La justice a donc condamné le policier qui avait usé de sa matraque dans le cul de Théo à 12 mois de prison avec sursis et une interdiction d’exercer sur la voie publique pendant cinq ans (ses 2 collègues ont pris 3 mois avec sursis). Le geste, même s’il est fait exprès, est évidemment condamnable. Mais derrière ces condamnations se profile une police qui n’aura plus le droit de toucher la moindre racaille qui lui crache à la gueule. Les médias (à 90 % gauchistes) n’ont pas fait le même cas des Gilets jaunes, blessés par milliers.
C’est un chèque en blanc à toutes les insultes, toutes les insubordinations, toutes les provocations, alors que le tarif pour les Gilets jaunes est tout autre. Le 2P2M s’applique aussi dans ce domaine.
Leçon numéro un : la justice franc-maçonne protège la racaille parasitaire et réprime durement le travailleur français. C’est clair pour tout le monde ? Les droits co ont tous les droits, les politiques tous les devoirs. Et la gauche se suicide en prenant fait et cause pour la racaille :
La version de droite maintenant :
Raphaël Stainville, au sujet du procès de l’affaire Théo : « La réalité c’est qu’il n’a pas été violé et que les faits qui sont reprochés aux policiers n’ont rien voir avec ceux du tribunal médiatique », dans #180MinutesInfo pic.twitter.com/qjvT4TboU2
— CNEWS (@CNEWS) January 19, 2024
Pour Charlie Hebdo, un journal pourtant protégé par la police (il est vrai après avoir été déprotégé juste avant l’attentat), les flics sont des salauds, des bourreaux, des assassins, des SS, dans la droite ligne gauchiasse de Mai 68.
Une idée nous vient, assez vilaine : et si les flics en charge de la protection de Charlie avaient été « démotivés » par des années d’insultes et d’accusations anti-flics ?
Aujourd’hui, malgré une existence en sursis, l’équipe du nouveau Charlie est bien protégée par de sales flics. Mais dès qu’un flic touche à une racaille, c’est la révolution dans le journal. Le dessinateur Salch en a même fait tout un livre, à la Cabu.
Si on était à Charlie – Dieu nous en préserve ! –, on dessinerait des flics avec des matraques lubrifiées et de tout calibre en fonction de la dangerosité de la racaille appréhendée.
Pour mémoire
En 2022, Théo et ses frères sont jugés pour avoir perçu 700 000 euros d’aides publiques injustifiables !
Dans le tas, Théo a touché 52 000 euros. Pour le traumatisé à vie, c’est une juste compensation.