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L’immaturité intellectuelle et politique : le mal occidental

Recension de L’Immaturité permanente de Thomas Boussion par Anaïs Lefaucheux

« We don’t need no education » !

Je comprends enfin de quoi les réactions débiles et hystériques de la masse à chaque événement ou sujet clivant sont le nom : celui de « l’immaturité » intellectuelle et politique.

Se faire traiter de « nazi », facho », truc-phobe, « nauséabond », etc., n’est autre que le signe d’une « infantilisation des esprits », telle que l’exprime brillamment Thomas Boussion dans son implacable essai.

 

Ces esprits, souvent de gauche (le gauchisme est parfaitement défini dans ces pages) ont un rapport infantile au monde et aux événements en ce qu’ils ne supportent ni la contrainte ni la contradiction. Ils préfèrent l’insulte ou l’évitement, au débat constructif adulte et à la mise en perspective historique et dialectique. D’où le dialogue de sourds qui s’installe entre « conservateurs », tenants de la transmission de la Tradition (impliquant autorité, hiérarchie et discrimination) dotés d’une solide colonne vertébrale spirituelle, et progressistes du XXIe siècle, mondialistes mous et marionnettes idéologiques qui rejettent le passé et la nature. Un passé crânement jugé, qui incarne forcément la « faute morale », l’injustice et l’inégalité pour les têtes gavées des discours « républicains » hérités des « Lumières ». Avec des raccourcis pratiques et absurdes résumés par l’auteur d’une formule lapidaire et brillante : « L’histoire prouverait que l’autorité est la première marche d’un escalier qui mène aux chambres à gaz. »

« Les catégories traditionnelles révulsent le gauchiste. »

En bloc est rejeté, apparaissant comme contraires au « progrès », tout ce qui est : père, mère, vieux, blanc, homme/femme.
On le voit avec la propulsion de béjaunes à la tête des États occidentaux, à la promotion de l’avortement, aux délires « intersectionnels » et à la « non-binarité », etc. Il faut saccager tout socle solide qui nous a été transmis par les siècles, et la Nature n’a plus rien à nous enseigner. Le gauchisme est donc une forme de nihilisme qui refuse tout ce qui l’oblige à grandir, tout ce qui incarne l’autorité, qui n’est pas « bienveillant » selon sa mièvre définition, afin de rester dans son confortable « safe space » infantile.

Or, Thomas Boussion nous explique bien que grandir, devenir adulte, demande de détruire en soi l’enfance et fait de facto souffrir. Je me souviens de la formule qui disait « il faut souffrir pour être belle », formule qui ferait bondir les « féministes » actuelles qui refusent toute douleur, quand bien même elle serait la voie vers un mieux, un plus beau et permettrait l’évolution. Société de l’hyperindividualisme forcené, du nombrilisme acharné. Les gauchistes exigent que la société s’adapte à eux et non l’inverse. Ils refusent tout effort pour se faire au « moule » collectif et ont une vision essentialiste et binaire de système politique et de l’histoire. Si tu n’es pas avec eux, tu es contre eux.

« La doxa infantile divise le monde en deux catégories : les "dictatures" et les "démocraties". »

Accouchent de cette infantilisation des esprits plusieurs phénomènes symptomatiques de cette incapacité à grandir, de ce refus des contraintes et de la souffrance initiatique, typiques de l’Occident « déspiritualisé » : la « communication non violente », les « safe spaces », etc. Naît alors un monde manichéen qui n’a que peu de rapport avec la vérité et la réalité : d’un côté les « gentils démocrates » occidentaux, de l’autre les « méchants dictateurs » et leurs régimes « autoritaires ». Avec pour nouveau dieu la « science » érigée comme nouvelle croyance, nouvelle foi moderne à laquelle se soumettre aveuglément.

Par ailleurs, la « droite et la gauche » ne permettent plus vraiment d’offrir une grille de lecture pertinente (excellents chapitres en la matière). Thomas Boussion souligne que la vision historique de ces esprits se cantonne essentiellement au XXe siècle, ce qui empêche toute profondeur historique dans l’analyse. Il devient donc difficile de « construire collectivement » avec des individus qui sont sans mémoire ancienne, ne font que « consommer individuellement » et ne sont que des rebelles de salon, manipulés et manipulables.

Mais derrière cette tendance grandissante de l’infantilisation des esprits se cache en vérité la bataille entre le Capital et la Tradition, le premier cherchant à écraser l’autre, seule capable de menacer son déroulement (non son existence, hélas).

