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Jean-Baptiste Marteau, présentateur télé victime d’homophobie

Rien à voir avec le capitaine Marleau, la série woke de France 3 qui met en valeur les minorités sexuelles et raciales qui composent notre beau pays, et qui le décomposent parfois. Il s’agit des souffrances du jeune Jean-Baptiste Marteau, un des présentateurs des JO sur France Télévisions.

 

Jean-Bat est journaliste, mais aussi homosexuel, ce qui n’est ni un métier ni une qualité en soi. Et ce n’est pas nous qui le disons ou le dénonçons, c’est lui-même, qui a fait son coming out comme un grand, il y a plusieurs années. On se demande encore ce que la sexualité a à voir avec le travail de présentateur télé. À moins qu’il n’existe des JO homos comme il y a des JO pour handicapés, qui auront lieu fin août. On en reparlera.

Jean-Bat commente donc les JO et plus particulièrement l’équitation pendant la quinzaine enchantée. Il dit avoir subi remarques et insultes homophobes sur les réseaux sociaux. Voilà pour les faits.

 

 

On comprend sa réaction, mais il doit savoir une chose : le grand public n’aime pas qu’on lui passe des messages dans le dos, comme pendant la cérémonie d’ouverture, censée magnifier les valeurs du sport, et qui a fini en grosse partouze LGBT aux yeux des enfants et des croyants.

Jean-Bat subit les effets de cette onde de choc mondiale, qui n’est pas de l’homophobie, mais une réaction de défense devant une frappe terroriste mondialiste. S’il a bien reçu, et c’est malheureux, des messages de haine ou de persécution, il aura reçu en contrepartie des milliers de messages de soutien, ce qui montre que la haine reste quand même minoritaire.

Sortons de l’aspect émotionnel de l’affaire du 26 juillet, disons le SatanGate : Jean-Bat en particulier et l’élite LGBT en général ne sont pas victimes d’une campagne d’homophobie, orchestrée par on ne sait qui, mais bien d’une crise de la représentation. Et plus précisément de la surreprésentation de la communauté LGBT dans les médias, ou, si l’on veut, car le symbole est fort, dans l’explosive cérémonie d’ouverture. On peut parler de faute grave.

Cela implique une sous-représentation de la désormais communauté hétérosexuelle, exclue du pouvoir, qui n’est dans son écrasante majorité pas anti-LGBT, en tout cas pas hostile puisqu’elle a d’autres chats à fouetter. La persécution a en réalité changé de camp, puisque les moyens médiatiques et politiques sont entre les mains de la communauté LGBT, qui est puissante au gouvernement jusqu’à l’Élysée.

À partir de là, ce qu’on appelle « l’homophobie » ne peut être qu’une protection contre la persécution et la répression LGBT, qui frappe au moindre mot considéré comme offensant, alors même que les LGBT utilisent des termes interdits comme « pédé » ou « gouine ». C’est un « deux poids, deux mesures » comme on les aime !

L’illustration de ce déséquilibre et de ce basculement, c’est une demi-finale de boxe féminine aux JO entre deux hommes.

 

 

Le quart de finale entre l’Algérien et la Hongroise

L’analyse et les conséquences du SatanGate

 






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38 Commentaires

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  • #3404541

    Le lady boy Algérien, il va avoir un succès fou cet été au bled :)

     

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  • #3404718

    Imane Khelif c’est malheureux mais il va toute les éclater ces pauvres minettes !

     

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    • #3404869

      Elle a 2 chromosomes X, même si elle est par ailleurs avantagée par une anomalie avec laquelle elle est née.

      C’est aussi le cas pour Katzberg, car typiquement les mecs ne sont pas des géants de mètres. Chacun a droit à 6 lancés (on retient le meilleur), et à son premier essai il frôle le record olympique. L’or était alors dans la poche.

       
  • #3404865

    I/ Iman Khelif est chromosomiquement un 46,XY atteint d’une ADS (Anomalie du Développement Sexuel in utero) appelée 5-ARD, c’est-à-dire que sa 3ème étape de masculinisation in utero n’a pas eu lieu. Il est donc né soit avec un sexe féminin parfaitement formé (c’est rare), soit plus vraisemblablement avec un sexe ambigu, un entre-deux, c’est-à-dire un petit bourgeon de pénis à la place du pénis et du clitoris (allez voir les photos de cette ADS sur internet, vous comprendrez mieux).

    Malheureusement, jusqu’à il y a une quinzaine d’années, par ignorance et par facilité pour les médecins, ces enfants étaient mutilés à la naissance pour rendre leur sexe conforme au sexe féminin : il est en effet plus facile de « fabriquer » deux lèvres et un clitoris qu’un scrotum et un pénis. Ces enfants étaient donc déclarés filles à l’état civil et étaient élevés comme des filles. Cependant, à la puberté, la réalité revenait très violente et le choc était terrible tant pour l’enfant que pour les parents puisque les testicules (restés dans l’abdomen) se mettaient à produire massivement de la testostérone ainsi que tous les caractères secondaires masculins. Normal puisque ces enfants étaient bien des garçons depuis le départ.

