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Il y a femme et femme

L’espèce humaine possède deux sous-espèces : l’homme et la femme. Dans l’espèce femme il y a deux sous-espèces : l’une est la femme, celle qu’on aime, et l’autre la féministe, celle qui ne nous aime pas. Notre point de vue sera celui de l’homme, naturellement.

 

 

Avant, l’homme ne voulait pas que la femme travaille, parce qu’il avait peur qu’elle couche avec le collègue ou le patron, ce qui est classique chez la femelle, qui a besoin de plaire.

Mais le capitalisme en a décidé autrement : la femme devra travailler, car le salaire de l’homme ne suffira plus pour le foyer.

 

 

« Baisée » par le capitalisme

Malheureusement, le salaire de la femme était petit. Ce n’est qu’après pas mal de temps que la femme a pu gagner plus, mais du coup, elle a découvert un truc étonnant : elle avait moins besoin de son mari pour survivre, alors elle l’a quitté.

Le rapport entre l’homme et la femme change : la femme est moins dépendante de l’homme matériellement parlant, mais pas sentimentalement, ou sexuellement.

Pour son équilibre, elle a besoin d’être prise ou éprise. Elle se rend compte que vivre seule, surtout avec une portée de petits, c’est dur. Elle remet alors en cause le dogme féministe qui lui dit de s’éloigner de l’homme, qui est néfaste pour elle, et pour ses enfants.

 

 

Malheureuse, la femme sans homme (fixe) reconsidère donc son féminisme, ou son anti-hommisme, surtout quand elle voit ses copines être heureuses en couple (ces dernières font souvent semblant pour faire chier leurs copines sans homme).

Cependant, dans le tas, certaines deviennent des anti-homme radicales, qui préfèrent vivre seules ou entre elles – on les appelle les lesbiennes – plutôt que de dépendre matériellement ou sexuellement d’un homme. C’est un choix. On remarque quand même que ça les fait débloquer, de la même façon que les hommes sans femmes peuvent devenir fous.

 

 

Dieu a fait en sorte de rendre dingues ceux qui ne veulent pas de l’autre (sexe), ou dont l’autre sexe ne veut pas. Dieu est aussi taquin : il nous fait différents, donc conflictuels, mais nous lie par un besoin mutuel (amour, payer les factures).

On récapitule : la femme et l’homme sont différents, mais ils ont dramatiquement besoin l’un de l’autre. Ceux qui résistent à ce besoin souffrent. Ceux qui s’y abandonnent souffrent aussi, mais il y a des compensations, notamment matérielles, et sexuelles.

De nombreuses femmes parties en guerre contre les hommes le regrettent, mais elles ne veulent pas trahir leurs « sœurs », ou leurs cheffes, qui leur interdisent de toucher au moindre mec. Elles sont sous emprise.

 

 

Les femmes indépendantes ont voulu échapper à l’emprise de l’homme, certaines se retrouvent sous l’emprise des féministes, ou des lesbiennes qui se cachent derrière. On appelle ça déshabiller Paul pour habiller Jeanne.

Les femmes ont changé depuis Mai 68 (ou la pilule), mais dans ce changement même, il y a des femmes qui rechangent. On ne dit pas que toutes les ex-féministes vont devenir des tradwives parfaites (la mayonnaise ne rentrera plus dans le tube), mais on sent qu’on va vers un point d’équilibre. Pas forcément par amour, mais par l’effet de la lutte contre un ennemi commun.

Mais non, pas les juifs ! Le capitalisme diviseur, celui qui détruit l’Amour pour vendre l’Autre.

 

Déconstruction et reconstruction

 






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76 Commentaires

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  • #3499024
    Le 26 février à 03:49 par The blue horse
    Il y a femme et femme

    Juste : le commentaire de la jeune femme brune à lunettes.
    J’adore les hommes : Je leur ai fait toujours fais des misères, les ai fait tourner en bourrique, gagne aux échecs, leurs est cloué le bec souvent, dans des conversations de haut niveau. Même maintenant, à un âge avancé, ça continue et ils en redemandent.
    Cessons d’alimenter la haine entre hommes et femmes, protégeons l’autorité parentale.

