D’un point de vue sanitaire, les masques n’ont servi à rien. D’un point de vue politique, ils ont servi le gouvernement et le Big Pharma, qui préparaient le pass sanitaire liberticide et les injections forcées.
D’un point de vue sanitaire, les masques n’ont servi à rien. D’un point de vue politique, ils ont servi le gouvernement et le Big Pharma, qui préparaient le pass sanitaire liberticide et les injections forcées.
RDP | Juillet 2023 |33 | CommunautésJustice & DroitPhilosophiePolitiqueSociologie |
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RDP | Juin 2023 |16 | Justice & DroitOpinionsSantéScience |
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RDP | Mai 2023 |31 | HistoirePolitiqueSanté |
« Un abruti qui n’a aucune connaissance dans rien, qui vient cataloguer ça de complotiste... » Mentir. Désinformer. Emmerder les gens qui essayent de sauver des vies et informer vraiment. Prendre les sous pour ces basses besognes. Et après, comme d'habitude, chialer https://t.co/QcCFcLt1Ty — Dr JF Lesgards Marseille (@marseille_jeff) April 16, (...)
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Je pense que c’est exagéré :
pour faire le plein de gasoil (dans ma voiture écologique pour laquelle le gouvernement m’a donné 2000 euros de prime il y a 12 ans parce que le gasoil etait ce qui polluait le moins) prendre le pistolet avec un masque ffp2 evite d’avoir de mauvaises odeur sur les mains
deuxio, ça marche tres bien comme filtre à café
Donc si, le "masque" sert à qq chose.
Sans oublier qu’en avoir fabriqué 250 milliards en 2 ans n’est pas perdu pour tout le monde... les tortues marines en rafolent !
Je reprends des moules
Arrête avec tes moules. C’est nul.
Être fumeur pendant cette période m’a été utile : Je me promenais en ville avec un masque autour du cou en cas de contrôle d’un flic un peu zèlé , avec une clope non allumée à la bouche comme excuse...
Cela m’a bien sûr valu des remarques désobligeantes de quelques individus lobotomisés par la propagande médiatique auxquels je répondais par un grand sourire ironique.
L’église traditionaliste Saint Georges de Lyon avait maintenu ses messes, sans masques bien sûr, mais discrètement à cause de quelques collabos qui les avaient dénoncé aux autorités...
Cette période fut finalement l’occasion de découvrir le vrai visage de certains salauds ou pleutres et de faire le ménage dans ses relations.
Idem pour le ménage parmi les relations. Finalement, on peut dire de cette période qu’à quelque chose malheur est bon...
Pourquoi "non allumée"... ?
Faudrait pas qu’en plus le masque t’empêche de construire tranquillement ton emphysème !
Non fumeur, je faisais pareil avec une fausse cigarette dessinée avec du papier préalablement roulé et colorié à la base... ;D
La séquence Attali est très claire. La valetaille journalistique n’a même pas eu le courage de lui dire : et vous, le vôtre !
Cette histoire de covid, de masque et de pseudo-vaccin, qui a quand même duré pratiquement deux bonnes années, restera dans les annales (anales ?..) de l’histoire de France comme le signe ultime du déclin inéluctable de notre pays.
Je me revois encore en train de remplir mon attestation de sortie pour aller faire mes courses, ajuster ce masque ridicule qui donnait à tout le monde des airs de zombis décervelés, je me souviens de rayons de supermarchés inaccessibles pour des raisons toutes plus délirantes les unes que les autres, des distances de "sécurité" à respecter quand on passait à la caisse, etc.
Ce pays qui s’appelait autrefois la France est définitivement foutu, son compte est bon, le deuxième quinquennat de Macron va nous terminer.
Le masque servait aux cons à se distinguer ! C’était un signe de reconnaissance !
Ça a servi :
à faire croire que le gouvernement mettait en place des mesures utiles
à séparer les gens
à créer une folie collective
à désigner les réfractaires et les bons élèves
à faire suffoquer les gens en les privant d’O2 et en leur faisant respirer des produits toxiques et des bactéries
à des fins sataniques et pour humilier les sans-dents
... et si pas content : fais toi vacciner pour que tout ça s’arrête !
Le tout validé par 99% des praticiens de la médecine, 95% des instits et 90% du reste de la population.
