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Festival de Cannes : #MeToo ou la fin du cinéma – Nouvel extrait gratuit de Soral a (presque toujours) raison #27

 

Découvrez un nouvel extrait gratuit de
Soral a (presque toujours) raison #27 :

« Festival de Cannes : #MeToo ou la fin du cinéma »

 

 

Soral a (presque toujours) raison #27

 

Rappel : les abonnés au financement associatif d’Alain Soral à partir de 20 euros/mois ont pu accéder en avant-première à cet épisode !

 

Au sommaire
de ce SAPTR #27 :

 

00:00:34 – Les JO 2024
00:09:08 – Festival de Cannes : #MeToo ou la fin du cinéma
00:26:32 – De la bite à Brigitte
00:33:36 – Minorité opprimée ou minorité dominante ?
00:38:37 – La prison... pour qui et pour quoi ?
00:47:11 – Pourquoi ne met-on plus Voltaire en prison ?
00:53:32 – Glucksmann : fils de son père !
01:01:24 – Israël ou trop c’est trop !
01:08:52 – La fin de la rente Shoah ?
01:17:33 – Un État palestinien, oui, mais pas en Palestine
01:27:02 – Après le sionisme, le post-sionisme ?
01:36:02 – Soral à Sciences Po : le retour !
01:43:45 – Propalestinien si pro-LGBT ?
01:53:00 – Nouvelle-Calédonie : droit du sol ou droit du sang ?

 

Quatre bonus sont également disponibles dans le financement associatif :

« La brûlante question Loubavitch ! »
« Fury, Usyk, Saint Denis et la boxe anglaise »
« Fermeture de la Nouvelle Librairie »
« Mort de Roger Corman »

Pour y accéder :

Devenez contributeur
au financement associatif d’Alain Soral (à partir de 20€/mois)
et accédez immédiatement à la vidéo

 

 

 

Offre VOD : accédez gratuitement à SAPTR épisode 27 en vous procurant
Le Fonds Marianne et les charognards de Samuel Paty, de François Belliot

 

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40 Commentaires

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  • Les jeunes premiers virils,sont contraints à l’homoséxualité,
    ou à la biséxualité. Quand bien même c’est pas du tout leur truc.
    D’ailleurs énormément de talents ont du refuser, puisqu’aujourd’hui
    nous n’avons que des jeunes premiers androgynes,
    voir totalement assexués.

    Et ca se retrouve même dans le rap, et dans les séries de bandits,
    et c’est pas nouveau. Qui l’eut crû ?
    Votre gangsta séducteur préféré se prépare à la prison ?
    Et en adopte les mœurs en étant dehors. Et peut être bien
    qu’il sera jamais emprisonné physiquement, mais il l’est déjà sous le code
    carcéral mentalement.

    Toute virilité médiatique actuelle passe par la dégeulasserie homosexuelle
    c’est la condition sinéqua non.
    Ca explique pourquoi des Niney sont les nouveaux apollons, tous les autres
    ont refusé. Ou alors c’est ces grosses brutes de banlieues,
    Mais l’homosexualité, ou une chèvre, une loutre, un éléphant de mer,
    c’est pareil pour eux.

     

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  • Je n’ai fait qu’un bref passage dans ce milieu et je confirme, pour ce que j’ai vu, l exactitude de ce que dit AS. On pourrait ajouter qu’il y règne une concurrence et ses saloperies connexes à peine imaginables dans le monde réel !

     

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  • Bien que ce ne soit pas le sujet qui me passionne le plus, force est de constater que M. Soral a résumé la situation avec brio, alliant à la perfection subtilité et punchline ! :)

     

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  • Quelques années dans ce milieu et je peux confirmer la totalité de l’analyse d’AS...

    La réussite aujourd’hui c’est une humoriste un peu graveleuse et gueularde qui fait rire les "fluid genders" et leurs sympathisants aux mains manucurées et sourcils épilés et qui finira par réaliser un film du genre comédie pour ados paumés.

    D’aucuns affirment que la télé finira par disparaitre, c’est très probable car... le transfert s’est bel et bien opéré... la télé c’est le net avec ses offres tous azimuts, ses plateformes de films sur abonnement, ses émissions en libre service selon les camps politiques et son "scrolling " compulsif. Et tout ça est payant bien entendu puisque l’abonnement à internet a remplacé la redevance télé !

    Est-il encore possible aujourd’hui de jeter internet après avoir jeté sa télé ? La réponse est dans la question et sur ce point, il faut reconnaître que nos matons de geôle ont remarquablement pensé notre définitive aliénation.

