L’europe est un projet nazi lié à la haute banque et la finance. Lisez Lacroix-Riz (les origines du carcan européen)

Sanglier,

1°) L’Europe de Bruxelles n’est pas un projet national-socialiste (« nazi » en Newspeak politiquement correct) mais antifasciste. Citation du plus emblématique et acharné des ennemis du Ⅲe Reich : « Nous devons bâtir une sorte d’États-Unis d’Europe. » (« We must build a kind of United States of Europe. ») –Winston Churchill, discours à l’université de Zurich, 19-Ⅸ-1946.

2°) Les projets de la haute-finance prévoyaient bien une Europe fédérale, mais par destruction du Ⅲe Reich : rappelons que Chamberlain, l’homme qui déclara la guerre à Hitler, avait expliqué que c’étaient l’Amérique et [passage censuré] qui avaient jeté son pays dans cette guerre contre l’Allemagne.

3°) Je ne connais pas Le Choix de la défaite d’Annie Lacroix-Riz ; je n’ai pas eu recours à ses documents pour découvrir la Synarchie et ses milieux politico-financiers, mais une thèse qui conclurait à un complot américano-fasciste pour faire choir la Ⅲe République (il paraît que ce serait celle qu’elle y défend) ne me convaincrait que si je devenais aveugle et amnésique. La chute de la Ⅲe République fut une catastrophe pour la classe dirigeante états-unienne, laquelle imposa une Ⅳe qui ressemblait à la Ⅲe, les partisans de l’alliance états-unienne ayant depuis transformé la Ve en nouvelle Ⅲe République. Les régimes fascistes d’Europe furent d’ailleurs les pires ennemis des dirigeants du monde anglo-saxon : qu’ils aient préféré Staline à Hitler le prouve.

Les causes de la défaite de mai 1940 se trouvent dans la classe dirigeante républicaine, laïque et maçonnique de la Ⅲe République ; non seulement aucun pro-fasciste n’y eut de part, mais au contraire ils furent les seules freins aux décisions suicidaires de la Ⅲe République, menée exclusivement par des francs-maçons : Daladier, Chautemps, Herriot... Hors de France, les piliers de la croisade contre Hitler furent les francs-maçons Beneš, Churchill et Roosevelt.

Je doute que Mme Lacroix-Riz aboutisse un jour à de telles conclusions. Comme le franc-maçon Herriot qui ne vit en Ukraine que l’aisance et la prospérité lors de la famine de 1932-1933 qui aboutit à la mort de 7 000 000 à 10 000 000 de Soviétiques, elle conteste l’existence de cette horreur, et ce révisionnisme-là ne lui a valu ni persécutions, ni condamnations, ni même n’a entravé sa carrière.

@ 3888
Avez vous écrit des articles dans Sans Concessions ? j ’ ai l ’ impression de reconnaitre ce style .........

bonne courage à vous !

"Toute vérité franchit trois étapes. D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence."

Arthur Schopenhauer

On dirait que le révisionnisme en est à l ’ étape deux !

Peut-on remettre en doute les bombes anti-crevaisons, les chambres à air, et la salaison finale du jambon basque !!
Ou y a-t-il un risque de finir dans nos prisons ou même les dealers, les violeurs, les racailles, les braqueurs, les pédophiles ne vont plus ?
Puis-je savoir quoi dire et recevoir chez moi, le petit lexique du savoir parler en répute-blique, sioniste, maçonnique, le livre blanc de la sainte Shoah...
Et surtout à qui je dois faire les chèques, pour l’abonnement spécial-pleurniche & peuple élus ?

Soldat du Christ,

Grand merci pour votre message ! C’est un chef-d’œuvre d’humour er de lucidoté !

"Cassé loupi",

Votre compliment est bien trop grand pour moi. D’abord un auteur d’articles pour Sans concession saurait assez ce qu’il risque de procès pour se relire méticuleusement, ne lasserait donc pas passer les erreurs que j’ai faites (par exemple, plus bas j’ai écrit dans ma réponse à Awrassi 1-Ⅲ-1939 au lieu de 1-Ⅸ-1939 !). L’exactitude à laquelle, par obligation et par rigueur, s’astreignent les vrais dissidents est d’un autre niveau, quand même, sans parler de leurs autres qualités !

