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IVG : la souffrance taboue des femmes

"L’avortement n’est pas un acte anodin"

Charlotte d’Ornellas, journaliste pour Boulevard Voltaire, a enquêté auprès de jeunes femmes qui ont connu l’épreuve de l’avortement. Des témoignages bouleversants sur l’envers du décor, et qui tranchent avec la véritable propagande de l’État sur cette question.

 

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48 Commentaires

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  • #1449526
    Le 22 avril 2016 à 07:11 par RZA
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    @Moguin
    Le film dont tu parles c’est Time Out et bien qu’il soit passé inaperçu et malgré quelques incohérences je l’ai trouvé excellent.
    Avec entre autre Justin Timberlake dans le rôle principal.
    Le temps est devenu la nouvelle unité monétaire mondiale et où les plus pauvres doivent lutter pour vivre au jour le jour alors que certains sont millionnaires en temps et peuvent vivre plusieurs milliers d’années.

     

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  • #1449646
    Le 22 avril 2016 à 11:01 par iroise
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    "Mon corps m’appartient" peut-être ... en tous cas pas celui du petit être qui grandit en toi ! un simple cours de bio suffit à le montrer !

     

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  • #1449671
    Le 22 avril 2016 à 11:16 par Georges 4bitbol
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Il faut constater que les "accoucheurs" de cette pratique mortifère et de l’idéologie qui l’accompagne, sont toujours issus de la même communauté.
    Cette capacité à faire le mal dont nous sommes tous victimes est abominable.

     

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  • #1449830
    Le 22 avril 2016 à 13:43 par Patricia
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Les témoignages de ces jeunes femmes sont touchants.
    Oui, c’est une grande souffrance que d’avorter !
    Cette souffrance demeure toute la vie... c’est un fait dont je peux aussi témoigner.
    Toutes ces idéologies modernes qui valorisent ou justifient cet acte qui n’est pas anodin, sont des tissus de mensonges... surtout en ce qui concerne le concept de "liberté" et plus précisément ici "de la liberté du corps."
    C’est une tromperie, une véritable manipulation mentale et émotionnelle :
    En premier lieu, il y a chez un être humain, la lumière de l’intelligence d’où nait la raison.
    Puis en seconde étape : la volonté qui est commandée par l’intelligence.
    C’est seulement à la dernière étape que vient le concept de "liberté", lorsque la volonté use de sa "liberté" pour accomplir l’acte qu’elle doit accomplir.
    Conclusion : la liberté, chez un être humain ne vient jamais en premier...
    Il convient de laisser du temps au temps pour réfléchir sainement avant de prendre une décision et de poser une action.
    Voilà pourquoi il est important d’informer les personnes quant à l’avortement et à ses conséquences néfastes !
    Il ne faut pas agir sous pression idéologique ou de manière impulsive.
    C’est bien qu’il y ait des femmes et des associations qui disent la vérité, maintenant, autour de ce drame personnel et collectif qu’est un avortement... Même si on qualifie cet acte d’IVG, il s’agit toujours d’un avortement.
    Et si l’on y réfléchit, d’autant plus quand on a vécu cette "expérience" : le mot lui-même "avortement" exprime la violence d’une interruption vécue dans tout son être... de l’interruption d’une vie qui devait être et qui, brusquement, n’est plus.
    C’est un deuil qui peut perdurer toute une vie de femme que seule une véritable spiritualité peut transformer.
    Il est évident que notre société occidentale est dépressive... et, en quelque sorte, refuse la vie ; c’est comme une forme de suicide collectif.
    "Seule la vérité rend libre." St-Jean.

     

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  • #1449912
    Le 22 avril 2016 à 15:02 par Louiscroivébaton
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Pour ma part je ne parle pas d’avortement, mais d’infanticide in uteros, une des plus grande calamité de notre époque...

    Pas besoin d’une loi pour l’interdire du coup, l’assassinat étant déjà puni !

