Le chômage connaît depuis quelque temps une croissance inquiétante. Des pans entiers de notre industrie et de nos services ont disparu pour renaître de leurs cendres dans des pays à bas salaires. Ces phénomènes de délocalisations ne touchent pas simplement nos usines, ils touchent actuellement le savoir et la santé, deux domaines qui sont stratégiques pour la survie de la nation française. Depuis quelques années, la technocratie mondialiste œuvre pour un but bien défini : la délocalisation de la formation des professionnels de santé.
Les études de médecine
Ces études sont en France encadrées par un concours en fin de première année universitaire ; les étudiants classés en rang utile peuvent donc espérer devenir médecins. Système injuste dirons certains, mais système qui permet encore aujourd’hui à un nombre important de nos compatriotes modestes de pouvoir accéder à un métier dit « noble », un métier difficile également, mais un métier si enrichissant et au service de la Nation. Un concours et un numerus clausus qui permettent d’encadrer le nombre de praticiens que nous formons, et donc d’éviter pour une fois à la Faculté tant critiquée, de former des bataillons de chômeurs. Sélection au mérite et au travail acharné, formation d’excellence assurée quelquefois par d’éminents praticiens au sein de nos hôpitaux publics. Formation gratuite et donc absence de toute discrimination permettant une ascension sociale et économique pour les plus modestes d’entre nous. C’était sans compter l’Union européenne.
L’Union européenne au service des collés
Les « victimes » de cette sélection certes malheureuse mais utile, ont désormais la possibilité de devenir tout de même médecins dans un eldorado qui est devenu, en quelques années, le laboratoire du projet mondialiste concernant la santé : la Roumanie.
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