Les stratèges américains savaient très bien que la Russie ne s’effondrerait pas, ils pensaient que la guerre serait courte mais dans le sens où l’Ukraine s’effondrerait assez vite et ne tiendrait pas près de trois années face à la Russie. La résistance de l’Ukraine face à la Russie a été l’heureuse surprise et l’heureuse surprise empoisonnée. Au sens ou effectivement, le stratèges américains ont dû gérer et improviser l’exploitation des innombrables victoires défensives de l’armée ukrainienne. Pour rappel, Ouglédar qui est à cette heure même en train de tomber aux mains des Russes a résisté depuis 2022 à des dizaines d’assauts infructueux où les Russes ont subi de lourdes pertes. Les Américains n’ont fait que repousser le plus possible la résolution du conflit qu’ils ont préparée il y a longtemps, parce que la résistance inattendue de l’armée ukrainienne leur a offert des bonus délirants : des centaines de milliers de morts creusant le fossé entre la Russie et la chimère Ukraine-Union européenne-OTAN, la résurrection de l’OTAN, la chute de Gazprom, etc. Car au printemps 2023, l’essentiel était acquis pour les stratèges américains : invasion russe de l’Ukraine, sanctions illimitées, coupure de Nord Stream, entrée de la Suède et la Finlande dans l’OTAN, construction des terminaux GNL en Allemagne, condamnation de la Russie par l’assemblée générale de l’ONU, etc.

Si Jacques Baud n’est pas capable de comprendre cela, alors c’est qu’il nous baratine. Et d’ailleurs, le fait qu’il commente inlassablement des contenus de politiciens ou de médias occidentaux au lieu des faits concrets le disqualifie définitivement. Sans parler de son « c’est pour ça que l’Ukraine a demandé l’aide de l’OTAN »... En 2014, après la chute de Yanoukovitch l’Ukraine est immédiatement devenue un protectorat américain et toutes les décisions politiques y étaient dictées par l’ambassade des Etats-Unis. L’OTAN a aidé l’Ukraine parce que les américains y avaient pris le pouvoir, c’est tout. Jacques Baud joue un jeu trouble, ce type est glissant comme le sol des douches en prison...

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Les missiles Storm Shadow contiennent au moins un Modèle Numérique de Terrain.

Restitution automatique du relief à partir de couples stéréoscopiques d’images du satellite spot : titre de la thèse de doctorat de Laurent Renouard ( polytechnicien ) soutenue en 1991.

Cette thèse a permis de constituer la société ISTAR ( à Sophia Antipolis ) qui a ensuite été rachetée par Spot image. Le modèle mathématique utilisé par ISTAR n’est pas celui présenté dans cette thèse. Il est plus précis que celui présent dans cette thèse.

Désormais, toutes les nations possèdent cette technologie.

Les étasuniens n’ont donc pas le monopole de cette technologie mais ils ont fait signer un contrat qui oblige le constructeur du missile Storm Shadpw à installer un logiciel étasunien permettant de fournir à ce missile des données provenant d’un MNT.

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Pourquoi toujours parler de victoire ou défaite come des faits absolus ?

C’est très rarement le cas pour les guerres, et c’est vraiment le cas pour l’Ukraine.

La Russie a lancé une opération spéciale avec 150 000 hommes pour faire tomber l’Ukraine en quelques mois. Avec les objectifs suivants :
Attacher le dombass à la Russie
Résister au sanctions économiques
Sécuriser la crimée
Garentir un bon accès à la mer noir par odessa
Nettoyer les nationalistes Ukrainiens
Détruire l’armée ukrainienne
Mètre en place un gouvernement pro russe
Récupérer les. Ressources minières du centre ouest.

Après 2. 5 ans de guerre totales et 750 000 engagés actuellement, les objectifs 1 et 2 (même si ils contrôle pas encore tout le dombass) sont atteint. Les reste pas encore, et certains points sont pas réalisable.

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L’ironie suprême dans ce grand théâtre économique ? La Russie, confortablement assise sur un empire de richesses naturelles, pourrait s’endetter sans même froncer un sourcil. Mais non, elle reste stoïque, imperturbable, refusant de tendre la main aux créanciers, comme un aristocrate dédaigneux qui regarde l’argent avec mépris, se sachant riche d’un patrimoine bien plus précieux. Pendant ce temps, l’Europe, elle, s’acharne à empiler les dettes comme on empile des trophées, avec une ardeur quasi masochiste. Plus on s’endette, plus on semble y trouver un étrange réconfort, comme si l’accumulation des déficits relevait d’un sport national. Les rôles sont ainsi inversés : ceux qui pourraient se permettre la folie du crédit restent sages, tandis que ceux qui devraient freiner leur course endiablée continuent d’avancer, les yeux fermés, vers un gouffre qu’ils connaissent trop bien. La plus belle blague dans tout cela ? Ce sont ces mêmes Européens, endettés jusqu’au cou, qui se posent en donneurs de leçons.

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On sait bien, tiens il y a encore eu 25 morts Israeliens par une attaque venant d’Irak, ça tombe comme des mouches et pour Israel aussi c’est le début de la fin !

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