N’importe quel homme pourrait être un client.
Bah non ma grande. 51 barreaux et j’ai jamais été client, et certainement pas le tien, ça c’est clair et net.
Je suis même allé dans un bordel plutôt haut de gamme (c’était pas du tout le Lady Dallas) à La Jonquéra quand j’ai bossé sur Toulouse et, nada. J’avais résisté pendant un moment aux sollicitations de mes voisins pis un samedi où il y avait rien de prévu, j’ai accepté une invitation de 2 voisins qui s’y rendaient.
J’ai fait le malin, j’ai tiré que 100 euros, l’entrée plus un petit verre , il me restait déjà moins que le prix d’une girl ; 80€.
Et pourtant j’ai été accosté presque d’entrée par une Tchèque, toute façon il y avait que des bombes dans la boîte, et un voiz’ m’a même proposé de me prêter du blé, mais non.
Très bonne expérience au final. En fait le truc c’est une boîte de nuit, pareil mais avec des girls qui se baladent en lingerie de partout et qui essaient de croûter.
J’ai discuté avec une Roumaine super cool, elle m’a expliqué qu’elle était là pour 15 jours (c’était les vacances de Noël) pour payer son second semestre en école d’ingé en Roumanie. On a bien discuté autour d’un verre que je lui ai offert alors que je lui avais indiqué d’entrée que j’avais plus assez de blé pour obtenir ses services.
Et faut pas plaisanter là-dedans, j’ai vu un mec se faire dégager par la sécu pour une main inappropriée, ce fût musclé.
Au final, tu vois les conditions de travail dont elles bénéficient dans le bordel en repartant au petit matin.
Alors c’est pas la panacée de vendre ses fesses je le reconnais mais dans le genre, elles bossent en toute sécurité et hygiène.
Au petit matin donc, vers 5 heures, tu vois aux (nombreux) ronds-points des filles faire le pied de grue dans l’obscurité et le froid, avec aucune protection physique apparente dans un environnement de parkings poids lourds à perte de vue, bah je te l’dis, y’a pas photo avec le bordel.
Une vraie féministe devrait spontanément militer pour la régularisation de la prostitution (pour le social ; cotisations santé, vieillesse, chômage...) et des maisons closes (sociétal ; sécurité et hygiène...). Le reste c’est de la poésie ou de l’enfumage à la course aux subventions et l’argent facile.
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