co/2jJiUSscbq pic.twitter.com/tXofTESqd4
— BFMTV (@BFMTV) January 15, 2021
Si à la fac gauchiste on apprend à critiquer, voire à désobéir, c’est le moment de désobéir vraiment, d’entrer en résistance, la vraie, pas celle manipulée par l’oligarchie néolibérale à travers les organisations traîtresses trotskistes.
Bonus : le mal-être étudiant vu par France Télévisions qui fait en parallèle
la propagande de la psychose pandémique...