débarrasse du général terroriste iranien avec lequel toute tentative de paix négociée
Un général "terroriste" dont le principal fait d’armes est d’avoir éliminé les terroristes de l’Etat profond US, c’à’d Daech et consorts. Un général "terroriste" connu pour son soutien à la Résistance antisioniste au Liban et en Palestine.
Du reste, ce n’est pas Soleimani avec lequel Washington aurait dû negocier si négociation il avait dû y avoir. Soleimani qui vient d’être remplacé par son assistant, lequel partage les mêmes positions.
Je vous conseille de me répondre comme la dernière fois que Nétanyahou n’a rien à voir avec les guerres menées par Bush jr. puis Obama, ni avec les réseaux de type CRIF qui soumettent la France - cela aiderait à saper votre crédibilité aux yeux de ceux qui nous lisent.
normalisation des rapports avec les USA et non la guerre comme l’autre
Inversion de la réalité. Vous ne connaissez pas assez la politique intérieure iranienne, prière de ne pas la citer comme alibi pour des postulats sans fondement.
Le régime étasunien, par la voix de Pompeo, ministre de Trump, a énuméré ses conditions pour toute normalisation des relations avec l’Iran. Or, ces conditions sont celles d’une capitulation en règle : désarmement et fin du soutien de l’Iran à ses alliés régionaux.
Ainsi affaibli, l’Iran sera livré, sous Trump ou sous son successeur - car Trump est appelé à être remplacé à terme, à la destruction, soit sur le modèle syrien soit sur le modèle libyen. Le deep state US veut justement d’une normalisation inégale comme celle là !
Ceux que vous qualifiez de "patriotes qui veulent la paix" dans la classe politique iranienne, c’à’d les modérés dont Rohani et les réformistes dont Khatami (adversaires d’Ahmadinejad en 2009), sont des libéraux désireux de soumettre l’Iran à la finance internationale et autres injonctions mondialistes.
sa politique, US GI go back home.
Il nous a prouvé le contraire en menaçant l’Irak suite au vote du parlement irakien demandant le retrait des G.I.
La politique de Trump est de tenter, sans avoir à engager trop de G.I. à cet effet, de forcer l’Iran au désarmement - c’à’d de réaliser la volonté d’"Israël", prélude à la destruction de l’Iran.
Comme pour la Libye : d’abord on l’a fait désarmer, puis le président suivant l’a détruite.