Selon les documents révélés par les pirates informatiques américains, la fondation Open Society, dirigée par le milliardaire américain George Soros, planifiait de dépenser une somme énorme pour mettre un terme à l’état d’urgence en France.
Les auteurs du document, qui travaillent pour la fondation du milliardaire George Soros, Open Society, qualifient l’état d’urgence en France et les droits que les policiers avaient reçus depuis les attentats du 13 novembre 2015, d’« arbitraires », « abusifs » et « discriminatoires ».
La fondation envisage une série des mesures pour les contrer : surveiller les abus par les forces de l’ordre, promouvoir de nouvelles lois, influencer l’opinion publique et la prise de décisions au niveau national, mais aussi européen.
« La société civile pose des questions quant à la sagesse et la légalité de l’approche gouvernementale. […] L’état d’urgence est utilisé non seulement pour lutter contre le terrorisme mais aussi pour placer les manifestants écologistes en résidence surveillée », lit-on dans le rapport.
D’après le document, les mesures prises lors de l’état d’urgence « ne créent que des tensions » au sein de la société française car elles « ne visent des personnes qu’à cause de leur religion, sans une preuve de leur culpabilité ».
Pour cette raison, la fondation de George Soros voudrait offrir plus de 867 000 euros pour mener campagne pour l’abolition de l’état d’urgence.
La fondation Open Society a même déjà trouvé des alliés : Amnesty International France, l’Union des avocats français, la Ligue française des droits de l’Homme, la Quadrature du Net, Voix Public, Counterpoint France, le Collectif contre l’islamophobie en France et Powerfoule auraient accepté de l’aider.