« Le gouvernement doit “passer à une nouvelle étape” dans la lutte contre le racisme et la haine sur Internet. C’est ce que défend un rapport comportant vingt propositions, remis jeudi 20 septembre au premier ministre Édouard Philippe.
Ce document – rédigé par la députée (La République en marche, LRM) de Paris Laetitia Avia, le vice-président du Conseil représentatif des institutions juives de France, Gil Taïeb, et l’écrivain Karim Amellal – avait été commandé par Matignon dans le cadre de son deuxième plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Les auteurs du rapport estiment que la question a souffert jusqu’à présent d’“une certaine indifférence des pouvoirs publics”, ce qui a permis la multiplication des discours de haine et un sentiment de “recul de l’État de droit sur Internet”. » (Le Monde)
Oh la la, avec ce texte, les officines soi-disant antiracistes qui prônent la haine antifrançaise n’ont qu’à bien se tenir ! Le gouvernement prépare un durcissement des textes pour punir toutes ces associations douteuses qui bavent leur haine de la France, des Français, de leur culture et de leurs traditions du matin au soir.
Ça, c’est dans un monde normal. Dans le monde qui est le nôtre, la « haine » recouvre tous ceux qui refusent de se soumettre à la dictature de la pensée unique, celle de l’oligarchie, qu’on peut résumer par socialo-sionisme. Et qui bascule tranquillement dans le national-sionisme, plus adapté à la colère actuelle du peuple, même si c’est un nouveau leurre.
Peu à peu, l’Internet est étouffé par les anneaux de ce boa qu’est la censure oligarchique. La caste dominante veut tout : l’argent, le pouvoir, l’expression, et pas question de renâcler, de critiquer, de gueuler. On doit fermer sa gueule, c’est ce que ces fabricants de haine réelle appellent « la paix ».
Évidemment, en fermant les tuyaux de la liberté d’expression, ces menteurs n’auront jamais la paix, comme les Israéliens qui ont volé leur terre aux Palestiniens ne pourront jamais vivre en paix sur un mensonge. La France glisse donc doucement vers une dictature qui n’est douce que pour les ignorants, les aveugles volontaires ou les lâches.
Il n’y a qu’à voir ce que préconise ce texte, diffusé avec complaisance par Le Monde, qui y voit un moyen aisé de survivre face à la concurrence de l’info libre. La seule issue est de liquider la concurrence informationnelle, ces gredins l’ont bien compris. Seulement, il y a un hic : la législation.
« Le texte préconise de faire évoluer des notions importantes du droit du Web. Une tâche ardue car il faut convaincre les autres pays membres de l’Union européenne. »
Ces truqueurs sont donc obligés de la tordre pour arriver à leurs fins liberticides. Et ils y arriveront, on n’en doute point, même si l’Union européenne hausse un sourcil « préventif » : c’est un concert d’hypocrites puisque l’injonction vient aussi de l’UE, qui veut en finir avec la liberté d’expression – pour elle synonyme de critique acerbe des buts européistes impopulaires – et qui travaille en souterrain dans ce sens.
Les Français, qui ont découvert avec ravissement la liberté d’expression avec l’Internet il y a 20 ans, vont comprendre leur douleur : non seulement le pouvoir libéral va les ratiboiser, mais leur parole sera confisquée.
L’histoire retiendra leurs noms...
Voici, en substance, l’article du Monde sur cette torsion du droit destinée à limiter la liberté d’expression sous prétexte de « haine ». On notera, comme d’habitude, les hommes de paille de cette entreprise nauséabonde : Laetitia Avia et l’écrivain Karim Amellal, qui cachent à grand peine le gros pilier de ce recul démocratique en la personne du vice-président du CRIF, Gil Taïeb !
Leçon numéro un pour blouser les gogos : toujours planquer le pouvoir profond derrière le pouvoir visible... la communauté décisionnaire derrière les communautés de couleur... le racisme derrière l’antiracisme !
Écoutez maintenant la litanie d’idées répressives bien haineuses de la part de ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire du matin au soir. N’oubliez pas de remplacer le mot justice (« Une justice plus rapide ») par le mot répression, pour que ce texte ignoble qui fera date soit plus clair.
Lutte contre la haine sur Internet : un rapport pour
« passer à une nouvelle étape » remis à Matignon
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Le rapport propose d’emboîter le pas de l’Allemagne et d’obliger certaines entreprises du numérique, idéalement les « accélérateurs de contenus », à retirer les publications « manifestement » illégales dans un délai de vingt-quatre heures après qu’elles leur ont été signalées. Ce délai serait porté à une heure pour les contenus à caractère terroriste. Les auteurs proposent une amende pesant sur les contrevenants, qui pourrait s’élever jusqu’à 37,5 millions d’euros, soit 100 fois ce que prévoit actuellement la loi.
La loi allemande « NetzDG », qui prévoit un dispositif similaire, présente un bilan « plutôt encourageant », selon le rapport. Cette initiative, qui a fait polémique à ses débuts, était observée de près à Paris et souvent présentée comme un exemple à suivre.
Blocage des sites
Le rapport suggère également de permettre au juge d’ordonner aux fournisseurs d’accès à Internet d’empêcher leurs clients d’accéder à un site dans les cas les plus graves (menace de mort, incitation à la violence, harcèlement…).
Ce mécanisme existe déjà en droit français, mais les magistrats restent frileux à l’idée de l’appliquer. Anticipant une éventuelle évolution juridique, les autorités ont dans leur viseur, selon nos informations, un site raciste particulièrement odieux et vont prochainement tenter d’obtenir un précédent devant la justice.