Ainsi vivons-nous actuellement sous le règne médiatique de « l’adulte-enfant occidental », un individu bas du front qui rejette la Russie, embrasse Zelensky, applaudit les drag queens, vomit le catholicisme, trouve Bill Gates et Zuckerberg géniaux, le « vaccin » sûr et efficace, qu’il faut lutter contre le « patriarcat » avec l’écriture inclusive, etc. Le temps est long quand on fait face à des êtres qui ont délégué toute leur réflexion et leur esprit critique à des tiers « de confiance » comme l’État, les institutions, les médias, les représentants de la « science » (autorisée)…

Excellent essai qui permet de jeter une lumière crue sur tous les phénomènes et tendances politiques, culturels et sociétaux observables actuellement. Afin de chercher comment lutter. Mais la route est longue !

(Un grand merci aux éditions Kontre Kulture pour cette remarquable parution !)

« L’enfance, en tant que rapport au monde, sert objectivement les intérêts du Capital (…) parce qu’elle s’attaque aux structures traditionnelles existantes (linguistiques, familiales, religieuses) et empêche la Tradition de lutter contre la "pente naturelle" de la marchandisation du monde ; parce qu’elle maintient les individus dans un essentialisme intellectuel qui les empêche d’identifier les forces politiques réelles en présence, ce qui les rend incapables d’identifier les véritables alliés et leur véritable ennemi. »

 

Disponible chez Kontre Kulture !

Approfondir le sujet, avec Thomas Boussion

 






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20 Commentaires

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  • #3402939

    Il ne peut pas avoir de maturité politique dans une société d’infantilisation où les individus ont été conditionné à se comporter comme des enfants. Dans la société moderne 80% des actifs sont des salariés non propriétaires de leurs moyens de production. Ils mènent un mode vie similaire aux écoliers qui à heures fixes vont à l’école, mange à la cantine...on leur accorde un temps de récréation, des vacances...

     

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    • #3403571

      Fustiger les salariés qui ne possèdent pas leur propres moyens de production n’est pas honnête.
      Certains auteurs devraient redescendre sur terre.
      Cela demande un capital financier de départ que beaucoup n’ont simplement pas.
      Etre salarié n’implique pas nécessairement d’être immature politiquement et de ne pas comprendre comment fonctionne le monde et la société.
      C’est une question d’éducation, d’intelligence et de sens de l’observation de l’individu.
      A contrario, j’ai été témoin de personnes possèdant leurs moyens de production et s’avérant être des enfants avec un degrés de conformisme effrayant couplé à de de la naïveté (va souvent de pair), résultat d’un long endoctrinement et preuve d’un niveau d’intelligence très faible.
      Alors non, le fait de posséder ses moyens de production n’est pas un critère valide pour juger de la maturité politique d’un individu.
      Celà peut, au mieux, pousser l’individu vers ce niveau de compréhension, s’il est suffisamment intelligent et observateur du monde qui l’entoure mais ce n’est absolument pas garanti.
      Cette idée, que beaucoup veulent nous vendre dans leur livres, se pensant élus, est stupide et pédante.

       
    • #3405020

      Un salaire couplé à un emploi est aliénant. Un salaire couplé à une qualification (un grade) est libérateur.

       
    • #3405105

      il y a un pourcentage équivalent de personnes non lucides, non cultivées, non curieuses, etc... dans toutes les couches d’âges et sociales des citoyens ; les classes sociales les moins aisées n’ont pas le monopole de la crédulité

       
  • #3403001

    Bravo pour ce retour à la Tradition. En ajoutant que l’Enfance véritable est sacrée, et que c’est justement ce germe qui doit mûrir, être transformé en Homme. Pour cela, il faut une solide colonne vertébrale, qui en France, ne peut être que le Catholicisme.

     

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    • #3403606

      Ben moi je veux bien, mais bonne chance avec d’un côté l’église Vatican 2 championne de laxisme et ses messes bloquées dans les années 60, et de l’autre 70% des français qui soit s’en foutent soit sont anticléricaux...

       
  • #3403072

    ce thème de l’infantilisation globale devrait être étudié partout. Comme je l’ai déjà suggéré dans quelques commentaires passés, c’est la fonction symbolique du Père qui permet de passer du stade enfant à la maturité.

    Cette fonction a été méthodiquement évacuée. D’abord ringardisée, puis accusée d’être à l’origine de tous les maux de la société et enfin "tuée". L’on a imposé, tout aussi méthodiquement, le maternage à sa place. On s’est mis à parler de "matricielle" et d’horizontalité dans toutes les entreprises mondialisées ou en voie de l’être. Le "nouveau management" à fait le (sale) boulot.