Sur la question initialement soulevée par Sanglier, Andrée a fait, sur une autre page, une réponse fort adéquate : http://www.egaliteetreconciliation....

Cher Awrassi,

Hélas ! Si l’Allemagne a envahi la Pologne le 1-Ⅲ-1939 (suivie par sa complice l’Union soviétique le 17), ce sont bien le Royaume-Uni, puis, illégalement, la France qui déclarèrent la guerre à l’Allemagne le 3.

Deux discussions récentes (et fort longues !) auxquelles j’ai récemment participé sur cette question, afin d’apprécier la valeur des arguments qu’on y emploie :

http://www.egaliteetreconciliation....

http://www.egaliteetreconciliation....

@ 3888

J’ai lu tous vos commentaires sur cette page ainsi que les discussions dans les liens que vous avez mis. Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites et ai même appris des choses.

Je me permets d’ajouter deux liens où j’ai posté des commentaires sur le même sujet. Multiréversible, la reductio ad Hitlerum est véritablement l’artifice parfait pour maintenir nos peuples dans l’ignorance de nos vrais ennemis et de tout ce qu’ils ont fait pour que nous en soyons là où nous en sommes.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Derriere-la-dette-grecque-33879.html
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Haro-sur-les-symboles-confederes-l-Amerique-en-pleine-instrumentalisation-de-l-Histoire-34163.html

J’ai relu récemment le livre de Benoist-Méchin, A l’épreuve du temps. Dans le tome II, il relate un dîner à l’ambassade d’Allemagne, chez Otto Abetz, avec Drieu la Rochelle, Gen Paul et Céline, en février 44. Je vous conseille (ainsi qu’à tous ceux susceptibles de voir mon commentaire) de lire le récit qu’il fait de cette soirée et des vaticinations de Céline ce soir-là. C’est un monument d’anthologie, du grand Céline. Il avait tout vu de la domination sioniste de Wall Street sur le monde, avec un luxe de détails vraiment sidérant, jusqu’à l’avant-garde de Chinetoques qui pillent les rayons des Galeries Lafayette et au Shoahbusiness qu’il appelle "la grande loterie intercontinentale". Je n’en reproduirai pas d’extraits ici car ce serait gâcher le plaisir de le lire dans l’intégralité, et qui plus est, hautement toxique. On ne va pas ajouter aux problèmes d’E&R.

Comme le dit Céline, il n’y eut pas de guerre franco-allemande en 40. Logique, car il n’y a aucune raison valable pour laquelle les Français auraient voulu se battre pour le couloir de Dantzig, pour que les Polonais gardent une terre peuplée d’Allemands. On imagine la patrie de Kant polonaise ? Franchement, c’est absurde ! Et comme le dit Céline (je me place sous cette autorité maintenant c’est plus sûr), s’il y avait vraiment eu une guerre franco-allemande, les Français ne se seraient pas "débinés" comme ils l’ont fait.

Merci pour vos messages (et à E&R de les avoir publiés). Cela fait aussi partie de l’œuvre de réinformation nécessaire.

Andrée,

Je vous remercie pour ce message, et pour tous ceux, brillants, que j’ai pu lire de vous ici.

J’ai lu les commentaires dont vous avez donné les liens, et qui me laissent supposer que vos connaissances historiques d’ensemble dépassent de loin les miennes. Je crois savoir où lire l’ouvrage que vous évoquez. Connaissant Ferdine, je ne doute pas que vous ayez raison de ne pas taquiner Anastasie ! L’amateur de Bardamu que je suis se réjouit par avance de découvrir un nouveau numéro de massacre de notre dernier titan des Lettres !