     

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  • #3499027
    Le 26 février à 04:21 par goy pride
    Il y a femme et femme

    parce qu’il avait peur qu’elle couche avec le collègue ou le patron,



    Non. C’était parce que la fierté de l’homme, et c’était la seule fierté de l’ouvrier salarié, était de pouvoir nourrir sa famille par sa seule force de travail, et que sa femme n’ait pas à travailler, c’est à dire s’humilier à travailler pour un autre homme qui n’est pas de sa famille, et qu’elle puisse se consacrer au bien être du foyer. Après une journée à l’usine la seule chose de vraiment réconfortante pour homme était sa famille dont il était le roi, et sa reine vivant protégée de la pourriture du monde à l’abri dans son foyer...Et une reine n’a à obéir, se soumettre à aucun autre homme que son mari, c’est pour cette raison que l’homme traditionnel vit très mal et comme une humiliation que sa femme soit soumise à un autre homme que lui même.
    Je fais partie des dernières génération ayant eu une mère au foyer. Vous n’imaginez pas le luxe que c’était d’avoir une mère "professionnelle" ! La maison impeccablement tenue et propre, des repas succulents, variés et nourrissants...une mère toujours présente et structurante (les vertus du martinet, des coups de manche à balai...)...
    Avoir privé les enfants de cela est littéralement un crime contre l’humanité.

     

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  • #3499132
    Le 26 février à 10:22 par eddy
    Il y a femme et femme

    Malheureusement, certaines femmes féministe ne réalisent l’arnaque que très tard vers 35-40 ans, au moment ou les hommes ne les regardent plus ou au moins moins qu’avant et là le drame commence :
    - la solitude affective et même sociale, les vieilles filles finissent souvent assez mal et surtout seul.
    - l’impossibilité après s’être formé aux combat anti-masculin de redevenir féminine et coopérative avec l’homme. Donc la quasi-impossibilité de retrouver des atouts féminins au moments même ou la beauté disparaît.
    - La résurgence de problèmes personnelles sous-jacent. Les femmes féministes ont des problèmes avec leur papa en général.
    - L’incapacité après avoir rejeté toute leur vie leurs échecs sur les hommes de prendre leur responsabilité envers eux-mêmes et hélas l’humilité ne fait pas partie des vertus féministes.
    Bref à partir de l’âge ou la beauté disparaît, ces femmes à l’égo surdimensionné ne sont plus capable de réaliser leur valeur sur le marché sexuelle et c’est à ce moment qu’elle tombe sur les brouteurs et autres arnacoeur en ligne, vers 40-50 ans qui les escroquent en profitant de leur solitude affective, leurs insécurités (la peur de finir seule) et leur égo surdimensionné, souvent incapable de comprendre ce que cherchent les hommes, elles ne réalisent pas que le train pour un homme beau, riche, intelligent et célèbre est passé depuis longtemps).

     

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  • #3499135
    Le 26 février à 10:29 par toto l’asticot
    Il y a femme et femme

