C’est le titre d’un article de France Inter, qui n’a d’autre actualité que de relayer l’empressement du lobby sioniste à imposer un enseignement historique considéré comme supérieur aux autres. Et par les autres on entend le génocide arménien, le génocide rwandais, le génocide des Indiens, etc. L’histoire des hommes fourmille de massacres ethniques ou d’ethnocides, on a le choix. Parfois c’est toute une tribu, parfois tout un peuple qui disparaît dans la tectonique des affrontements interhumains.
« La question est sensible. Pour en parler, les enseignants n’ont pas toujours accès aux dernières connaissances et, depuis les attentats, le sujet de l’antisémitisme resurgit. Alors, certains d’entre eux ont décidé de se former. »
On n’a pas entendu qu’il y a de la formation pour les autres génocides, ce qui nous fait dire qu’il y a un intérêt politique actuel à imposer celui-là aux profs et aux élèves. Au fait, pourquoi enseigner la Shoah ? On ne va pas tourner autour du pot : parce que enseigner la Shoah, c’est enseigner la culpabilité, et ça, les Polonais l’ont bien compris, eux qui ont essayé de sauvegarder leur nationalisme. Mais c’était sans compter sur la pression internationale, qui vient souvent de Tel-Aviv.
Pourquoi enseigner la culpabilité ? Parce que la culpabilité donne un avantage moral, qui se transforme en avantage juridique, qui lui-même se transforme en avantage politique, et qui finit en avantage économique. La dernière déclaration de notre Premier ministre sur les efforts en direction des descendants des juifs qui ont été spoliés pendant la Seconde Guerre mondiale va dans ce sens. Fillon, en son temps, lorsqu’il était Premier ministre de Sarkozy, avait consacré 400 millions aux réparations et autres indemnisations.
- Profs français à un cours de Shoah au Mémorial
On le voit, l’enseignement, c’est-à-dire l’entretien de la Shoah dans la mémoire des petits Français, n’est pas anodin. Il mène à un avantage politique et économique que l’on vérifie chaque jour que Dieu (pas Yahvé) fait. Mais ça, tout le monde le sait. Ce n’est pas l’analyse de France Inter, qui trouve qu’il y a un manque de formation des professeurs :
« Expliquer les processus qui mènent à un génocide pour enseigner l’histoire de la Shoah... Une vision que partage Iannis Roder. Mais, selon le responsable des formations au Mémorial de la Shoah, les enseignants ne sont pas toujours parés pour répondre aux questions des élèves. Si le thème est "omniprésent dans le champs politico-médiatique", la formation universitaire est, paradoxalement, "pratiquement inexistante". »
Qui est ce Iannis Roder, qui semble faire les programmes à la place du rectorat ou du ministère ? Ah, le « responsable des formations au Mémorial de la Shoah »... Tiens, on n’a pas l’équivalent au mémorial du soldat français tombé entre 1914 et 1918 avec 1 400 000 de ses camarades. On ne voit pas la Marne (250 000 morts et blessés côté franco-britannique), Verdun (163 000 morts et 216 000 blessés), le Chemin des Dames (187 000 morts et blessés), la Somme (100 000 morts en un mois), ces batailles terriblement sanglantes, enseignées en France avec autant de verve, c’est curieux, non ?
Il faut mieux former les profs mais il y a un hic : les élèves musulmans. Le cours de Shoah se brise sur le rocher musulman. Apparemment, ces jeunes turbulents sont un peu rétifs à cette partie de l’histoire, du moins à cet enseignement-là. Effectivement, pourquoi se sentiraient-ils coupables ? C’est la question qu’on pourrait poser aux concepteurs du projet.
« C’est le cas de France Calvetti, au lycée Jean Monnet à Montpellier. Depuis quelques années, elle constate qu’"il est de plus en plus difficile de faire passer ce message de la déportation des Juifs et de la Shoah", notamment "dans la communauté musulmane" de son établissement.
"Il y a une espèce de crispation vis-à-vis du sujet", analyse l’enseignante qui regrette de n’avoir pu se rendre à Izieux – où s’est déroulée une rafle, en avril 1944 – "parce qu’une partie de la classe refusait". Un "blocage" que France Calvetti ne va pas jusqu’à qualifier d’"antisémitisme". »
Ah, voilà l’antisémitisme, l’épée de Damoclès, ce drone qui plane sur qui ne se soumettrait pas à ce régime spécial, à cette propagande surabonde (oui, car elle se rapporte aux heures sombres).
Si l’on comprend pourquoi le lobby sioniste impose ses directives à l’Éducation nationale – qui n’a qu’à apprendre à se défendre, ce gros con de mammouth – on ne comprend pas l’engouement des profs visés par la mesure :
« L’école est finie, mais 105 professeurs de collèges et lycées se sont portés volontaires pour s’asseoir à nouveau sur les bancs d’un amphithéâtre, pendant leurs vacances. Six jours pour apprendre à enseigner l’histoire de ce génocide, au Mémorial de la Shoah. La formation est très demandée, car certains professeurs éprouvent des difficultés à aborder le sujet avec leurs élèves. »
On va mettre ça sur le compte de la soumission et de l’ignorance, tout le monde n’étant pas hyper lucide dans le secteur de l’enseignement. Ce qui est intéressant, c’est que l’histoire de la Shoah ne s’arrête pas en 1945 : au contraire, elle continue aujourd’hui, et de plus belle. Cette Shoah élastique, élaborée par Claude Lanzmann avec la bénédiction de ses hautes protections, permet de conserver un avantage moral sur la France, taxée pendant des décennies de raciste (par SOS Racisme) ou de fasciste (par BHL) alors qu’Israël est le pays (volé aux Palestiniens) le plus raciste et le plus fasciste du monde, et il le prouve chaque jour.
En vérité, la Shoah permet de camoufler les crimes de l’entité israélienne (tous les pays ne l’ont pas reconnue en tant qu’État) en Palestine et ailleurs. C’est donc de la pure propagande israélienne.
Bonus
La série Auschwitz, un cours d’histoire, avec un petit générique qui ressemble étrangement à la virgule musicale de Friends ! Vu le manque d’empressement des Français à s’emballer pour le sujet (les manifs de la LICRA et de SOS Racisme font un bide monumental), bientôt le lobby va devoir mandater Gad Elmaleh pour accompagner les malheureux lycéens en Pologne et susciter un engouement minimal...
L’avantage de cette série en quatre épisodes sur le Net, c’est que l’Éducation nationale, qui ne roule déjà pas sur l’or (arf), pourra économiser un maximum d’allers-retours France-Auschwitz !
La propagande, c’est bien, mais la propagande pas chère, c’est mieux !