    En toute logique de ce massacre orchestré, le pays à accepté qu’un gars totalement dissocié et parfaitement immature prenne les rênes du pays sous tutelle, bien sûr, d’une autre figure de "père"... celle des financiers idéologiques et destructeurs qui, eux, en revanche, ne meurent jamais...

    La toute-puissance dont parle les psys est à l’œuvre. L’enfant veut tout et repousse les limites jusqu’à ce que le Père (en mode normal) dise "NON". Plus de Père, alors plus de limite et in fine... l’ensauvagement, la totalité, la menace, le "caïdisme" et la barbarie ordinaire.

    Le féminisme a poussé sur ce meurtre, il accouche aujourd’hui de chimères très inquiétantes. Le monde du sport (aussi déglingué que celui de la supposée "culture") banalise lentement les transgenrés pour en faire une normalité qu’il sera bientôt bien difficile, même pour les féministes, de remettre en cause à terme.

    Résultat... ce sont bien les femmes qui, de la féministes imbéciles à la femme normale, seront les victimes de ce grand délire destructeur de tout. Le féminisme n’a jamais libéré les femmes, il en a fait des clones de mâle, des sous-hommes en réalité. Mais le biologique c’est comme la Vérité, il finit toujours par imposer sa Loi... comme celle du Père.

    Je suggère aux amateurs de lire "Le Grand Hospice Occidental" de Limonov. Ecrit dans les années 93, l’auteur, après avoir vécu aux EU, est venu vivre quelques années en France. Il a vu, constaté, s’est effaré de ce qui commençait à se voir nettement... l’avénement d’une civilisation de vieux qui exigent confort, sécurité, biberonnage et assistance totale.

    La jeunesse maintenue au stade infantile entre forcément en concurrence avec ces vieux qu’elle entend remplacer. Les deux camps sont en mode miroir... celui de l’enfant qui veut que tout Autre lui ressemble. Le même partout, l’imitation par certains artistes fascine les masses...

     

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  • #3403101

    Très beau texte qui me remonte "un peu" le moral, c’est déjà beaucoup..

     

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  • #3403308
    Le 3 août à 15:45 par Nuit blanche
    L’immaturité intellectuelle et politique : le mal occidental

    "...une vision essentialiste et binaire de (sic) système politique et de l’histoire." Le binaire, c’est bien pour la politique et l’histoire, mais pour la nature (le sexe, etc.).

     

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    • #3403549
      Le 4 août à 03:54 par l’ami Ricoré
      L’immaturité intellectuelle et politique : le mal occidental

      Non justement c’est pas bien c’est ce qu’il explique.
      Le système binaire est celui de la Banque, de sa comptabilité et par extension de sa politique, en deux camps - puisque c’est elle qui paye les politiques.
      Comme le genre humain - binaire, deux sexes.
      Il est donc logique qu’en stade avancé du capitalisme, les enjeux politiques de + en + clivés fassent apparaître la "lutte des sexes" - féminisme - et son extension la lutte des "nouveaux genres" - LGBTx.

      Mais ces rivalités construites ne doivent pas faire oublier la véritable lutte ! Contre les Marchands. Ce combat n’est pas possible avec un esprit immature, bien "binarisé" - initié à l’école gauchiste-républicaine contre l’extrême-droite, les "fafs", bref ceux qui veulent se libérer ! Des Marchands usuriers.

       
  • #3403650

    Nihilisme, le mot est lâché.

    C’est de ce vide que sortira la guerre. Pour remplacer le vide de sens de notre « démocratie ».

    En effet, le vide est une situation instable, fébrile, agressive. Le « En même temps » dans toute sa splendeur !

     

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  • #3404198

    Je suis tout à fait d’accord avec l’analyse de Thomas Boussion sur l’immaturité permanente de l’adute-enfant dans la société occidentale.
    J’aimerais toutefois ajouter un bémol à sa vision :
    Selon lui, cette immaturité serait un mal uniquement occidental, qui ne frapperait pas le reste du monde.

    - Or il me semble que l’Afrique souffre aussi de ce mal, toujours dépendante des ses "parents" colonisateurs, même si elle prétend vouloir s’en émanciper (mais en fait, en cherchant d’autres parents de substitution comme la Russie).

    - Thomas Boussion doute que l’Inde souffre de cette infantilisation. J’y ai vécu et travaillé, et j’ai été surpris par les contrastes et les contradictions fondamentales qui s’y cotoient. S’il est vrai que la majorité des classe sociales inférieures sont forcées par la dure réalité économique de devenir mature très tôt, il n’en reste pas moins que le manque d’éducation en fait des être immatures, tout autant manipulables et manipulés que le "gauchiste" occidental, qui est lui aussi manipulé par manque de culture, et au même titre que les indiens, par la délégation de son libre-arbitre a des "autorités supérieures" tels les médias. En Inde, le manichéisme entre facho et démocrate est tout aussi présent, de même que le manichéisme Hindou/Musulman/Jain/Sikh. Pas besoin pour eux d’une playstation et de jeux vidéos pour voir le monde en binaire bon/méchant. Le système des castes (aboli mais qui perdure) n’aide pas non plus.