    Né en 70, j’ai vécu de plein fouet la "libération de la femme", les effets délétères dans l’enseignement de mai 68, j’ai vécu la période SIDA, j’ai aussi subit l’immigration invasion, le Menhir traité ad hitlerium , j’ai surtout subit les effets de Vatican II.
    .
    Aujourd’hui divorcé d’une femme castratrice comme beaucoup de ma génération ( je ne sais pas pour les autres générations ) j’ai fréquenté un site de rencontres avec un caddie et un homme dedans ... j’y ai retrouvé les mêmes victimes que moi de l’autre sexe. Des femmes quinqua sans enfant, gouffres affectifs et la certitude d’avoir perdu leur vie, ces femmes qui ( comme dit Sardou ) "vivent l’amour d’automne et laissent l’homme faire ce qu’il veut". D’autres avec enfants, beaucoup moins dispersées. Et enfin, une femme qui sait qu’elle a besoin d’un homme pour l’hygiène, pour la bagnole, pour la protection, pour le bricolage, pour remonter les bretelles aux gamins, pour réparer les vélos .... elle se charge des tâches physiquement à sa portée, qui ne salissent pas et s’appellent les travaux de Pénélope.
    Elle sait aussi qu’elle a besoin de sa dose d’homme quotidienne et se donne les moyens de l’avoir, sachant qu’en plus, par le fait, elle s’assure que je pars au bureau les valises vidées.
    .
    Message aux jeunes générations, mariez vous vierges car on ne se donne qu’une fois, ayez des enfants en d’autres termes , prospérez , et suivez la Voie du Christ.
    Regardez, une femme n’est heureuse qu’avec un enfant sur la hanche, la logistique est le fait de l’homme.
    Mesdames, mariez vous, portez et engendrez, et faites confiance à votre homme.

     

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  • #3499156
    Le 26 février à 11:10 par Paul
    Il y a femme et femme

    "Elle se rend compte que vivre seule, surtout avec une portée de petits, c’est dur. Elle remet alors en cause le dogme féministe qui lui dit de s’éloigner de l’homme, qui est néfaste pour elle, et pour ses enfants"

    C’est très juste. Le problème c’est qu’avec le matérialisme et les idéologies toxiques comme le féminisme, la femme choisit d’être "libre et independante" durant ses meilleures années.

    Ce n’est qu’une fois attend environ 35 ans qu’elle se rend compte de ce que dit l’article. Elle se rend compte que travailler pour un patron qui la méprise autant que les autres employés, c’est chiant, que si elle pouvait avoir un homme qui s’occupe de rapporter les revenus pour elle, ce serait plus pratique. Et puis, qu’elle ne va pas pouvoir continuer à retarder le moment d’avoir un gosse. Elle se rend compte que les hommes la regardent moins en public, et que les autres femmes de son âge ont des gosses. Par souci de conformisme social, elle sent qu’elle en veut un aussi.

    Le problème, pour l’homme, c’est que à cet âge, ce n’est plus intéressant. L’homme à 35 ans commence normalement à avoir une carrière, des bons revenus. L’homme avait besoin d’une femme quand il avait 25 ans pour l’aider et pour construire quelque chose ensemble. Passé 35 ans, la femme va lui être qu’une source d’emmerdes, et un poste de dépenses dont il peut se passer. Sans compter qu’elle a eu une multitude de partenaires à ce stade, donc la relation ne sera pas top.

    A ce stade, l’homme a plus intérêt à rester celib, payer pour une prostituée de temps en temps, et rester concentré sur son travail, ses amis, ses loisirs.

    J’ai l’impression que ça fonctionnait bien jusqu’à la génération des boomers. Les gens se marriaient vers 20-25 ans, vivaient toute leur vie ensemble. C’est comme ça dans ma famille en tout cas.

     

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  • #3499168
    Le 26 février à 11:37 par Sev
    Il y a femme et femme

    L’honnêteté est une valeur cardinale. Reconnaitre qu’on s’est fait enfler nous rend moins c***. Je fus de ces femmes qui furent vaguement féministes dans les années 90. Un jour, j’ai entendu AS sur un plateau de la branchitude déjà très
    bienpensante de l’époque. Il répondait, entre autres, à une oubliée de la médiacratie : l’inénarrable I. Alonso ;-)

    Intriguée par l’analyse très fine (si si !) d’AS, je me suis procuré son livre (Vers la féminisation) qui m’a indiscutablement éclairée sur l’arrière-boutique de ce mouvement dans lequel par ailleurs je ne me reconnaissais pas vraiment. Les écrits des A.Fouks et autres De Beauvoir résonnaient contradictoires, voire malhonnêtes pour la 2sd.

