Le chantage pseudo-humanitaire exercé sur la France a eu raison de la tentative (timide) de limiter les départs de masse des migrants africains via la Libye. Pourquoi « pseudo », vous allez le découvrir plus loin.
Madame la ministre @florence_parly @Defense_gouv, pour ne pas risquer de se rendre complice d’abus extrêmes contre les migrants en Libye, la France devrait suspendre la livraison de bateaux aux garde-côtes libyens tant que graves violations n’ont pas cessé https://t.co/AIAgQUJiuB pic.twitter.com/oEpNhf8dD2
— HRW en français (@hrw_fr) March 13, 2019
Les navires en question auraient permis aux garde-côtes libyens d’appréhender les marchants d’esclaves en route vers l’Europe :
Voici le sujet très orienté immigrationnisme de France 24 sur la question :
La victoire des ONG, fêtée par toutes les forces du progressisme, est un nouveau clou enfoncé dans la souveraineté des pays européens, et un encouragement à ce nouvel esclavage des Noirs d’Afrique traités par les tribus mafieuses de la « nouvelle » Libye, celle dont Sarkozy et BHL ont rêvé.
Le Monde décrit le bras-de-fer entre les 8 ONG et un État français bien soumis aux directives mondialistes...
La France a renoncé à la livraison controversée de six navires à la Libye pour renforcer le contrôle de ses côtes, en raison de « la situation » dans le pays, selon des sources concordantes citées lundi 2 décembre par l’Agence France-Presse (AFP). Le don de ces six embarcations rapides, des semi-rigides Sillinger de 12 mètres, avait été annoncé par la ministre française des armées, Florence Parly, en février.
« Si la cession a été un temps envisagée au bénéfice de la Libye, la ministre a finalement décidé de ne pas livrer les embarcations à cet État », écrit le 26 novembre le ministère des armées dans un mémoire envoyé à la cour administrative d’appel de Paris, saisie par huit organisations non gouvernementales (ONG) qui demandaient l’annulation de cette livraison.
[...]
La décision de ne pas livrer les embarcations constitue « une victoire importante » obtenue « grâce à la pression publique » et doit « marquer un tournant dans les relations de la France avec la Libye en matière de politique migratoire », a réagi Lola Schulmann, chargée des questions migratoires chez Amnesty International, une des ONG qui avaient saisi la justice administrative en avril.
Pression des ONG
« Nous nous félicitons de l’abandon de cette initiative qui aurait fait de la France la complice officielle des crimes commis sur les personnes migrantes et réfugiées en Libye », ont salué les huit ONG, dont Médecins sans frontières et la Ligue des droits de l’homme, dans un communiqué commun lundi.
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Le plus paradoxal, c’est que les ONG qui sont censées défendre les migrants et leurs droits sont les témoins de trafics humains qui vont plus loin que la simple exploitation par des passeurs sans scrupules :
« J’ai regardé autour de moi et il y avait une vingtaine de personnes, toutes en train de prendre des affaires et de marcher jusqu’aux voitures qui attendaient. La petite fille m’a dit : "On va vivre dans une maison à Tripoli !" Je n’avais aucune idée de l’endroit où ils allaient – peut-être que ça valait mieux pour eux que d’être détenus indéfiniment dans un centre de détention. Je me suis accrochée à cette idée même s’il y a aussi un risque de travail forcé et de trafic humain. Cela arrive souvent, et à tout le monde – hommes, femmes enceintes et bébés.
Je connaissais leurs noms et leurs visages ; j’avais établi une relation avec ces gens, car nous nous étions occupés d’eux au fil du temps. Nous allions dans un centre de détention un jour, et le lendemain, ils n’y étaient plus. Ils avaient disparu dans la nuit. Certains me disaient : "S’il vous plaît, envoyez-moi à l’hôpital, car sinon je ne pense pas que je serai là demain." »
Le travail forcé et le trafic humain ne sont visiblement pas du ressort de ces ONG, qui préfèrent mettre la pression sur la France, pas assez immigrationniste à son goût (interview d’août 2019) :
D’autres se posent la question de la véritable mission de ces ONG... C’est le cas d’un site mauritanien. Une information à prendre avec des pincettes, mais on a vu, en d’autres temps, au Kosovo par exemple, à quoi a mené la collusion entre ONG, hiérarques européistes et mafias locales : à du trafic d’organes.
Une ferme humaine découverte en Libye
Les troupes du général Haftar ont libéré plus de 2500 Africains (hommes, femmes, enfants et bébés) dans une ferme très étrange. Tous ces Africains étaient enfermés dans des petites cages limitant leurs mouvements comme des bêtes sauvages. Ils étaient tous en piteux état.
Certains n’avaient pas d’œil et portaient tous des stigmates de grossières interventions chirurgicales. Le récit de ces pauvres bougres est au-delà de tout entendement. C’est la ferme des horreurs. Le paroxysme de l’horreur. [...]
Avec la bénédiction de l’Union européenne, ils ont créé le marché noir de toutes les parties du corps humain. Ils ont statué que le peuple noir était de la carrosserie humaine. Sans se donner la peine de leur administrer la moindre anesthésie, des médecins leur prélevaient les organes dont la riche clientèle occidentale avait besoin.
On nie leur humanité et on les enferme dans des cages comme réserve pour les besoins de la médecine occidentale. Un abominable business en plein essor au Moyen-Orient.
Les fermes humaines deviennent de plus en plus nombreuses.
Un rein de nègre maintenant coûte 262 000 dollars (131 millions de fcfa) ; le cœur coûte 119 000 dollars (60 millions de fcfa) et le foie coûte 157 000 dollars (79 millions de fcfa).
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