Dans une interview au Point, l’ancien président dresse un constat cru du combat contre l’islamisme.
Cinq ans aux plus hautes fonctions, puis un certain recul sur la sphère publique, ont semble-t-il rendu Nicolas Sarkozy plus lucide. Dans un long entretien accordé au Point, le chef de l’État qu’il a été évoque sans ambages plusieurs sujets d’actualité. Parmi ceux-ci, la lutte contre l’islamisme, que l’Europe combat depuis plusieurs années maintenant sans parvenir pour autant à l’endiguer totalement.
« On ne discute pas avec l’extrémisme islamiste, on le combat. On ne peut pas accepter la lapidation de la femme, le refus de s’intégrer, la violation de ce que nous avons de plus cher. Nous sommes encore trop naïfs et trop faibles », estime ainsi l’ex-locataire de l’Élysée, qui aborde une autre problématique très actuelle, dans cette interview : la crise migratoire.
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« La question migratoire ne peut plus être gérée par un commissaire inconnu et sans légitimité politique. Elle doit l’être par un gouvernement européen composé des ministres de l’Intérieur, qui éliront en leur sein un président, rendront des comptes démocratiquement et à qui on devra rattacher Frontex. »
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