    Aujourd’hui, j’ai bien compris cette énorme arnaque et je suis chagrinée de voir que les néoféministes (bien pires que leurs aînées) sont comme les wokistes et autres LGBTistes d’aujourd’hui : totalement formatées, hystériques, intolérantes, méchantes et vindicatives jusqu’à l’absurdité.

    Mais il en va ainsi du chemin de l’éveil... il est long, difficile et toujours douloureux dans les moments de découvertes des grosses manœuvres sous-jacentes.

    Je voudrai cependant faire une petite rectification au constat du début de l’article ci-dessus, où l’auteur affirme que la plupart des femmes qui trompent leur mari le ferait parce qu’elles aiment séduire... Bien sûr, il y a forcément aussi un peu de ça, mais "pas seulement" ! Car, un aspect est souvent oublié lorsqu’on évoque l’adultérisme des femmes... c’est le fréquent manque de savoir-faire des hommes en matière érotique et amoureux.

    Frustrées par ce manque d’imagination, et surtout de connaissance du "comment fonctionne le corps et le désir d’une femme", beaucoup de femmes restent en plan et leur frustration les poussent à aller chercher ailleurs du mieux. L’homme jouit de façon assez simple, notre désir est, vous le savez fort bien, très complexe. C’est ainsi et nous aimons, pour la plupart d’entre nou, rien tant que le "savoir faire" amoureux.

    Certes, il y a aussi des hommes qui savent y faire, mais je peux vous garantir qu’en regard de mes propres expériences et des nombreux échanges avec plein de copines, on a plus souvent affaire à des pas-doués qu’à des poètes de l’érotisme. Mais soyons honnêtes jusqu’au bout... du côté des femmes, il y a aussi beaucoup de pas-douées !

    Ma conclusion est la même que l’auteur de l’article : C’EST BIEN ENSEMBLE QU’ON PEUT ALLER VERS LE MIEUX, et ce, en tout domaine :-)

     

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  • #3499336
    Le 26 février à 19:42 par Dino X
    Il y a femme et femme

    Quand j’étais jeune, j’étais pas trop mal...je veux dire je faisais des rencontres amoureuses, j’ai eu des relations durables (classique pour un jeune homme).

    Puis à 34 ans, j’ai eu un accident de voiture qui m’a partiellement défiguré ; c’est pas "elephant man" mais j’ai un visage très disgracieux.
    Maintenant, je ne dépasse JAMAIS JAMAIS le 1er rdv...

    Mon Dieu, qu’est-ce que je regrette mes jeunes années et la compagnie d’une femme me manque cruellement.
    C’est pas pour me plaindre, c’est le destin...mais je donnerai tout pour pour revenir en arrière et ne pas prendre ma voiture ce soir là.

    Comme quoi, y’a pas besoin du féminisme ou autre connerie pour être privé d’une vie à deux...on doit être nombreux dans cette situation.

     

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    • #3502811
      Le 6 mars à 05:56 par Cassandre
      Il y a femme et femme

      Ce n’est que mon avis et je suis peut être complètement à côté de la plaque, mais les femmes ( et même des canons )peuvent être très attirées par des hommes considéré comme laid, voir hideux, quand ils sont très sûr d eux, qu’ils sont virils, qu ils ont l’air d’être protecteur et tout sauf soumis à la femme.
      Et je n inclus pas la prostitution conjugale. C’est peut être votre vision de vous même depuis cet accident qui fait fuir. L humain a un instinct qui détecte le danger, les défauts qui sont contre nature, pour s accoupler, fonder une famille ect. Le fait est que c’est des traits plutôt féminin de douter, de se soucier de son apparence jusqu’à tout miser là dessus. Ça s explique ces conséquences psychiques quand on vit une épreuve comme la vôtre, c’est normal et pas du tout une faiblesse, ou votre faute, ou superficiel. Je vous souhaite de guérir de ce trauma, de vous concentrer sur vos qualités qui elles ont été et seront en vous.
      Car il faut un sacré mental pour guérir des blessures, douleurs, réduc et tout le parcours d un accidenté de la route. Cordialement.

