Le dôme de fier médiatique israélien a pris un gros coup dans l’aile : le concept de génocide, qui a longtemps été accolé aux nazis, grâce à l’intense propagande sioniste sur le sujet depuis 50 ans, commence à se retourner contre le pouvoir israélien. La réalité a rattrapé la propagande et lui a mis une raclée.
Déportation #Gaza : la comparaison entre l'occupation israélienne et le régime Nazi n'est plus un tabou pour certains journalistes.
« On voudrait que les palestiniens quittent leurs terres. Que ça plaise ou non à ces messieurs d'extrême droite israélienne, la… pic.twitter.com/SDtyp9CRHb
— Break News (@BreakNewsFrance) January 5, 2024
Pour les plus jeunes de nos lecteurs, qui n’étaient pas nés dans les années 1900, et malheureusement enfumés par l’éducation antinationale franc-maçonne depuis 1968, le plan Madagascar des Allemands était le suivant : déporter 4 millions de juifs ouest-européens en 1940 vers l’île de Madagascar. L’opération devait être financée par la confiscation des biens juifs, et la réinstallation assurée par 120 gros navires (avec 8 000 personnes à bord) qui chargeraient 1 million de juifs par an pendant 4 ans.
Le problème, c’est que les Anglais n’ont pas capitulé, et que les mers leur appartenaient toujours, interdisant ainsi tout transport maritime allemand. Le plan fut abandonné et remplacé par le plan Heydrich, celui de la déportation des juifs ouest-européens à l’est. Il s’en est fallu d’un cheveu que l’histoire racontât la vie des juifs sur une île africaine, au milieu des autochtones et des lémuriens. On a beau trouver ça complètement fou, le monde n’en est pas passé loin.
L’histoire est un drôle de truc, c’est comme le destin personnel : il y a une myriade de possibles, mais un seul se réalise.
Bientôt un camp de la mort israélien dans le désert du Sinaï ?
Aujourd’hui, malgré la résistance farouche des médias mainstream, qui ont encore peur de changer de génocidaire (c’est encore les Allemands les méchants), un génocide suivi d’une déportation de masse est bien en cours en Palestine, sur le modèle allemand de 1941. Déjà que les Israéliens avaient appliqué la méthode Stroop à Gaza, du nom du général SS qui avait liquidé la résistance du ghetto de Varsovie, maintenant ils appliquent la méthode Heydrich.
On nage donc en pleine psychopathologie nationale, un génocide subi qui devient un génocide infligé.
L'idée folle de vider Gaza devient de plus en plus réelle... Alors qu'elle avait été abordée en novembre dernier, les responsables politiques envisagent de chasser une partie de la population palestinienne.
On vous explique pourquoi dans "L'heure du choix" de @Frclemenceau pic.twitter.com/gAcPH345gk
— LCI (@LCI) January 5, 2024
On le sait, les solutions proposées par le pouvoir nazifié de Tel-Aviv sont la déportation de masse dans le Sinaï, à cheval entre Israël et l’Égypte, une autre en Jordanie, sinon en Europe de l’ouest, par un retournement incroyable de l’histoire judéo-nazie de la Seconde Guerre mondiale.
Naturellement, les esprits logiques se sont dit : si un million de Palestiniens débarquent en Europe (sur des navires israéliens ?), par exemple en Allemagne et en France, qui sont les deux plus gros mangeurs de migrants, alors comment réagira la communauté juive, qui est en France l’une des plus importantes de la diaspora ?
Imaginez, 500 000 Palestiniens remontés comme des pendules contre les juifs, chassés de leur terre par 100 000 colons israéliens armés (un plan de reconstruction coloniale de Gaza est déjà sorti), face aux injonctions antipalestiniennes du CRIF et aux propagandistes sionistes de nos médias ? Sans oublier des combattants du Hamas à l’intérieur...
Il n’est pas certain que BHL, Arfi, Korchia et compagnie soient emballés par le plan France...
Times of Israel écrit :
Dans un rare élan de solidarité interpartis, Danny Danon (Likud) et Ram Ben-Barak (Yesh Atid) ont publié mardi [14 novembre 2023] un éditorial dans le Wall Street Journal, appelant « les pays du monde entier à accepter un nombre limité de familles gazaouies ayant manifesté le désir de se réinstaller » (...)
Citant les guerres en ex-Yougoslavie et au Kosovo comme exemples illustrant l’ouverture des frontières des pays européens aux réfugiés, et mentionnant les 1,2 million de réfugiés accueillis par l’Allemagne à la suite de la guerre civile syrienne, les deux législateurs ont exhorté les pays du monde entier à « offrir un refuge aux habitants de Gaza qui cherchent à se réinstaller ».
« Il suffirait qu’un très petit nombre de pays dans le monde se partagent la responsabilité d’accueillir les habitants de Gaza. Même si chaque pays n’accueillait que 10 000 personnes, cela contribuerait à atténuer la crise », poursuivent-ils.
« La communauté internationale a l’obligation morale – et la possibilité – de faire preuve de compassion, d’aider les habitants de Gaza à s’orienter vers un avenir plus prospère et de travailler ensemble pour apporter la paix et une plus grande stabilité au Moyen-Orient. »
Un vrai délice que cette « obligation morale de faire preuve de compassion » dans ces bouches israéliennes, vis-à-vis d’une communauté internationale vue comme une poubelle à Palestiniens.
Kagame-Netanyahou, les génocidaires associés
Israël est en pourparlers avec le Rwanda et le Tchad pour accueillir des milliers de d’habitants de la bande de Gaza. Les deux pays africains ont donné leur accord à la poursuite des discussions avec Israël à ce sujet, contrairement à d’autres pays qui ont refusé le principe même d’un déplacement de la population gazaouie, a révélé Zman Israel vendredi, citant un responsable politique israélien. (i24news)
Il a trouvé la solution finale du problème palestinien !
Après @idrissaberkane c'est au tour de @rougeyronpierre de se positionner en faveur du génocide des Palestiniens avec les éléments de langage déshumanisants qui vont bien.
Le Droit, c'est tellement surfait pour Israël, dixit ce géopolitologue auto-proclamé 1/#Gaza #GazaGénocide pic.twitter.com/dkquFOflXq
— Nemontana (@Nemontanaa) January 8, 2024
Notre conclusion
Les propagandistes des médias mainstream français commencent à se rendre compte avec une certaine épouvante que le soutien à l’entité israélienne les mène dans un mur moral qui s’appelle nazisme.