     

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  • #1449921
    Le 22 avril 2016 à 15:10 par kevorkian
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    La campagne de propagande IVG, ironiquement, se fait sous la forme d’un tatouage : une marque indélébile dans la vie d’une femme.

    Simone Veil aurait dit que c’est "un drame" mais tant pis, faut faire passer la loi car Satan s’impatiente. Elle a aussi déclaré au Times en 1975 "C’est en modifiant la loi qu’on modifie les mœurs d’une société".

     

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  • #1450049
    Le 22 avril 2016 à 17:36 par jedgreen
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Perso je suis "pour" dans certains cas et "contre" dans d’autres mais si je devais choisir entre une société sans ou avec et bien je dirais "avec". Car il est toujours mieux d’avoir un choix possible. C’est ce que pense.
    Cela ne veux pas dire qu’il faut tout le temps faire le même choix.
    Et c’est le problème avec le discours du "je fais ce que je veux de mon corps quand je veux". C’est un discours qui avait un certain sens quand on se battait pour avoir droit à l’IVG (pour éviter les IVG sauvages à la maison par exemple), mais aujourd’hui (comme pour beaucoup de choses) le discours initial est perverti par un jusqu’au boutisme faisant croire aux femmes que si elles ne font pas un IVG elles sont quasiment des has been.... Cela rabaisse l’acte de donner la vie ou pas à un niveau de problème de confort.
    Les rêves de liberté de la génération 68 nous pondent un monde de plus en plus horrible. Non parce que les idées de progrès et de liberté sont nulles mais parce que les gens qui en sont à l’origine sont toujours en place et n’ont pas le courage de nuancer ne serait-ce qu’un peu leur discours. Et les plus jeunes, eux, ne font que rabâcher des doctrines bien huilées de cette génération 68 sans se rendre compte que tout nouveau droit correspond à une responsabilité.

     

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  • #1450256
    Le 22 avril 2016 à 21:44 par Grognasse
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Puisque l’heure est aux témoignages...
    A 19 ans, je suis tombée enceinte, j’ai eu recours au planning familial pour faire le test de grossesse. Lors de l’entretien, à peine ai-je eu le temps de dire que moi et mon compagnon comptions garder le bébé qu’on m’a sorti le blabla féministe et carriériste classique : cela était censé perturber mes études, gâcher ma vie, celle de l’enfant et du père, c’était mon corps, je devais absolument choisir ce qui devait lui arriver, je devais être "libre". Le pire : j’ai eu droit au même discours de la part de mes amis les plus proches. Avoir un enfant non-désiré à la base, à fortiori jeune, était inconcevable. J’ai eu l’immense chance d’avoir eu comme résultat un faux négatif, qui m’a permis d’échapper quelque temps à la pression pro-avortement, et de pouvoir souffler, réfléchir et résister. J’imagine aisément la détresse et la pression qu’ont pu vivre celles qui souffrent suite à un avortement quasi-forcé, sacrifiées sur l’autel de la liberté.

     

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  • #1450601
    Le 23 avril 2016 à 11:00 par Giustizia
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    @ toutes les femmes qui ont témoigné dans le reportage, je veux leur dire que malgré l’ivg, elles en ressortent grandies et pleines de compassion pour les autres. Même si chaque enfant est unique, c’est en donnant la vie à nouveau qu’elles se répareront. On n’oublie jamais, mais la vie avec un enfant qu’on aura accueilli deviendra belle. On dit que Dieu aime la vie, et justement ces ivg sont des actes mortifères, c’est ce que nous les êtres humains détestons le plus.

     

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  • #1452333
    Le 25 avril 2016 à 23:08 par Manu Militari
    IVG : la souffrance taboue des femmes

    Infanticide néonatal : la réalité dévoilée au Parlement européen [English subtitles]
    https://www.youtube.com/watch?v=e6Q...

     

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