Je pense aussi que la présentation qu’on nous fait de la Seconde Guerre mondiale sert de base à un manichéisme qui permet au Système de transformer en bêtes féroces les doux moutons, incapable de se révolter, qu’on fait de nous. Si la plus grande puissance miltaire de ce monde peut affamer et martyriser des pays relativement faibles et pour elle inoffensifs, comme l’Irak, c’est parce que l’absurdité du rapport de force disparaît derrière une formule magique : on dit Saddam égale Hitler, et abracadabra ! de l’ignorant au plus savant, pas un seul homme ne se demande comment vingt millions d’Irakiens, ayant peut-être 1% de l’armement mondial, pas assez d’argent pour en acquérir bien davantage, aucune arme à longue portée, une marine dérisoire, pourraient bien menacer un jour un État de trois cent millions d’habitants, aux moyens immenses, pouvant frapper n’importe où mortellement instantanément, et ayant à lui seul plus d’armes qu’il n’en faut pour tenir tête à une coalition de la Terre entière... sans parler d’une multitude d’alliés, volontaires ou contraints.

Pour moi, tous ceux accusent l’Europe de Bruxelles, l’O.T.A.N., les États-Unis ou tout autre ennemi d’être Hitler ou des "fâchistes" sont des fourbes ou des sots qui prennent leur sottise pour une ruse géniale.

La seule parade à la toute-puissance du mensonge est l’honnêteté. Je suis bien déçu de voir que tant d’hommes, dont certains de valeur, ne comprennent pas que cautionner le manichéisme renforce les manichéens.

Jean-Marie, qui n’a même rien contesté, formellement, refuse de se soumettre au manichéisme et à l’incohérence qui feraient qu’au nom de l’Égalité un massacre serait pire qu’un autre. C’est bien la preuve, pour moi, qu’il a assez le sens de la souveraineté de la nation pour mériter de la diriger. Les autres chefs de parti ont depuis longtemps prouvé l’inverse.

@3888

Je vous remercie pour votre message et d’avoir gentiment relayé plus haut mon commentaire.

Si vous aimez Céline, alors le récit de Jacques Benoist-Méchin vous plaira, et je m’en réjouis. C’est du Bardamu à l’état brut, mais sorti de la fiction pour entrer dans l’Histoire. Au-delà de ce chapitre ("la Sibylle de la rue Girardon"), le livre de Benoist-Méchin est le témoignage (posthume) d’un homme qui s’est retrouvé, pendant la guerre, à des postes de première importance. La valeur de ce témoignage est vraiment rare, non simplement par ce qui y est révélé, mais par la sincérité tout en subtilité qui s’en dégage. D’autant que l’auteur est à la fois un fin connaisseur de l’Allemagne, un immense intellectuel (et esthète), ainsi qu’un homme d’une grande intégrité. C’est assez bouleversant, je dois dire (de très belles pages sur les derniers instants de Brasillach, notamment).

Je souscris à chaque mot de votre commentaire. Effectivement, le seul moyen de déverrouiller l’imposture mentale sur laquelle repose la domination universelle que nous subissons réside dans la recherche de la vérité, dépouillée des anathèmes rhétoriques qui ne sont rien d’autre que des simulacres de la pensée magique par laquelle notre soumission se prolonge. Notre libération passe par celle de notre raison (de ce qu’il en reste, du moins).

Aussi est-ce avec plaisir que je vous lirai de nouveau sur E&R qui permet à celle-ci de s’exprimer.

Il serait opportun de parler un peu des premiers camps de concentration avec fours
crématoires , en Afrique du Sud " Courtesy of " les Sionistes British

Absolument. Les inventeurs de l’enfer concentrationnaire furent les British. Ils tuèrent ainsi des dizaines de milliers de femmes et surtout d’enfants. Un véritable génocide. L’histoire de la guerre des Boers, surtout la seconde, est extraordinaire. Les Boers firent preuve d’une bravoure admirable face à cette agression abominable de l’Empire. On vit d’ailleurs à cette occasion, une nouvelle fois, à quel point le soldat anglais était nul, sans les armes sophistiquées et le nombre. Ça s’est joué à la fin à 15 contre 1. Tout résistant doit connaître cette histoire.

La manière dont l’énorme richesse en or , joyaux , art etc ...de l’Inde a été tout simplement volée , en 1947 ,par
le biais du " Home bill " mériterait aussi une étude approfondie , sans mentionner ses quelques 80 millions de
morts , qui semblent vraiment être un " détail de l’histoire " pour les merdias !!!