       
  • #3499392
    Le 26 février à 22:57 par Anne Guerrier
    Il y a femme et femme

    Combien de ceux qui ont commenté cet article, sans parler de celui qui l’a écrit, montrerait son texte à sa mère, à sa soeur... à sa femme, sans rougir ? Vous êtes en train de devenir fous, messieurs, par pitié, reprenez-vous, "les femmes", "la femme", ça n’existe pas. Pensez à celles qui vous ont accompagnés toute votre vie, aux vraies femmes que vous connaissez. Tiendriez-vous devant elles les propos que vous publiez ici ? Dès qu’on crée des catégories générales en parlant de l’humanité, on dit des sottises. Ce que je lis ici ne grandit pas les hommes. Ca ne dégrade pas les femmes, Dieu merci, ça ne dégrade que ceux qui se prêtent à ce woman bashing gratuit. Ca me fait penser au petit retraité de base qui n’ose pas tenir tête à son connard de voisin qui l’intimide, mais qui vote extrême-droite et applaudit l’affreux roquet Retailleau en espérant que quelqu’un va être ferme à sa place. Effet de meute ? La France, celle que j’aime et sers de mon mieux, ce n’est pas ça. On a un peu plus de panache et de classe que ça, en principe, non ?

     

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    • #3499508
      Le 27 février à 08:57 par Ray
      Il y a femme et femme

      Allez donc sur les réseaux et voyez comment les femmes font double jeu...

      Tout n’est que fable malheureusement. Un fils aimé par une mère voit la vérité dans ce bas monde.

       
    • #3499535
      Le 27 février à 10:36 par Sev
      Il y a femme et femme

      Et moi, de partager totalement votre commentaire ! :-)

      Oui, parfois, sur ce site, on sent une tendance à une misogynie généraliste un peu facile...

      Être virile, retrouver une attitude "guerrière" noble, digne, courageuse ne va pas avec le discrédit quelque peu méprisant que certains hommes expriment ici et là.

       
  • #3499613
    Le 27 février à 13:27 par Gerhum
    Il y a femme et femme

    Il ne faut les fréquenter que par hygiène,, nous ne sommes pas fait pour vivres ensemble

     

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    • #3499796
      Le 27 février à 22:37 par Alençon
      Il y a femme et femme

      Il n’ y a pas de raison d’ être méprisant ou condescendant à l’ extrême , je te rappelle que tu dois probablement ta naissance et survie à la volonté de ta mère comme l’ immense majorité des créatures de ce monde .
      Maintenant , et une fois qu’ on a dit ça , s’ impose la consternation face au reste.. la consternation face à ce qui ne peut être que défini comme la grande déception de la vie .
      Faut dire que , la société de consommation a si bien promotionné la pratique du commerce , du mensonge , de la manipulation , de la tromperie , du narcissisme , des illusions pécuniaires ; que plus rien d’ autre ne semble avoir de valeur.. ni la courtoisie , ni la parole , ni le cœur .

       
  • #3500325
    Le 1er mars à 07:55 par cadence
    Il y a femme et femme

    J’ai grandi avec une mère née au début des années 60 je l’ai donc vu enfant avec d’autres femmes travailler ET tout faire à la maison avec le sentiment que les femmes avaient un peu trop à charge. Ado j’ai vu la montée des mères célibataires et je me disais que vraiment on avait le choix entre la peste et le choléra. La baisse des salaires, le chômage a mis tout le monde dans un bourbier, l’idéologie féministe mais aussi la misogynie n’aident personne. La fierté masculine a pris un revers lorsqu’un seul salaire n’a plus suffit je l’entend mais beaucoup trop ont plongé et se sont laissé aller et ont déversé leurs mal-être sur leurs compagnes qui ayant un salaire avait la possibilité de partir. Aujourd’hui si on ne choisit pas de faire front en tant que couple d’y voir un rempart contre toute cette merde et de le choisir tous les jours et de protéger cette forteresse alors les saloperies néo féministes, le wokisme et tout le reste aura raison de tout.

     

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