    Aujourd’hui ces mutilations ne se font plus car on sait maintenant que la 3ème étape de masculinisation qui n‘a pas eu lieu in utero aura lieu à la puberté. Il faut donc laisser ce sexe comme il est ; le pénis et le scrotum se formeront à la puberté quand les testicules produiront massivement de la testostérone, selon le même principe que chez la jeune fille qui voit ses seins pousser à la puberté, par la production massive d’oestrogène et de progestérone. Ces enfants sont des garçons. Ils ont simplement un retard dans leur développement sexuel externe qui disparaîtra à la puberté.

    Suite dans le II/

     

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  • #3404866

    II/
    In utero, tout fetus XY doit en effet passer par 3 étapes de masculinisation. Les deux premières sont obligatoires. Si elles n’ont pas lieu ou si l’une des deux n’a pas lieu, c’est le système par défaut (la féminisation) qui prend le relais et ce fetus, bien que XY, sera une femme c’est-à-dire qu’il aura tous ou plusieurs caractères primaires et secondaires sexuels féminins et que son niveau d’hormones féminines sera le même que chez ses consoeurs XX.

    En revanche, la troisième étape de masculinisation in utero n’est pas obligatoire (même si elle est très fortement recommandée !) car si elle n’a pas lieu in utero, elle aura lieu à la puberté, donc chers parents, pas de panique, votre enfant est un garçon, après la puberté ses taux hormonaux masculins seront normaux et il sera fertile. Il a juste un retard dans son développement sexuel externe, dû à l’absence de DHT in utero. Voyons tout cela en détail, c’est le programme SVT de 1ère S.
    Les trois étapes de masculinisation du fetus XY in utero sont :

    1/ à la 7ème semaine : le gène SRY placé sur le chromosome Y s’active. C’est cette activation et elle seule qui entraîne la différentiation des 2 gonades en testicules.

    a/ Si le gène SRY ne s’active pas ou s’il est absent, les 2 gonades restent indifférenciées (elles ne peuvent pas se transformer en ovaires puisqu’il manque un X) et à la 8ème semaine, c’est le système par défaut qui prend spontanément le relais : le fetus sera alors doté (étape 2) des trompes, uterus, col de l’uterus et vagin supérieur et (phase 3) d’un sexe externe féminin parfaitement formé. Ce fœtus XY sera donc une fille avec des hormones totalement féminines. Cette ADS est appelée syndrome de Swyer ou Dysgénésie gonadique complète 46,XY.

    b/ Si le gène SRY s’active, les deux gonades se différencient en testicules qui produisent alors 2 androgènes (hormones mâles) : la testostérone (destinée à développer les canaux de WOLF qui donneront l’appareil interne masculin c’est-à-dire les 2 épididymes, les 2 canaux déférents et la vésicule séminale) et l’AMH (Hormone Anti-Müllériennne, destinée à détruire les canaux de Müller qui auraient donné l’appareil interne féminin : les trompes, l’utérus, le col de l’utérus et le vagin supérieur). A la fin de la 1ère étape de masculinisation, notre fœtus XY est désormais doté de ses 2 testicules.

    Suite dans le III/

     

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  • #3404868

    Je trouve regrettable cet acharnement contre cette boxeuse. On ne combat pas le mal par le mal. C’est une femme issue d’une famille conservatrice dans un pays conservateur, alors quel est le but de s’acharner sur elle ? La haine de l’Algérie aveugle certaines personnes, et si ce n’est par pur esprit tribal, il faut rappeler que l’Algérie a été victime du même système que vous combattez aujourd’hui avec cette association.

     

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    • #3408476

      L’Algerie est un pays qui vit d’une rente mémorielle haineuse pour le coup, et injustifiée. Vous comparez ce qui se passe à Gaza à la colonisation en Algérie qui a plus que profitée à ce peuple. Il suffit de regarder la démographie sous la France, vous parlez d’un massacre...

       
  • #3404870

    III/

    2/ une fois la testostérone et l’AMH produits par les testicules, encore faut-il qu’ils soient reconnus pas le corps pour qu’ils puissent agir. Et ce qui permet au corps de les reconnaître, ce sont les récepteurs d’androgènes, situés sur le chromosome X.
    La 2ème étape, cruciale à la masculinisation du fetus XY, est donc l’activation de ces récepteurs.

    a/ S’ils ne s’activent pas, le fetus XY se féminisera (étape 2) et par un procédé appelé l’aromatase, la testostérone sera convertie en oestrogènes (hormones féminines) qui permettront la féminisation du sexe externe. Le fœtus bien qu’XY sera donc une fille car jamais exposé aux hormones mâles et ces femmes ont un niveau hormonal féminin normal. Cette ADS présente plusieurs variétés dont la plus fréquente est appelée Syndrome d’insensibilité complète aux androgènes.

    b/ Si les récepteurs d’androgènes s’activent, la testostérone développe les canaux de Wolf et l’AMH détruit les canaux de Müller. A la fin de la 2ème étape de masculinisation, notre fœtus XY est donc désormais doté de ses 2 épididymes, de ses 2 canaux déférents et de sa vésicule séminale. Il reste maintenant à masculiniser son sexe externe qui donnera le scrotum et le pénis : c’est l’objet de la 3ème étape.

