Ce n’est pas une analyse, c’est un fait, et complètement assumé par les tyrans ennemis des peuples que sont les membres de la Commission européenne. Les deux personnalités à la manœuvre dans cette volonté d’éradiquer la liberté d’expression sont Thierry Breton et Ursula von der Leyen, le techno et la hyène d’une UE en perdition morale. Avec eux, le géant économique qu’est (ou qu’était) l’UE est devenu un nain politique, et le valet masochiste de l’Amérique, ce grand pays qui est en train de perdre, un à un, tous ses appuis dans le monde non aligné.
L’explication de cette infamie est simple : sans résistance ni organisation de la résistance sur les réseaux sociaux, les tyrans de l’UE auront la voie libre pour imposer leur passeport numérique intrusif et policier, et ils pourront continuer à acheter des centaines de millions de doses de faux vaccins à leurs amis du Big Pharma, dont ils sont les VRP et les virus au cœur même de l’Europe.
D’abord, pour bien comprendre l’opération liberticide en cours, on écoute Joron plutôt que Breton :
Au début le portefeuille numérique européen est de pouvoir louer un vélo en Grèce, s'identifier dans une banque hongroise pour ouvrir un compte, de porter toutes les informations médicales pour se faire soigner en Allemagne. Mais en réalité c'est différenthttps://t.co/65CdfvRELx
— frank LeBourgeois (@FrLeBourgeois) April 30, 2022
« Ceux qui ne respectent pas le droit européen paient les amendes, et s’ils continuent, eh bien, ils sont tout simplement interdits d’accès au marché européen » (Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur)
Ensuite, les menaces de Thierry Breton sur les 12 millions d’utilisateurs de Twitter en France (dont 8 millions vraiment actifs) et les 80 millions d’utilisateurs européens (on a fait le calcul à partir des données nationales) :
Mais qu'est-ce que ça veut dire, ça, monsieur @ThierryBreton ? Retour au stalinisme ? pic.twitter.com/yk9jo4NF0A
— Elisabeth Saint-Dizier (@_lalbatros) April 29, 2022
Face à cette attaque en règle, les internautes qui viennent de retrouver une partie de leur liberté d’expression sur le réseau social d’Elon Musk, réagissent avec lucidité. L’ennemi de la liberté d’expression est tout désigné, puisqu’il se désigne lui-même :
C’est dingue le nombre de fils de .. qui n’existent que parce qu’un parent a existé avant.
Comme ils ne savent rien faire ils s’immiscent en espérant durer …
Si le talent était héréditaire y’a longtemps que le père de Bill Gates aurait breveté l’insémination artificielle https://t.co/uiHxnryUlR— Eva Evanovna - (@spetsnagirl) April 30, 2022
Toute la pyramide oligarchique se montre au grand jour, sans complexe, des pieds à la tête, des agents de la base aux organisateurs du sommet. Le combat qui se joue est vraiment celui de la liberté d’expression, de la résistance au mondialisme (ou à l’européisme) et de son organisation, car les RS sont le moyen pour le bas de s’organiser horizontalement, sans l’imprimatur du haut.
Curieusement, le multimilliardaire Elon Musk, qui a pourtant été un soutien des démocrates aux USA, appuie les défenseurs de la liberté d’expression, et devient une cible à abattre pour l’oligarchie mondialiste. Comme quoi on peut être milliardaire et ne pas faire partie de la dominance, voir le cas Trump. Ne se laissant pas impressionner, Musk vient d’annoncer, sur Twitter évidemment, via ses 22 millions d’abonnés, la chose suivante :
« Je vais créer un site où le public pourra noter la vérité fondamentale de n’importe quel article, suivre la note de crédibilité de chaque journaliste, rédacteur en chef ou publication. Je songe à l’appeler Pravda »
Du fact-checking contre les fact-checkers autoproclamés ! Pas étonnant que du côté de notre Pravda nationale, Le Monde, le journal des Lobbies et des Marchés, mais pas du peuple, on s’inquiète de la tournure des événements !
Et maintenant un article du site lebigdata.fr qui nous explique le contenu du Digital Services Act.
Tout savoir sur la loi européenne qui veut censurer l’Internet
Afin de lutter contre la désinformation et les Fake News sur Internet, l’Union européenne s’apprête à adopter la nouvelle loi Digital Services Act. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur le DSA, ses règles, ses conséquences et ses zones d’ombre…
Le Digital Services Act (DSA) est une loi proposée par l’UE en décembre 2020, parallèlement au Digital Markets Act. Cette loi présentée comme « une première mondiale dans le domaine de la régulation du numérique » vise à contraindre les entreprises de la tech à prendre contrôle de la modération de contenu. (...)
Après 16 heures de négociations entamées le 22 avril 2022, un accord a finalement été trouvé. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, estime sur Twitter que « cet accord historique va protéger les utilisateurs en ligne, permettre la liberté d’expression et de nouvelles opportunités pour les entreprises ». De même, Amnesty International estime qu’il s’agit d’un cap pour la régulation de l’industrie technologique. (...)
Qu’est-ce que le Digital Services Act ?
« Tout ce qui est interdit offline doit l’être online ».
C’est tout l’objet du #DSA, un règlement européen majeur pour organiser notre espace numérique .
Un accord pourrait être obtenu dès aujourd’hui entre le Parlement européen, le Conseil & la Commission. pic.twitter.com/XXvUlpn7F5
— Thierry Breton (@ThierryBreton) April 22, 2022
Lire l’article entier sur cette loi scélérate ici.