« Depuis Nicolas Sarkozy, les services secrets israéliens ont opéré un rapprochement avec les autorités françaises, contribuant à déjouer plusieurs tentatives d’attentat. Mais la méfiance reste de mise. »
En pleine réactivation des attentats dirigés contre le peuple de France, dont l’ennemi n’est pas en lui mais bien au-dessus de lui, Le Figaro sort un article étrange à la gloire du Mossad, un des premiers producteurs de terrorisme au monde. On y apprend que le service de renseignement israélien a aidé nos services à déjouer plein d’attentats. Le journal ne dit pas s’il a aidé nos services à en fomenter d’autres ou si ce service étranger a doublé le nôtre en quelques sanglantes occasions.
Le journal qui a retourné très récemment sa veste contre les Gilets jaunes (avec une avalanche d’articles négatifs) revient sur l’historique des relations de la France avec Israël à travers les infiltrations du Mossad dans notre renseignement, et dans notre renseignement militaire mais ça, Le Figaro ne le dit pas : il se borne à évoquer les relations houleuses de De Gaulle avec ces infiltrés après la guerre d’Algérie.
Personne n’ignore que c’est Sarkozy qui a remis le Mossad en selle par le truchement de Squarcini, qui est allé « voir » le patron israélien Meïr Dagan. Cette collaboration a imbriqué les deux services mais a nui à l’image d’indépendance de la France qui a perdu tout crédit au Proche-Orient. Sarkozy a aussi réintégré la France dans l’OTAN sans nous demander notre avis : c’est le privilège des présidents qui font un peu ce qu’ils veulent, dans le dos de leur peuple.
Le dernier paragraphe de l’article fait trembler :
« Officiellement, la coopération entre les services des deux pays n’a jamais été aussi étroite, notamment pour lutter contre le terrorisme. Depuis 2015, plusieurs attentats ont ainsi été déjoués, en partie grâce à des renseignements transmis par le Mossad : par exemple le démantèlement par la DGSI, en novembre 2016, à Marseille et à Strasbourg, d’une cellule de djihadistes de l’État islamique soupçonnés de vouloir passer à l’action. Ainsi que l’arrestation, fin juin 2018, en Belgique, de deux Iraniens suspectés de préparer un attentat lors d’un rassemblement d’opposants iraniens à Villepinte. Dans les faits, chacun continue pourtant de surveiller l’autre du coin de l’œil… »
C’est le genre d’article incongru – mais ça a le mérite d’ouvrir très légèrement la porte sur le pouvoir profond – qui va faire sursauter Panamza, le site accusé de tous les complotismes par le lobby sioniste français. Justement, à propos de la tuerie de Strasbourg, l’enquêteur a exhumé un détail troublant.
« La Strasbourgeoise qui a décrit le terroriste "fou furieux" est une militante juive et sioniste affiliée au régime israélien. La preuve en sources.
Un fait interpelle : dans sa conférence de presse à Strasbourg, le procureur Rémy Heitz, ancien premier magistrat d’Alsace et successeur du procureur (sous contrôle sioniste) François Molins, prétend qu’il existe des témoins de l’attentat du 11 décembre ayant affirmé que le tireur aurait crié "Allah Akbar". »
« Curieusement, parmi tous les témoins sollicités par la presse écrite et audiovisuelle, AUCUN ne corrobore cette allégation.
Et parmi cette poignée infime de témoins "directs" interrogés, l’un n’a pas exactement un profil anodin sur le plan politique.
Plus précisément : cette femme est radicalement ancrée dans la frange la plus droitière et religieuse du sionisme – au point de travailler (depuis Strasbourg) pour une organisation israélienne. »
Cette présence étonnante est peut-être la conséquence de « l’étroite relation » que nos services entretiennent, sur ordre supérieur (Intérieur, Élysée) avec les services israéliens.
Mais comment faire confiance à un service qui a fait sa gloire et sa fortune sur la désinformation et la manipulation ? Peut-on croire à une aide désintéressée de la part du bras armé de la caste politico-militaire de Tel-Aviv ?