Le mécanisme envisagé par le rapport serait justement destiné à atteindre les sites les plus violents qui ont tout fait pour se mettre hors de portée des autorités françaises, notamment en choisissant d’être hébergé dans des pays peu coopératifs. Le rapport évoque aussi la possibilité de donner au juge le pouvoir de retirer un contenu des moteurs de recherche.
Une justice plus rapide
Le document remis au Premier ministre formule aussi des préconisations pour mieux réprimer les propos racistes et antisémites. Par exemple de recourir aux ordonnances pénales afin de rendre des condamnations plus rapides. Outre des amendes plus fortes, les trois auteurs suggèrent une plus grande variété de peines, comme des stages de sensibilisation à la haine en ligne ou des travaux d’intérêt général.
Les rédacteurs veulent améliorer la formation des différents maillons de la chaîne judiciaire, des policiers et gendarmes aux magistrats, ainsi que la création de chambres pénales spécialisées dans les délits, spécifiques et complexes, liés à la liberté d’expression. Ils souhaitent ouvrir la possibilité de faire des délits haineux l’objet d’une plainte en ligne. Pour cela, notent les auteurs du rapport, le budget alloué au parquet et plus généralement à la justice devra être augmenté.
Le rapport propose de standardiser les mécanismes qui permettent aux internautes de signaler la présence de contenus racistes. Il s’agit d’un point déjà existant en droit français, mais qui ne donne pas satisfaction aux auteurs, qui aimeraient que soit instauré un logo, commun à tous les réseaux sociaux, pour rendre ce système d’alerte « clairement identifiable ».
La députée et ses deux coauteurs suggèrent la création d’une autorité de réglementation dédiée au racisme et à la haine sur Internet, qui serait chargée de prononcer les sanctions pécuniaires, de réclamer au juge le blocage de certains sites ou de contrôler le dispositif de signalement.
Lire l’article entier sur mobile.lemonde.fr
On rappelle que Laetitia Avia, en difficulté avec la justice pour avoir mordu un chauffeur de taxi, avait sorti une lettre (anonyme) miraculeuse qui l’exonérait en quelque sorte de sa faute, puisqu’elle était truffée de propos racistes.
Elle y était traitée de « grosse truie noire venue d’Afrique », ce qui n’est pas très élégant mais permettra d’éteindre l’incendie de la morsure sauvage...
L’interview de la femme de paille du CRIF Laetitia Avia dans le JDD
- Le sourire qui mord
Le secrétaire d’État au Numérique, Mounir Mahjoubi, a dit à propos de votre rapport : c’est « plus de transparence, des sanctions plus élevées et plus de condamnations ». Un bon résumé ?
Oui. Il faut mettre fin au sentiment d’impunité qu’on a aujourd’hui sur Internet. Le point de départ de la réflexion a été d’en finir avec ce mythe selon lequel Internet, et en particulier les réseaux sociaux, n’est pas la vraie vie. En réalité, on y passe plus de temps qu’en interaction dite « réelle ». L’objectif est d’y rétablir l’état de droit et du civisme sur Internet.
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Et en cas de non-respect, les amendes seront-elles augmentées ?
Nous sommes actuellement sur des sommes dérisoires. Nous prônons dans le rapport de les multiplier par 100. Elles s’appliquent à chaque fois que les obligations des plateformes ne sont pas respectées. Et ce, dans deux cas de figure :
quand les contenus illicites ne sont pas retirés ;
quand les plateformes ne répondent pas à certaines obligations, notamment relatives aux réquisitions judiciaires.
Aujourd’hui, lorsqu’on a des auteurs anonymes, on demande des informations à Facebook, Twitter… pour les identifier ; mais ils ne répondent pas car ils risquent éventuellement 370.000 euros d’amende. Ça coûte en réalité bien plus à la justice française d’engager cette procédure que d’obtenir gain de cause. En multipliant par 100 ces amendes, les portant ainsi à 37,5 millions d’euros, nous ne sommes toujours pas au seuil de la loi allemande qui prévoit une amende de 50 millions d’euros.
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Il ne faut pas non plus qu’il soit pénible lorsqu’on est victime de contenus racistes ou antisémites d’engager des poursuites. Actuellement, le mécanisme de signalement est très lourd et il faut se rendre au commissariat pour déposer plainte. Il faut que les victimes puissent déposer plainte en ligne. Si les choses fonctionnent comme nous le souhaitons, il va y avoir beaucoup plus de plaintes qu’aujourd’hui. Il faudra les traiter avec le recours à l’ordonnance pénale : un juge – sans audience – va traiter plus rapidement les affaires, sachant qu’elles restent bien sûr susceptibles de recours.
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Nous avons tapé fort avec le « x 100 ». C’est un choix que nous assumons. Il faudra voir comment cela sera perçu par les acteurs. En France, il faut que cela change en 2019. À l’échelle européenne, cela sera plus long, mais les positions allemande et française enclencheront des discussions sur ces sujets.
Lire l’entretien entier sur europe1.fr
Fin de la parenthèse délirante. Au vu du paquet de merde qui va nous tomber sur la gueule en 2019, autant se prémunir tout de suite. Et voter, résister le plus possible contre ces fripons qui détruisent la culture de paix et de discussion libre qui a régi notre pays depuis toujours.
Ce sont eux les menteurs, les voleurs et les envahisseurs. La France éternelle les éjectera, ça prendra un peu de temps, mais la haine, la vraie, sera boutée hors de France. On reste confiants, on serre les dents, et on affûte nos arguments.