Actuellement aucun pays n’est en « démocratie », car le peuple n’est pas « convoqué » à l’assemblée pour voter les lois. Les régimes actuels sont pour la plupart organisés en oligarchies ou en autocraties, ou seul un petit nombre d’individus, potentiellement corruptible, décide de voter les lois.
Rappelons enfin que : « le communisme », « le fascisme », « l’islamisme », « le capitalisme », « le consumérisme », « l’écologie » ne sont que des plans sociétaux interchangeables, redistribués à chaque génération par une minorité d’oligarques, afin d’occuper « philosophiquement » et sous des bannières partisanes désuètes, l’esprit des populations.
Aujourd’hui les plans sociétaux pour occuper les populations sont « le fascisme » et « l’islamisme » avec un soupçon « de communisme » pour agrémenter la salade, et surtout contenir momentanément l’explosion sociale en Europe.
Parfois, il arrive que certains thèmes prennent l’ascendant sur le contrôle oligarchique, comme ce fut le cas avec le grondement de révolte de la paysannerie communiste italienne dans les 70.
Il suffit pour y remédier de mettre une dose de fascisme, et « dans ce cas précis », d’utiliser des groupes « non étatiques », mais très influents, comme la franc-maçonnerie* et la Mafia, pour rééquilibrer la balance en faveur du pouvoir de la minorité oligarchique.
*Le tout jeune Sylvio Berlusconie siégeait d’ailleurs à l’époque dans l’une de ces loges qui réprima les paysans communiste Italiens.
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