En ce qui me concerne, le masque ne me servait qu’à passer le filtre des vigiles de supermarché quand il était "obligatoire", systématiquement portés sous le nez, et toujours baissé au menton afin de pouvoir m’adresser aux employés de supermarché. Jamais mis à l’hôpital sauf en présence du vigile. Jamais mis dans les transports ou dans les cabinets médicaux, et certainement pas dans les petits commerces de mon quartier. J’ai refusé toutes les offres d’emplois qui me l’imposaient, boycotté tous espaces "non-essentiels" qui l’exigeait. Impossible de respirer encore moins de parler avec la muselière sur le nez. Sans compter le stress de devoir s’adresser à tout personne dont on ne peut voir ni le nez ni la bouche.
Le non-port du masque fut le prétexte à mille et une vexations telles que :
ces vigiles de supermarché zélés m’intimant l’ordre de remettre le masque sur le nez (ce que je refusais de faire une fois sur deux) ;
ces chauffeurs de bus zélés qui se servaient des passagers pour me faire passer le message d’en porter un ;
cette conseillère d’insertion professionnelle exigeant que je porte le masque alors qu’une barrière de polyméthacrylate de méthyle nous séparait ;
cette dentiste me sermonant parce que je crache mon sang dans la cuvette dédiée, exigeant que je l’avale, ce que j’ai refusé jusqu’à ce que son assistante me tire d’affaire avec la canule aspirante ;
cette pharmacienne m’imposant le masque et qui malgré mon refus, demande à ses assistantes de m’en fournir un que je n’ai nullement demandé, ce dernier passant de main en main (bonjour l’hygiène) pour atterrir devant moi, sans avoir à aucun moment m’avoir dit bonjour ni demander ce pour quoi j’étais venu, je les ai envoyé chier puis engueulé comme pas permis ;
tous ces regards crispés, inquiets voire méfiants des masqués à la vue de mon visage nu, y compris en pleine rue ;
en salle d’attente d’un cabinet médical, ce père de famille masqué, lui et ses deux gosses en bas âge, fuyant savamment mon regard et qui après être sorti du cabinet pour répondre à un coup de fil, parle à son interlocuteur "[du] connard sans masque dans la salle d’attente", nous étions l’après-midi du 17 juillet 2020, en plein cagnard, trois jour après que Jupiter 1er nous ait ordonné de nous museler la gueule ;
ces vielles masquées se déportant toutes deux face à la chaussée dos au trottoir, pour me laisser passer...
Le masque n’aura jamais servi qu’à révéler au grand jour la bassesse des gens.
D’un point de vue sanitaire, les masques n’ont servi à rien.
Cela, les plus intelligents l’avaient compris dès le début, de même qu’ils ont refusé de se faire injecter un produit expérimental.
Les masques ont surtout servi à reconnaître les pleutres et les soumis, bien obéissants et très reconnaissants envers l’Etat-Providence qui les "protégeait" alors que "nous étions en guerre".
Ce n’était pas encore la "guerre", c’était le voyage au bout de la connerie.
La police contrôlait le port du masque, comme en Iran la police des mœurs contrôle le port du voile...
"Les masques n’ont servi à rien".
Jean-Dominique Michel.
Si à rendre visibles aux yeux de l’oligarchie mondialistes et nos larbins de dirigeants les crétins hypocondriaques incultes et les moutons soumis !!!
Et aussi en les rendant obligatoires pour empêcher les gens de respirer (baisse au bout de quelques mois de la capacité respiratoire donc des défenses immunitaires) et les empoisonner à petit feu.
Les masques jetables "grand public" que portent ou ont porté 90% de la population sont truffés de graphène,et d’au moins deux autres composants cancérigènes comme le formaldéhyde (ou méthanal) et le toluène (très toxique).
Sans compter que certains lots étaient contaminés comme les tests (voir le président tanzanien et la papaye testée positive) à la "grippe chinoise" avec la souche originelle du covid ;un coronavirus fabriqué en laboratoire faut bien trouver un moyen de le propager efficacement dans la nature...
Le masque a servi à faire croire qu’il y avait une redoutable pandémie qui sévissait...le mensonge télévisuel rentrant ainsi dans la réalité du quotidien.
Sans ça(sans son obligation) , tout le cirque n’aurait pas pu durer si longtemps ; ça a eu un effet psychologique. D’ailleurs il y a eu une parenthèse entre la fin des enfermements (début mai) et le discours de Moumoute 1er (le 12 juillet) , durant cette courte période dans mon coin à peine 2% avait le masque sur la tronche, tout le monde pensait que tout était terminé.