Philippot premier ministre, là il y aurait un sacré changement. Quant à Alliot, non seulement il ne brigue aucun poste ministériel, mais il a annoncé qu’il se retirerait de la vie politique si Marine était élue présidente de la république française.

@Je Suis

Si je te comprends, avec Philippot, le changement, c’est maintenant !

Si tu ajoutes qu’il n’a qu’un seul ennemi, la finance, cet énarque m’en rappellera un autre !

Il y aurait bien à redire sur votre commentaire.

Exemples :

Vous dites que sous les "Khmers rouges" (1975-1979), il y aurait eu deux millions de massacrés : non, la population cambodgienne passa alors de 7 900 000 à 5 700 000 habitants, la famine causée par les mesures de collectivisation étant la cause de la plupart des décès, et de la baisse probable de la natalité.

Vous prétendez qu’Hitler et Staline auraient été des précurseurs de l’internement en camps de concentration de personnes choisies selon leur nationalité, leurs origines ou leurs opinions : non. Dejà en 1914-1918, ou pendant la guerre des Bœrs, on internait dans de tels camps les ressortissants de l’ennemi, et le système concentrationnaire soviétique fut mis en place avant Staline. Ce pour quoi le "Tribunal militaire international" de Nuremberg condamna les dirigeants du Ⅲe Reich s’appelle un génocide (mot d’ailleurs récusé par d’éminents antirévisionnistes, dont le plus grand, Hilberg). L’internement de ressortissants étrangers au sein de camps de concentration ne constituait pas un crime, et était d’ailleurs pratiqué par les Anglo-Saxons aussi.
À noter qu’en Ⅸ-1939 il y avait dans les camps du Reich 21 000 détenus, en comptant ceux de droit commun, soit 0,27‰ des 78 000 000 d’habitants ; en Union soviétique, 1 672 000 000 détenus dans les camps de concentration en 1939, soit 9,6‰.

Plutôt que de faire la liste de vos erreurs factuelles, je me contenterai de dire que je suis d’accord avec vous pour estimer qu’en regard du nombre total d’Européens (quarante millions) morts pendant la Seconde Guerre mondiale, le nombre de ceux qui étaient juifs constituait une minorité. Toutefois la différence entre une volonté d’extermination et d’autres causes de décès a des conséquences réelles, morales. Je citerai ici un fameux antirévisionniste : « La décision froide d’exterminer un groupe humain supposait un instrument spécifique, et ce fut la chambre à gaz. » –Pierre Vidal-Naquet (historien et antirévisionniste), article Le Secret partagé, p 80 du Nouvel Observateur du 21-Ⅸ-1984. C’est bien pourquoi ce sujet est crucial.

Pour autant, je considère comme vous (si je m’en tiens au sens formel de vos propos, opposé à leur connotation) que la condamnation de Jean-Marie est déplorable, car chacun a le droit de minimiser et le nombre et le poids moral des victimes de tous les autres massacres de l’histoire. Condamner ici me paraît insupportablement injuste.

2°) Ni Hitler (au pouvoir du 30-Ⅰ-1933 au 30-Ⅳ-1945) ni Staline (qui prit le pouvoir progressivement, de 1923 à 1929, et l’exerça jusqu’à sa mort, le 5-Ⅲ-1953) ne furent des précurseurs des camps de concentration, le système concentrationnaire ayant été mis en place avant eux, en Union sovétique dès Lénine (au pouvoir de 1917 à 1923) ; dans L’Archipel du goulag, Alexandre Soljénitsyne cite les noms de ceux qui fondèrent ce système. Il y avait déjà eu de tels camps dès la guerre des Bœrs, et même, selon la revue Tabou, dès la guerre de Sécession (1861-1865).

CORRECTION

Si le nombre de détenus dans les camps du Ⅲe Reich était bien de 21 000, soit 0,27‰ de la population, en Union soviétique il y en avait évidemment 1 672 000 (un million six cent soixante-douze mille) en 1939, soit 9,6‰ de la population de ce pays, les trois zéros supplémentaires rendant le chiffre absurde.