blogs.mediapart.fr | Décembre 2021 |52 | CultureSociété |
La présentation du dossier (un dossier en douze articles, rédigé par un certain « Marcuss » qu’on imagine fasciné et peu entreprenant) : Pendant 6 mois, je me suis plongé dans les écrits de la manosphère (MGTOW, Incel, Zemmour, Soral, etc.), pour analyser les complémentarités et les divergences idéologiques. Alors que l’antiféminisme gagne en puissance tout en se radicalisant, il est indispensable de (...)
ERTV | Février 2021 |60 | CommunautésCultureJustice & DroitSociété |
Si vous avez du mal à faire le distinguo entre Dominique Strauss-Kahn, Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Roman Polanski, Richard Berry, Gérard Louvin et Olivier Duhamel d’un côté, et Patrick Poivre d’Arvor et Gérard Depardieu de l’autre, les deux vidéos et le texte ci-dessous sont là pour vous aider à comprendre le dramatique dévoiement opéré par l’hystérie féministe : le passage de la condamnation des (...)
slate.fr | Septembre 2020 |91 | HumourSociologie |
Dès qu’on voit le mot « glaçant » prononcé par un journaliste, on ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire gras. Car, en général, ce qui glace les bien-pensants, ce sont des choses très naturelles, ou trop naturelles. Démonstration avec cet article de Slate (le pure player de l’ancien dirlo du Monde Jean-Marie Colombani, soutenu par Jacques Attali et financé par un Rothschild), qui titre : Ces (...)
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La question est de savoir si c’est bien Marlène Schiappa 2’38, que l’on voit chez Dechavanne. A-t-elle compris quelque-chose ?
Ça faisait quand même des belles brochettes de quenelles quand Soral passait encore à la télé... et en plus servies avec beaucoup d’humour.
Alain Soral malmène la confortable lâcheté des idées reçues, la complaisance du prêt-à-penser et le prompt-à-mentir institutionnel, dans des moments de conflagration rhétorique d’une lucidité douloureuse pour les autres invités, qui finissent avec des mines de hyènes ivres de ressentiment.
La dénonciation soralienne du féminisme comme mystification égalitariste bourgeoise, reposant sur la substitution de la lutte des classes par la lutte des genres, est un traumatisme pour le dogme conformiste : historiquement, l’aristocratie s’est toujours souciée du bien-être de ses subalternes (le seigneur veillait sur les serfs ; les capitaines d’industrie veillaient aux conditions de logement des mineurs). La classe bourgeoise, noblesse bancaire donc bancale, velléitaire et philistine, n’a pas cette élégance philanthropique, issue de la Charité chrétienne, puisque son dieu est Mammôn. Elle va donc remplacer le devoir de Charité par une obligation d’égalité, pour mimer la philanthropie aristocratique. Le féminisme est né de cette imposture, de ce détournement d’objet.
En mettant en exergue ce hold up idéologique bourgeois (l’invention de l’antinomie féminin / masculin pour occulter la dichotomie riche / pauvre), Alain Soral jette les bases d’un argumentaire systémique, c’est à dire d’un raisonnement reconductible à d’autres situations : cela s’appelle une philosophie. Enthoven, dandy pontifiant, où est ta production philosophique ?
C’est vrai mais univoque.
La notion d’égalité, émergeant durant les débats des ’’lumières’’, vient aussi en remplacement des débats beaucoup plus profonds sur la notion de liberté. Ces questionnements sur la liberté sont apparus avec les échanges entre les européens et les américains (native). Cela faisait déjà longtemps que les européens avaient renoncé à être des hommes libres. Et c’est précisément ce fait d’accepter de se soumettre à un pouvoir coercitif, aussi bon soit-il, qui mène inexorablement à la domination de structures comme les états nations modernes. Le fait que la bourgeoisie ait remplacé l’aristocratie est, selon ce point de vue, un symptôme et non une cause.
Lire David Graeber, une nouvelle histoire de l’humanité ! :)
"Avant beaucoup de femmes servaient la soupe à leur enfants et maintenant elles servent la soupe à leur patron".
Merci pour ce fou rire Monsieur Soral !
Merci aux monteurs et petites mains pour cette vidéo ;
c’est un condensé bien fait.
C’est un bel outils tranchant pour argumenter !
Le féminisme est un des nombreux signes de l’apocalypse c’est à dire la néantisation, la destruction de toute structure : c’est une idéologie c’est à dire un combat, un pur truc de mec : c’est une inversion sexuelle, le signe de la destruction de la structure humaine fondamentale après la vie sociale : la différence sexuelle.
Soral est un veritable disciple de jesus car il suit son exemple :
je suis venu dans le monde pour rendre témoignage de la verite Quiconque est recherche la vérité écoute ma voix.
Pilate lui dit : Qu’est-ce que la vérité ? (jean 18:37)
Quand vous entendez la verite,vous la reconnaissez et vous ressentez une grande joie,une forte emotion interieure:votre cerveau vous fait signe pour vous indiquer que ce que vous venez d’entendre sera bon pour vous. Personnellement ca m’est arrive quand j’ai entendu soral a la tele,quand j’ai lu marx,the rationale male de rollo tomassi et plus recemment maps of meaning de peterson.
Matthieu 13:44
Le royaume des cieux (aka la verite,l’adaptation a la realite) est encore semblable à un trésor caché dans un champ. L’homme qui l’a trouvé le cache ; et, dans sa JOIE, il va vendre tout ce qu’il a, et achète ce champ.
Merci pour cette vidéo hyper-instructive.
Nous avons déjà vu sur ce site il y a environ un an la vidéo de l’emission d Evelyne sur le thème du jour "Pour ou contre le machisme d’Alain Soral ?".
Tout comme dans la vidéo plus courte de l’article que nous commentons, le public y soutenait Alain, pas du tout machiste malgré ses airs de (faux) dur, qui avait réussi à démonter la blonde trentenaire aux cheveux longs prétendant s’épanouir dans son
métier.
Alain exprimait son admiration pour la brune, mère au foyer de quatre enfants, je crois, et mariée à un ouvrier. Elle était très jolie, plus séduisante et plus émouvante que l’autre (féministe ?).
Dans l’émission avec Thierry Ardisson et Roselyne Bachelot, tout le monde sourit et personne ne trouve d’arguments pour contredire Alain.
Stéphane Bern ne bronche pas même si Alain fait une petite allusion à l’orientation sexuelle de notre sympathique monarchiste luxembourgeois.
On comprend pourquoi Alain n’est plus invité sur les plateaux et pourquoi notre frêle et rachitique Zemmour le fuit comme la peste tout en reprenant une partie de ses arguments.
Alain n en ferait qu’une bouchée.
Ma mère m’a toujours dit : "si tu es seule à 40 ans, continue ainsi, car les meilleurs sont pris’. Quand je vois Alain Soral, je me dis qu’elle avait encore raison ! Il est trop fort ce Soral.