     

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    • Il y a une sacré différence entre le web et la télé. La télé tu regardes, c’est tout, le web c’est l’Agora...

       
    • RÉPONSE à : Miles Davis du Le 16 juillet à 13:06

      Il me semble que vous n’avez pas saisi le fond de mon propos...

      Ne vous en déplaise, le net est destiné précisément à devenir la télé-à-la-demande mais... sous contrôle direct permanent. Et comme beaucoup, pour le moment vous en jouissez avec plus de satisfaction parce que vous y trouvez ce qui correspond à vos opinions... et c’est exactement fait pour ça ! Les programmes à algorithmes permettent justement de profiler n’importe quel utilisateur du net... à la fois pour lui refiler de la quincaillerie sur mesure mais également pour contrôler les choix politiques !

      Le danger du net c’est qu’il est devenu la télé sur mesure, tout bonnement. Le "replay" (rediffusion, en bon français) est devenu systématique... ce qui relaie largement les programmes télé classique ! Quant aux plateformes type Netflix et autres, elles sont payantes et déversent 90 % de daubes euro-américaines. Tu parles d’un progrès !

      La télé ne permettait pas de savoir avec précision ce que les gogos mataient, les sondeurs travaillaient leurs audimats. Le net est bien plus affiné en termes de profilage. Certes, on y trouve pas mal de confs, d’analyses et de docus intéressants, mais ne vous y trompez pas, le net n’est pas le terrain de liberté dont la plupart se gargarise.

      Pendant longtemps, Dieudo à affirmé que l’internet était le nouveau paradigme des résistants... on a vu le résultat... Dieudo peut continuer à se produire sur le net APRÈS AVOIR RENONCÉ A SES ATTAQUES CIBLÉES. Il a également perdu une grosse part de son "marché", supportent des procès à répétition et a fait allégeance (sincère ou pas) à une certaine communauté. Libre, vraiment ?

      Comme disait Coluche à propos du vote... "si ça servait à quelque chose en matière de choix libre il y a longtemps qu’ils l’auraient interdit !". Or, ils le promeuvent... demandez-vous pourquoi...

       
  • C’est vrai pour le cinéma français qui a perdu ses fondamentaux populaires, son art étant devenu bourgeois donc vidé de toute substance, mort. Chez les anglo-saxons, il demeure cette impertinence, aux États-Unis qui n’a pas d’histoire mais également en Grande Bretagne qui a une très grande histoire : je n’ai jamais vu le cinéma français capable de montrer cet ensauvagement, ce côté populaire hormis les deux trois films de Dupontel et de Poolevorde, donc de produire des films, à titre d’exemple, comme Petits Meurtres entre amis, Arnaques, crimes et botaniques, Snatch, mais également No country for old men , Une Histoire vraie, .. ou encore La Passion du Christ, Apocalypto, Zodiac, d’ "autocritque" politique comme Fight club, Cogan - Killing Them Softly, Joker, La Mule, Animal Kingdom, Comancheria...
    Je n’ai rien vu de tel en France hormis Plus belle la vie, à vomir, à en crever de dégoût par tant de médiocrité.
    Même sur Netflix, les séries comme Dahmer, Ozark, Breaking Bad, le film El Camino et le magnifique Better Call Saul, détruisant définitivement le mythe du self-made man, sont diffusés envers et contre toute propagande du politiquement correct.
    En France, j’entends depuis 30 ans "la ligne Maginot, le responsable mais pas coupable, le barrage à la haine, la lutte contre l’antisémitisme" bref l’injonction du "Pasd’vague", le "Pasd’Amalgame" pour la gamelle des mêmes zélus médiocres afin de manipuler les castors qui veautent pour l’immobilisme, la moyenne d’âge des veautant étant de 50 ans : ce pays est psychiquement mort, crime ultime des pervers paranoïaques qui dominent.

     

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  • Ok les femmes doivent passer l’étape canapé pour avoir un rôle, et les acteurs ?

     

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  • Une analyse au-dessus du lot. Merci Mr Soral.

     

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  • absolument , absolument..
    faut dire aussi , que la politisation tyrannique des arts populaires (l’ industrie du divertissement dans ce cas) a eu la même conséquence que la politisation des services publics , à savoir l’ élimination systématique des talents bruts , des artistes authentiques , des serviteurs de l’ excellence .
    PS : l’ écho interstellaire (des étoiles , parfois disparues) est un phénomène lumineux plus que sonore , il me semble .

     

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  • Si Soral n’existait pas, faudrait l’inventer.

     

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