tous les journalistes des medias dominants a la solde du pouvoir sont tous les mêmes,aucun esprit critique ,on ne devrait plus employer d’ailleur cette définition pour eux,propagandiste serait plus adapté.

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Vergès est d’un calme olympien avec son vis-à-vis.
Le journaliste me rappelle Marc-Olivier Fogiel par le ton de la voix et l’arrogance qui suinte.
Ce journaliste est un agent ; sa dernière phrase, formatée, le prouve. Et Vergès qui se marre, c’est grand ! Bravo l’avocat brillant et juste.

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il n’est pas humainement possible d’etre aussi abjecte sans avoir de mauvaises intentions.
Si ce journaliste est si hautain et dedaigneux (comme la plupart), c est qu’au fond de lui, il sait ce qu il est entrain de faire.
Il croit avoir la haine envers Verges, mais c est contre lui meme qu’il est enervé en réalité. Il sait tres bien qu’il est de mauvaise foi, qu’il manipule les crédules et qu’il y est obligé par sa hierarchie. Et si il ne le sait pas formellement, il le ressent. C’est un etre humain.
Je pense donc que cette haine envers lui meme, du au fait de vendre son cul, ce repercute sur le ton qu’il emploi avec un illustre avocat venu commenter l actualité.

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Interview incroyable, ce "journaliste" est un flic de la pensée.

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Allez voir la "bio" de sieur laurent bazin sur wikipedia et les faits entourant la fermeture de son blog il y a quelques temps, vous comprendrez son abjecte attitude de serpillière arrogante.

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Vergès, imparable. Comme certains l’ont déjà dit, après on reproche aux journalistes ivoiriens de ne pas être assez fiable. LOL.

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Verges impeccable, comme souvent.
Bazin : une serpillière.
Arrêtons d’appeler ces gens journalistes, ce ne sont que les porte-paroles, les valets, les laquais, les p... de l’Empire.
N’employons plus le mot de journaliste, utilisons des termes qui correspondent davantage à la réalité de leur fonction : animateur de l’empire, propagandiste impérial, flic de la pensé, porte-parole de l’Elysée, de Washington, de Wall-Street ou de Tel-Aviv selon le cas. Dans cette guerre sémantique permanente, remettons les à leur place.

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Comment est-ce possible que le peuple qui ne s’informe que via les médias dominant ne comprenne pas qu’on essaie de manipuler son opinion ?

C’est quand même flagrant, ce propagandiste impérial est tellement pas crédible et se fait démonter totalement par ce grand monsieur, calme et posé, qui lui prouve par a+b que la France est en train de se foutre dans la mouise jusqu’au cou en s’ingérant pareillement dans cette histoire ...

"On ne vous fera pas changer d’avis"

Pitoyable ...

Le rire de Vergès en dit long, malheureusement peu de gens comprendront le sens de ce rire. J’imagine que les gens se diront : "Il rit car il n’a pas changé d’avis et il est du côté des méchants !"

C’est triste.

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Bonjour à tous,

quelques réflexions que m’inspirent autant l’interview que vos commentaires :

1) Je trouve dommage que M. Vergès n’ait pas su mettre en avant le peuple ivoirien au bon moment : M. Bazin lui assène l’argument massue du mandat ONU ou du résultat de l’élection, mais quel est la valeur de cet argument pour les Ivoiriens ? En particulier pour les électeurs de M. Gbagbo. Et je renvoie aux analyses de Bernard Lugan pour comprendre la partition de fait du pays depuis 2002, et les logiques de domination dans un pays ethniquement très hétérogène.

2) Dans la lutte contre l’empire, ses méfaits et sa déculturation, il me semble que le rasoir d’Hanlon est très précieux, et doit être constamment présent à l’esprit : "Ne jamais attribuer à la malignité ce que la stupidité suffit à expliquer." Je lis beaucoup de commentaires très durs sur M. Bazin, mais est-il malin ou ignorant ? Je doute en effet que des études de journalisme permettent de réellement connaître les sujets auxquels ce métier confronte. Pourquoi penser qu’un journaliste est en définitive moins décérébré, c’est-à-dire plus pernicieux dans ses énoncés, que le citoyen de base qui prend Le Monde et TF1 pour des sources d’informations fiables et équilibrées ? Après tout, la désinformation est une oeuvre collective, et je suis persuadé que les journalistes en sont autant les victimes que les auteurs, à des degrés divers bien entendu.

Je conclus en félicitant justement E&R, dont je ne partage pas toutes les analyses, pour son effort pédagogique. C’est un crédit qu’on ne peut pas lui enlever.

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verges = parfait
le journaliste en face = quel petit merdeux arrogant

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