Sur les discours des nominés par Trump :
Ces annonces font planer une odeur révolutionnaire, une radicalité à rendre justice, quelque chose de Robespierre.

Sur la dédollarisation :
Ce que dit Trump n’exclut pas de découpler le dollar boursicotteur des banques du dollar détenu par les chinois et le peuple américain. Le dollar a été pourri par le découplage avec l’or et le mélange dollar des banques et dollar du peuple. Ces deux pas vers la falaise peuvent être corrigés par deux pas en arrière (avecquelques cryptomonnaies ?). Trump n’a pas dit le contraire. La non dédollarisation annoncée par Trump peut être comprise en 2ème lecture, comme l’assurance donnée par Trump aux chinois et cie qu’il n’y aurait pas (trop) d’arnaques et de pertes pendant l’opération dollars pourris réservés uniquement à black rock et cie. Il n’est pas exclu que je me trompe.

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Je me sens très loin du compte vis-à-vis de Donald Trump.
Même si en tant que trou du cul français obligé de louvoyer contre les vents médiatiques étatistes pour espérer une bonne escale au port d’un site de réinformation afin de dénicher des informations fraîches et véridiques, est acquis depuis bail : Trump ambitionner nettoyer le marais !
Pour sûr ! Car au début je cogite : oh putain ! c’est génial ! Puis, au bout de 4 années de présidence trumpienne, certes, le tif orange n’a déclenché aucune guerre, et patati...mais il n’a asséché aucun marais non plus.
Toutefois, je sens maintenant, à l’aube des quatre prochaines années de sa présidence, Trump et ses sbires triés, cette fois, sur le volet, exceller à nettoyer le dit marais washingtonien de la maison blanche (pleine de sang). Ouf ! Il était temps !
« Vaste programme quand même » !
Sauf que voilà, à force d’accoster les sites de réinformations, force est de constater la nécessité de définir la nature du marais.
En cela, l’idée que mézigue se fait du marais n’est pas la même que celle de mon voisin, de mon cousin, du gars là-bas au coin de la rue, de l’autre coté de la mer, sur les autre continents, et surtout-surtout de Trump, lequel, se carre une façon bien à lui d’estimer la nature du dit marais à assécher.
Nous y voilà.
Que moi, gros naïf, j’ai pensé : il va viré les sionistes et leur donneurs d’ordres : les financiers de la haute ! Adorateurs du veau d’or ! À l’origine des subprimes et autres crédits banquiers viciés, toxiques, empoisonnés ! Vire-moi tout ça de mon champ de vision u.s !
Que nenni !
Dé lors, le marais, il y a plusieurs manières de l’appréhender.
La mienne n’est pas la bonne sinon que c’est pour sûr la bonne mais ça fait du marais un immense marécage aux ramifications planétaire !
Ça va trop loin !
Faut pas rêver !
Bref, pour Donald Trump, nettoyer le marais est provoquer une guerre intestine, une révolution de Palais, une guerre d’élites, comme on dit guerre civiles !
Pour ma pomme ça change tout !
Trump va, c’est sûr, régler leurs comptes à ces membres hyper pourris et corrompus du POTUS, affiliés au DOJ et au BLOB, héo, héo, qui ne sont là, en haut, que pour se régaler du pouvoir afin de se servir, se servir se servir, tout en étant aux ordres des financiers de la haute qui eux représentent les fondations (anti-sismique ?) de tout ce système mortifère dont Trump ne veut surtout pas remettre en cause puisqu’il en fait partie. Bingo !

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Trump aura assurément toute latitude pour purger les affaires nationales, internes. Toutefois, il s’illusionne encore sur sa capacité à donner des ordres aux BRICS.

Les États-Unis ne sont guère plus en capacité de taper du poing sur la table ni d’intimider Xi Jinping ou Poutine : je prédis de ce fait à Trump des victoires éclatantes dans le redressement domestique et des déconvenues humiliantes dans son rôle dépassé de grosse gendarmerie du monde.

