Certes, ce jeune homme aux propos égrillards porte une casquette tradi – une Thierry Roland, nous confie un chapelier – qui pourrait laisser croire qu’il s’agit d’un identitaire ou d’un clampin d’extrême droite, puisqu’il semble ne pas apprécier les coutumes érythréennes venues avec leurs migrants en Europe.

Heureusement qu’il reste de bonnes âmes de gauche pour trouver ces traditions admirables et accueillir chaleureusement ces amis des femmes ! Quant à nous, nous restons malheureusement de vils sexistes pratiquant une violence caustique contre les féministes occidentales, victimes de toutes les discriminations. En même temps, il leur reste leur clito, ce qui explique peut-être leur toupet. Va savoir, les voies du métabolisme sont impénétrables, comme les lesbiennes.

Le problème de l’immigration inintégrable ou inassimilable a été posé par l’oligarchie au peuple français, qui n’a pas les moyens juridiques de s’y opposer. Il y a un demi-siècle, dans la continuité du colonialisme, on ne francisait plus les Africains sur leur sol mais sur le nôtre. Le sentiment catholique national – disons la culpabilité – fut habilement instrumentalisé par la gouvernance pour faciliter l’apport étranger, au départ de travail.

Les Africains étaient naturellement des victimes, que les Français, plus ou moins responsables, plus ou moins Dupont Lajoie (Yves Boisset vient de passer l’arme à gauche), devaient prendre en charge. Puis le socialisme drayo-mitterrandien est venu tout institutionnaliser, et massifier.

Exemple avec ce petit documentaire du duo Enderlin & Bloch datant de 1970 :

Sauf que les Africains traditionnalistes et coupeurs de clitos arrivent désormais dans un pays déconstruit, sans défense – car sans racisme ! –, avec des hommes que le pouvoir a désarmés et des femmes que le pouvoir a armées, notamment par les aides sociales et juridiques. Les pauvres hères débarquent dans un pays de chômage et de salaires baissés où les femmes n’ont plus besoin d’hommes, enfin, encore un peu.

Les migrants sont déversés principalement dans le 93, l’antichambre des campagnes françaises, où le pouvoir profond, de plus en plus visible, veut disséminer les hordes barbares. La résistance masculine ayant été affaiblie à dessein, les Autres – au sens de Lyautey – peuvent entrer comme dans du beurre sur nos terres.

Les paysans qui pourraient défendre ces terres sont aujourd’hui trop peu nombreux et trop fragilisés pour constituer une première ligne de défense. De manière générale, toutes les catégories de population qui auraient pu s’opposer au plan Kalergi en France sont dans le viseur des autorités, qui organisent l’attaque et désorganisent la défense.

On pourrait laisser le problème de l’immigration incontrôlée (au contraire, elle est très contrôlée !) aux femmes, qui vont en pâtir, et qui en pâtissent déjà, et notamment aux féministes, qui ne comprennent pas le plan d’ensemble : les lois féministes ont servi à affaiblir les hommes. Dans la nature, quand le lion est attaqué par d’autres lions, la troupe de femelles est attaquée à son tour. Les lionnes sont violées et les petits tués.

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Faits & Documents inaugure sa série sur la destruction de la famille traditionnelle par ce numéro consacré à la déconstruction de la masculinité par les réseaux néo-féministes et la pression pornographique. Un numéro qui fournira à tous des arguments tangibles pour faire face à l’offensive !

Vous trouverez dans ce numéro :

 une enquête statistique sur les rapports homme-femme
 une enquête sur un sujet éludé par les féministes : les infanticides
 un rappel historique sur les réseaux à l’origine de l’industrie pornographique
 quatre pages de brèves d’actualités