Ce que l’OCDE veut c’est remplacer des hommes par des femmes moins bien payées.
D’ailleurs, si tu cherches du taff aujourd’hui, il vaut mieux être une femme ou un jeune.
Je confirme, pour l’avoir vécu dans une grande boîte française, où le recrutement était complètement soumis à l’impératif de "diversité", au sens large.
Pour avoir travaillé un temps dans un environnement très féminisé, j’ai constaté, comme beaucoup de monde :
que les femmes sont plus dociles : elles questionnent rarement les décisions, appliquent les consignes sans poser trop de questions.
qu’elles sont moins ambitieuses et se contentent de "toucher le salaire" là où un homme va avoir tendance à vouloir donner un sens à son activité. D’où cette prolifération de dépressifs et de suicidaires qui ne supportent pas l’idée d’être marginalisés ou que leur boulot soit remis en cause. Bref, l’homme s’identifie davantage que la femme à sa fonction sociale.
qu’elles ont une conscience aiguë des rapports hiérarchiques là où un mec peut toujours se "rebeller", balancer un scud dans une réunion, etc.
qu’elles gobent sans broncher la novlangue et toutes les conneries pondues par les ressources humaines pour materner les salariés sans jamais aborder les vraies questions (salaires...) : formation pour s’asseoir sur une chaise, stage de détente zen, apprendre à respirer, etc.
leur psychologie labile permet le diviser pour régner : commérages incessants, haines ("celle-là je peux plus la voir"), tirage de gueule inexpliqué (mauvaise nuit, problème affectif, etc.), larmes...
Je vais donner un exemple concret.
Dans la boîte où j’étais la manager a eu l’idée d’organiser un concours "convivial" pour stimuler la productivité, dont les gagnants se verraient remettre des prix... en chocolat et des décorations de bureau au moment de Pâques. Si, si...
Les trois gars du bureau (moi et deux autres) avons immédiatement décidé d’un commun accord de ne rien branler, faut pas se foutre de la gueule du monde... pour ma part j’ai même prétexté une allergie au chocolat pour justifier mon désintérêt, bref... eh bien les nanas, elles, se sont tirées la bourre pendant un mois pour gagner ces putains de boîte de chocolat et des oeufs en plastique, véridique ! Et alors que nous, les hommes, on regardait d’un air honteux le bout de nos chaussures durant la "remise des prix", elles, elles pouffaient comme des gamines de maternelle à la fête de fin d’année ! Régression affective totale !