Trump n’est pas une personne mais un personnage qui est parvenu à transcender sa propre caricature, car il a le don inédit de capter les énergies adverses et de les transformer en carburant pour sa marche ascensionnelle : cet homme est un alchimiste de génie, doté d’une intelligence pratique hors norme, et d’une robustesse mentale de Teuton : Alain Soral gagnerait à mettre une équipe au travail pour donner naissance à deux bandes dessinées, à saisir la balle historique au bond, à s’emparer le premier du phénomène. Vite !

Vite, Président Soral ! Une BD humoristique, une graphie avec la gueule de Trump qui est d’une photogénie monstre et qui ressemble à Le Pen comme un demi-frère (ce n’est pas une coïncidence mais un signe de la Providence) :

 Volume 1 : DONALD TRUMP, le milliardaire (sur)prend la Maison Blanche (2015-2020). Ce volume se terminerait sur la marche populaire pacifique vers le Capitole.

 Volume 2 : DONALD TRUMP, le président, le Pentagone ou la prison (2020-2024). Ce Volume serait centré sur ses discours de campagne hilarants, la façon dont il raconte comment des éboueurs l’ont convaincu de monter dans un camion-poubelle, en réponse à l’invective des Démocrates qui qualifie l’électorat trumpien de "trash", le camp perdant au bord de la crise de nerfs, la valse des nominations qui donne le sentiment que Donald préside déjà depuis la cour parallèle de Mar a Largo, sa convocation humiliante cette semaine du petit acheté de la CIA Zuckerberg, sommé d’aller faire allégeance et promettre de ne rien censurer du travail de Robert Kennedy...

Avec des textes humoristiques, incisifs, et une patine de dessin à la hauteur du personnage Trump, cette BD ouvrirait un boulevard pour ER.

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Quand l’esprit entrepreneurial américain s’attèle à découvrir la vérité (au lieu de make money) ça peut faire très mal.

Et ça peut être une inspiration pour nous en Europe dans le bon sens du terme. Là on serait raccord avec leur démarche - avec l’intention (c’est elle qui compte véritablement).

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Trump a été réélu pour qu’il détruise l’état profond.
L’état profond comme son nom l’indique c’est un état dans l’état qui se trouve aussi profond qu’on ne le voit pas.
Le FBI (agence travaillant avec le département de la justice ) se voit ,même très bien même trop.
Par contre la CIA (agence qui fait le sale boulot avec l’aide de la NSA et les militaires) et la NSA (agence d’espionnage) sont secrets.

Trump a menacé les BRICS+ de passer les droits de douanes à 100% si ils se passent du dollars dans leurs transactions.
De plus Trump a fait du chantage avec le Venezuela : Vous reprenez vos migrants en échange de l’achat massive de votre pétrole.
Trump nous fait de l’hégémonie yankee avant même qu’il retourne à la maison blanche.

Le chantage nous montre que l’extraction du pétrole de schiste par fracturation hydraulique aux états unis est moins rentable que l’extraction du pétrole de sable bitumineux au Venezuela.

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L’équipe de Trump ne devrait rien annoncer ni aux médias, ni à qui que ce soit mais agir aux moments choisis et de manière inopinée pour que cette clique n’aie pas le temps de se préparer. Faire de la communication de la « com », c’est perdre de l’énergie et se mettre à dos, n’importe qui, si l’on fait pas ce qui a été dit ou suggéré.

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100% de droits de douane... et alors ? D’autres grandes economies voient le jour, le monde bascule : le marché US n’est pas indispensable.

Ca me rappelle la menace de Lemaire envers la Russie...

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Certaines personnes vont littéralement se décomposer lorsqu’ils apprendront que le nouveau directeur du FBI fait des éloges de la personne derrière Q et cela est très bien.

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L’équipe de Trump a fait des listes. J’adore !
J’espère qu’on fait pareil en France !

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Ça promet, par contre comme certains commentateurs je ne saisis pas bien la tactique, à savoir beaucoup de bruit avant l’action !
Les dossiers peuvent s’envoler mais aussi les langues (témoignages) vont se délier, j’arrive à peine à imaginer tout ce silence pesant sur les consciences des sous-fiffres. Ça va être une libération pour eux.

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