Effectivement attendre pour bientôt la baisse des taux US, sinon effet papillon, les banques doivent rembourser des obligations à 0.50% max à maturité et se financer à nouveau à 4%., pas tenable idem ici évidemment.
La banque, on peut s’en passer si on n’est pas entrepreneur ou commerçant, ils facturent des frais pharaoniques, je n’ai jamais plus de 1000 balles sur le compte au cas où on nous la fasse et on nous la fera à la chypriote.

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Ça n’arriverait pas si l’usure était interdit.

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Je n’y connais rien du tout mais Je n’ai pas jamais eu confiance en ces ’valeurs’ fictives qui ne reposent que sur des "estimations". Rien d’étonnant à ce que ces valeurs passent du tout au rien parfois en quelques mois. Ce n’est peut-être d’ailleurs qu’une forme d’escroquerie permettant aux créateurs de récupérer des fonds et de se barrer avec la caisse... après tout n’est ce pas le mode de fonctionnement des Banques systèmiques ou de l’Etat qui vous incitent à souscrire à tel ou tel plan d’épargne ou d’investissement avec soit-disant des garanties...
Méfiante, je me contente d’économiser à ’l’ancienne’.

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C’est un remake de 1929.
La faillite des banques régionales au plus grand profit du cartel des grandes banques de Wall Street.

La vrai question est le Crédit Suisse. C’est une "G-SIB" (Banques d’Importance Systémique Mondiale).

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En fin de compte, les banques centrales, pour ne pas perdre le contrôle, sont obligées de relever les taux d’intérêt et de réduire l’expansion du crédit pour freiner l’inévitable fille de la bulle : la spirale inflationniste. Une fois que le crédit n’augmente pas plus vite, l’air commence à s’échapper des bulles d’actifs financiers et réels (douloureusement pour les propriétaires !).
Les bulles mondiales d’actifs de crédit éclatent, et la « prospérité » illusoire engendrée par les bulles est sur le point de tomber d’une falaise. La semaine de 20 000 $ au complexe chic était amusante, tout comme le déjeuner à 80 $ pour deux (deux toasts à l’avocat et deux boissons), mais malheureusement, tout était faux, faux, une fraude.

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Détruire l’occident collectif pour faire émerger autre chose. Bah rien à faire, il se suicide très bien tout seul. Liquider les banquiers et les banques…

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Cherchez une banque systémique dans le monde qui soit :

 hors juridiction de la F.E.D.
 hors juridiction de la B.C.E.

C’est elle qui, ne pouvant être recapitalisée, jouera le rôle de premier domino.

Dans l’exemple de la S.V.B. la question à vérifier n’est pas de compter les morts américains mais si, par son défaut, elle peut entrainer celui d’une banque systémique hors contrôle de la F.E.D. ou de la B.C.E.

Car alors, le défaut se propagera à la vitesse de la lumière.

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Mdr
Ils ont appelé la nouvelle planche à billets pour renflouer les banques :"Bank Term Funding Program (BTFP)"
Buy The F*cking Pivot !

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Par définition, les banques sont en faillite parce que leurs actifs sont des prêts qui ne reposent sur rien de tangible en terme de sécurité financière. Bâle III n’a été que reculer pour mieux sauter en se donnant l’illusion de choisir les bons risques au détriment des mauvais. Du vent !

Elles feront toutes faillite tôt ou tard. L’espoir, c’est le retour des États et des banques centrales (type banque de France) pour faire la part des choses. Bref, c’est la fin du libéralisme annoncé au travers de cette crise des banques qui ne fait que démarrer !

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Le Maire, 2022 : les sanctions contre la Russie vont mettre son économie à genoux.
La Maire 2022 : nous ne sommes pas menacés par l’inflation.
Le Maire 2023 : aucun danger pour nos banques.

Des fois on se demande où mettre le curseur entre l’incompétence et la malhonnêteté. En tout cas prendre l’exact contre-pied de ce qu’il raconte permet une vision réaliste de l’avenir.

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