    Dans le cas de la Chine, on a quelque chose de vraiment spécial en Asie, à cause de la politique de l’enfant unique. S’il est vrai qu’au Viet Nam, Cambodge, et pays similaires, les enfants deviennent matures très tôt par obligation économique, en Chine on a l’opposé à cause de l’enfant unique, trésor de la famille, choyé comme un dieu vivant, et à qui l’on passe tous les caprices. C’est le Confucianisme inversé : au lieu de toute la famille qui respecte et "cajole" les vieux (source du savoir par l’expérience et aussi source de la morale et de la tradition), on a toute la famille qui cajole l’enfant-roi égocentrique et pervers manipulateur. Je ne compte pas le nombre de fois ou j’ai vu de petits monstres ultra-violent frapper leurs parents et grand-parents pour qu’on exauce leurs diktats. Il en résulte une jeunesse inculte, centrée sur elle-même et ses jouissances d’enfant, encore plus centrée sur les gadgets électroniques (smartphone, réseaux sociaux) et les jeux vidéos que ce que l’on peut observer en occident.

     

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  • #3404258

    La petite en bas au milieu n’est-elle pas en train de faire une quenelle ?

     

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  • #3404767
    Le 6 août à 15:38 par Abdel-Remigration
    L’immaturité intellectuelle et politique : le mal occidental

    Il y a plusieurs problèmes sur la photo avec les petits enfants dans l’assemblée. On se doute bien évidemment que c’est de l’humour. Néanmoins, je n’ai pas été élevé par mes parents avec violence et n’ai pas été dénigré non plus par eux, donc les enfants même si je n’en ai pas et que ceux-ci je ne les connais pas, ce n’est pas mon habitude de les attaquer. On les met en scène en tout cas et on nous montre certaines choses fausses précisément.

     

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  • #3405091

    Complément à mon commentaire à propos du cinéma de femmes, encore un merci à E&R Kontreculture pour l’édition de cet ouvrage.

    J’avais commencé à remarquer l’infantilisation généralisée de notre société à des détails qui se multipliaient dans les années 80. En vrac : les malettes des bureaucrates passèrent du dur au sacs mous, les adultes se mirent à porter les tee-shirt "mickey" de leurs mômes, ils se mirent aux "rollers" puis à la trottinette, divertissement et jeux pour tous. Ph. Murray écrivit "Exorcismes spirituels 1 et 2" !

    Dans les entreprises, j’ai vu s’installer les "quotas" de femmes obligatoires et l’on parla alors d’organisations "matricielles"... tout un programme ! D’aucuns affirment que l’adolescence est une catégorie inventée par l’Amérique. Je le pense aussi.Cette nouvelle catégorie allait à la fois permettre d’augmenter de très juteux nouveaux marchés et promouvoir les comportements ados, donc infantiles.

    Une population infantile est beaucoup plus manipulable qu’une société mature. D’où la promotion des femmes dans tous les secteurs (dont le cinoche et le livre). La nette tendance au "pipi-caca", qui imprègne d’ailleurs toute la cérémonie des JO, est inhérente à cette ambiance bac à sable.

    Je mettrai un bémol à l’analyse De Thomas Boussion sur un seul point : le travail. Car, s’il est évident que le rejet de l’effort et la douleur qui vont avec la notion de "travail" est un symptôme de l’infantilisation, il me semble cependant nécessaire de rappeler que le salariat a remplacé les vrais métiers par des "fonctions". L’industrialisation intégrale de la société n’a besoin que de fonctions. Il n’y a plus d’entreprise mais des dispositifs mondialisés organisés pour le profit de ceux qui ne bossent pas.

    Si les métiers exigent aussi de l’effort, du temps et de la douleur, la grande différence c’est que la pratique d’un Métier élève l’esprit vers la maturité alors que la fonctionnalité l’abrutit. Il est donc plutôt sain de rejeter le "salariat" en tant qu’activité détériorante de l’esprit. Les Compagnons du Devoir sont les derniers métiers qui développent l’esprit et l’âme de l’apprenti... d’où leur raréfaction.

    L’invention du féminisme n’avait d’objectif que celui de faire des femmes des "hommes comme les autres".. corvéables, exploitables et crétinisables à souhait au prétexte de les libérer. L’infantilisation générale achève ce processus.

     

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