Bien sûr que les spécialistes du jeûne, en Europe, sont allemands. En France, on préfère les jeunes, malheureusement, demandez à certains hommes politiques...
Je vous partage ma vision du jeûne :
Je n’ai jamais choisi de faire un jeûne, j’ai fait des jeûnes, mais naturellement.
Si on va en monastère, qu’on médite, qu’on suit un parcours spirituel, le jeûne vient spontanément, vous regardez la nourriture, et tout votre être, physique et esprit, vous dit "non". Et on n’y pense plus, pourtant, en monastère, on bosse dur.
Et il n’y a pas de faim dans ces moments-là, pendant plusieurs jours, on veut se forcer à manger, mais on ne peut pas, exactement comme quand on a la fièvre. Et alors qu’on va très bien.
Voilà, je préfère ce jeûne là, naturel, parce que le travail spirituel réveille des énergies vitales qui prennent partiellement et temporairement la place de la nourriture physique.
Mais venir dire aux autres, et à moi-même, juste avec la tête, sans pratique spirituelle : "là, il faut jeuner 8 jours ou plus", non, je ne peux pas, c’est pas mon truc.
Je suis conscient que ça peut faire énormément de bien, le Dr Gernez et tant d’autres, en témoignent, mais s’agissant d’un "jeûne scientifiques", j’estime que je ne suis pas qualifié du tout pour conseiller, ni les autres, ni moi-même.
Juste une remarque :
il faut détoxiquer certaines organes, reins, foie, intestins, par l’absorption de certains jus de plantes, avant le jeûne total et long, sinon, un jeûne brutal, après n’avoir avalé que de la nourriture "impure", peut poser des problèmes et ancrer les toxines de cette mauvaise nourriture dans le corps.
Il faut y aller molo : d’abord, purifier les organes, ensuite, s’arrêter.
On ne pose pas un avion brutalement, on cherche à atterrir le plus doucement possible. Là, c’est pareil.
Bien se renseigner auprès des gens compétents, donc.
Répondre à ce message