    Suite dans le IV/

     

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  • #3404880

    IV/

    3/ C’est maintenant au tour du gène SRD5A2, situé sur le chromosome 2, de s’activer pour produire l’enzyme 5-alpha reductase 2. Cet enzyme va convertir la testostérone en un androgène ultra puissant : la DHT (dihydrotestostérone) et c’est la DHT qui va permettre la masculinisation du sexe externe. En effet, in utero, la testostérone n’est pas assez puissante pour masculiniser le sexe externe, seule la DHT peut le faire.

    a/ Si le gène SRD5A2 s’active, le sexe externe se masculinisera et notre fetus XY sera désormais doté d’un pénis et d’un scrotum dans lequel descendront les testicules à partir du 8ème mois in utero jusqu’à 1 an après la naissance.

    b/ Si le gène SRD5A2 ne s’active pas, il n’y aura pas d’enzyme 5-alpha reductase 2 et donc pas de DHT et donc, le sexe externe se ne masculinisera pas. Soit il se féminisera complètement et à sa naissance, l’enfant sera pris pour une fille. Soit il ne se féminisera pas complètement, et à la naissance, l’enfant aura un sexe ambigu. Evidemment, puisqu’il n’y a pas de scrotum, les testicules ne descendront pas et resteront dans l’abdomen. Cette ADS se nomme 46,XY 5-ARD. Cependant, à la puberté, les testicules produiront de la testostérone en masse comme chez tous les adolescents XY ayant passé les 2 premières étapes de masculinisation in utero et les récepteurs d’androgènes pleinement fonctionnels permettront à cet adolescent d’avoir une puberté totalement masculine : voix, poils, masse musculaire, densité osseuse, poumons plus grands, etc. Si la testostérone est insuffisante, un traitement hormonal ponctuel de testostérone et de DHT pendant la puberté y remédiera.

    Lorsqu’un enfant présente un sexe ambigu à la naissance, pour savoir s’il est 46,XY 5-ARD, les analyses sont très simples : une prise de sang pour déterminer son caryotype, ses taux de testostérone, de DHT et d’enzyme 5 alpha reductase 2. Si l’analyse de sang révèle les chromosomes XY et un taux normal de testostérone mais l’absence de DHT et d’enzyme 5 alpha reductase 2, cet enfant est bien biologiquement un garçon qui a juste un retard dans son développement sexuel externe, dû à l’absence de DHT in utero.

    Une IRM confirmera d’ailleurs qu’il a bien des testicules, des épididymes, des canaux déférents, et une vésicule séminale.

     

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  • Je ne connaissais pas ce Marteau, vu que je n’ai pas de télé. Mais "qui sème le vent, récolte la tempête". La société Française tradi, se réveille, et ce ne sont pas des fillettes.

     

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  • #3405160

    l’Algérie au J.O de la honte c’est 2 médailles d’or, une par une française, entraînée toute sa vie par la France et qui n’a d’algérien que le morceau de tissus de sa bannière, l’autre ce sera un gars qui boxe les femmes et maintenant les lgbt sont leurs meilleures amis, je pense qu’on peut pas être plus en desh’. Si on m’avait dit pour 2024 que les algériens, musulmans McDo (qui "brillent" par leur tribalisme raciale dégénérés) et les lgbt (qui "brillent" par leur déconstruction dégénérée) deviendraient les meilleurs amis même moi je n’y aurait pas cru, c’est là qu’on voit qu’en terme de justice immanente ou de punition divine Dieu a un humour qui est au-dessus de tout, je ris depuis hier soir. Et les algériens sur les réseaux sociaux continuent d’insulter tout le monde de racistes et même d’homophobes, c’est juste un sketch auquel ils croient qu’on les croient alors qu’ils passent pour les plus gros dénégateurs, déloyales et hypocrites du monde, leur orgueil est en train d’enterrer le peu de respect que le monde avaient pour eux six pieds sous terre et alors en terme de crédit là...ça a traverser la Terre et s’est rendu dans l’espace je crois. Justice immanente quand tu nous tiens, surtout change pas de main.

     

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  • #3405499
    Le 8 août à 08:37 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Jean-Baptiste Marteau, présentateur télé victime d’homophobie

    j’avais demandé, à un copain pédé,
    c’est quoi, cette fascination pour la bite ?

    le narcissisme

     

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