Le Parti Socialiste français, surnommé Parti Sioniste, est membre de l’Internationale Socialiste. Cette organisation internationale regroupe la plupart des partis socialistes ou sociaux-démocrates de la planète. La vice-présidente française actuelle est Ségolène Royal, qui a toujours semble-t-il des ambitions présidentielles. L’Internationale Socialiste, habituellement discrète, a récemment fait parler d’elle. On a en effet appris que les dictateurs Zine el-Abidine Ben Ali de Tunisie et Hosni Moubarak d’Égypte en étaient membres !
Voilà donc des fréquentations que les dirigeants socialistes en France se gardent bien de faire connaître à leurs électeurs, qui les suivent encore au nom des « valeurs » de la gauche. Dans le cas de Ben Ali, les dirigeants socialistes ont même attendu trois jours après sa fuite pour l’exclure de leur Internationale. Moubarak va, sans doute, être victime à son tour de l’ingratitude de ses « camarades socialistes », et se faire exclure.
En France, le système politique a été verrouillé de telle sorte que les citoyens soient enfermés dans un choix qui n’en est pas un. C’est d’ailleurs ce qu’on nous prépare pour la présidentielle de 2012. On voudra ainsi nous faire choisir entre un candidat de « droite » et un candidat de « gauche ». Mais tous ces politiques ont un point commun. Que ce soient Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, François Hollande, Ségolène Royal… ou encore Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak : ils sont tous très estimés à Tel Aviv et Washington parce qu’ils défendent bec et ongles l’entité sioniste occupant la Palestine (Israël).
Voilà leur véritable programme, et c’est pour cela que le lobby sioniste leur fournit tous les moyens leur permettant d’accéder au pouvoir et d’y rester. A moins qu’un fait imprévisible se produise, comme c’est le cas actuellement dans les pays arabo-musulmans, où les peuples les uns après les autres se révoltent contre leurs régimes imposés par Tel Aviv et Washington.
L’appartenance de Ben Ali et de Moubarak à l’Internationale Socialiste était inconnue du grand public, mais certainement pas de vieux routiers de la politique qui se disent « à la gauche de la gauche ». Nous pensons à Jean-Luc Mélenchon, Olivier Besancenot, Pierre Laurent (secrétaire national du Parti communiste français), et à d’autres qui, après un discours « dur » au premier tour de l’élection présidentielle, vont ramasser les balles au deuxième tour pour le compte du candidat PS (Parti Sioniste). Ce candidat PS, Dominique Strauss-Kahn, est précisément un serviteur de la grande banque mondiale (FMI), et se demande chaque jour ce qu’il « peut faire pour Israël » (déclaration faite à Tribune Juive en 2003).
Ces socialistes et ces communistes font partie intégrante de la panoplie du lobby sioniste. Ils en sont son flanc gauche, que le CRIF va parfois attaquer afin de donner le change et tromper les naïfs. Dans les banlieues populaires où il y a une forte population musulmane, ils entretiennent, à coup de subventions, toute une série d’associations à leur service. Ces associations servent à leur ramener des voix lors des échéances électorales, mais aussi et surtout à occuper le terrain afin que d’autres – les vrais antisionistes – ne l’occupent pas.
La révolution en cours dans les pays arabo-musulmans nous a déjà donné quelques leçons. Entre autres choses, on constate que la démocratie n’est bonne que si Israël donne son accord. On découvre également que les dictateurs Ben Ali et Moubarak sont les camarades socialistes de Strauss-Kahn, Aubry, Hollande… pour qui les Mélenchon, Besancenot ou Laurent vont nous demander de voter en 2012 !
Il est grand temps qu’une véritable alternative soit présentée aux Français. Et pour cela, il faut casser électoralement les partis du Système, droite comme gauche !