Il est bien connu que la « théorie du genre [que l’on voit à l’œuvre tous les jours que Dieu fait] n’existe pas », dixit le juin 2013 la gigoince (terme argotique) Belkacem, ci-devant ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement de Jean-Marc Ayrault [1]… elle qualifiait aussi d’imaginaires les revendications de la Manif pour tous ! Ces gens, ces élites de papier mâché, sont véritablement des négationnistes systémiques : ce qui est incongruent avec leur vision du monde (weltanschauung), ce qui ne s’insère pas et perturbe leur grille de lecture, n’existe tout simplement pas ! Dans cet ordre d’idée il est convenu ces derniers temps de qualifier – sur un ton mi apitoyé mi méprisant en tout cas terriblement condescendant – le « grand remplacement » de mythe, de fantasme, d’illusion névrotique… quoique la chose soit démentie par des faits cruels, chaque jour, à chaque pas de l’actualité, à chaque instant qui passe.
Car ce grand remplacement supposé chimérique (dont il est a fortiori sévèrement interdit de parler puisqu’il n’existe pas [2]), massivement organisé et orchestré à travers toute l’Europe par la cacocratie régnante (le pouvoir aux mains des nuls et des moralement corrompus), l’un des rares domaines dans lequel elle excelle, se manifeste pourtant, ici et là, par des symptômes de plus en plus mal aisé à faire passer sous le tapis… surtout lorsqu’ils se multiplient et troublent l’ordre public. Nous ne parlons pas seulement des surinades de rue : l’une des dernières en date est celle du 26 juin 2020 à Glasgow (une petite semaine après que trois hommes eurent été mortellement poignardés dans un parc de Reading à l’ouest de Londres1), avec six blessées et un « suspect » – il faut évidemment faire la part belle à la présomption d’innocence – abattu. Encore une malheureuse victime des violences policières ! Non ? Les faits sont intervenus dans un hôtel situé au centre de la cité industrielle écossaise [3], un établissement accueillant des « demandeurs d’asile mis à l’abri pendant le confinement imposé pour lutter contre la propagation du coronavirus ».
Ce qui n’est pas sans rappeler cet autre demandeur d’asile afghan qui, le 15 avril 2020 dans le parc départemental de La Courneuve en Seine-Saint-Denis, armé d’un couteau avait attaqué des policiers. Ceux-ci, sans vergogne (les malotrus), l’abattirent sur place. Ou encore ce réfugié afghan de 33 ans connu sous plusieurs identités et « auteur présumé » d’une attaque mortelle au couteau le 31 août 2019 à Villeurbanne dans le Rhône. Celui-ci avait obtenu en mai 2018 la « protection subsidiaire » de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Un jeune savoyard de 19 ans, Timothy, paya de sa vie la générosité pathologique (ou perverse) de l’administration hexagonale et surtout la prévalence sur toutes autres considérations, des « valeurs » fondatrices (sans lesquelles nous risquerions de sombrer dans le fascisme le plus noir !) de l’Union européenne. Crèvent nos jeunes gens pourvu que l’accueil de toute la misère et de toute l’écume du tiers-monde soit la priorité des priorités… Soyons humains et haut les cœurs !
Démocratisation du meurtre pour refus d’une clope
Chez nous le meurtre presque gratuit s’est popularisé au sein de populations de plus en plus réfractaires aux lois, républicaines ou autres. Rebelles à tout code qui ne soit pas celui d’une bande, d’un clan ou d’un quartier ou d’une communauté ethnique. Point n’est plus besoin d’aller chercher un quelconque alibi du côté de l’islam, une confession qui dénie toute autorité aux lois temporelles non directement déductibles de la Récitation (al Koran). Non, il suffit désormais d’être hostile, étranger à tout ordre social qui marquerait un ascendant culturel ou civilisationnel ou une antériorité de propriété territoriale (le Gaulois primo occupant). En fait les nouveaux barbares et les prochains nouveaux maîtres – à ce sujet il faudrait consulter le bottin administratif des départements ministériels où s’exerce l’autorité – sont déjà au cœur de la cité… déclarée ville ouverte !
La gendarme Mélanie Lemée, 25 ans, de la brigade de proximité d’Aiguillon (47), vient d’en faire la cruelle expérience. Elle est décédée ce 4 juillet parce qu’un demi-sel, « Yassine El Hazizi, un “chauffard” âgé de 27 ans qui a forcé un barrage » à Port-Sainte-Marie, dans le Lot-et-Garonne, à une vingtaine de kilomètres à l’ouest d’Agen. Il a percuté sa victime à pleine vitesse et l’a tuée ! Le tueur – désigné sous le vocable de “conducteur”, tendre euphémisme qui fait d’un crime un simple fait divers – est, selon la formule rituelle aussi éculée que navrante, « déjà connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés aux stupéfiants et des délits routiers ». Le conducteur commence par refuser de s’arrêter à un premier contrôle de gendarmerie à proximité d’Agen. Ensuite, signalé aux forces de l’ordre, il effectue un « demi-tour devant un barrage de police ». La gendarmerie met alors en place « un dispositif d’interception » à Port-Sainte-Marie. Face à l’obstacle, le voyou « refuse à nouveau de s’arrêter, tente une manœuvre pour éviter la herse, quitte la chaussée, heurte violemment la gendarme qui très grièvement blessée, meurt malgré l’intervention des secours dépêchés sur place… ».
Le lendemain du décès de Mélanie Lemée, le dimanche 5 juillet à Bayonne, quatre « jeunes » un peu excités qui entendaient voyager gratis pro deo, forçaient le passage pour monter dans un bus sans ticket ni masque. Le chauffeur, Philippe Monguillot s’étant interposé, il est roué de coup puis, le crâne fracassé, abandonné en état de mort cérébrale. Cet homme de 59 ans, père de trois enfants, s’éteignait une semaine plus tard sans avoir repris connaissance. Le ministre délégué aux Transports, un certain Jean-Baptiste Djebbari (un autochtone de vieille souche), s’étant rendu sur les lieux, se fendait d’une déclaration pas piquée des hannetons : « J’ai vocation à dire que les services de l’État, le préfet et évidemment les services de sécurité, sont là pour s’adapter à la nouvelle situation ». De quelle nouvelle situation parle-t-il, ce cuistre ? Cela fait des décennies que les agressions se multiplient contre les policiers, les pompiers, les agents de transports publics, les passants innocents, de quelle « adaptation » s’agit-il ? Tendre l’autre joue ? Accepter la loi du plus fort et du plus brutal ? Se soumettre sans limites ?
La « clientèle » évolue… vers l’ensauvagement
Le ci-devant sous-ministre ne craint pas d’ajouter : « On [!] nous dit que la clientèle évolue… » ! Qui est donc ce « on » ? Or çà, il faudra/ait s’adapter à un nouveau type de clientèle… en l’occurrence armée de casse-tête ? Bientôt ce sera le cannibalisme peut-être ? Et le béjaune de conclure : « On a eu affaire à une scène d’une violence extrême, dont on ne peut expliquer l’origine » [4]. Plus c… on meurt ! On se demande dans quel bois sont taillés ces abrutis ou bien, hypothèse plus vraisemblable, ils prennent la masse du populo pour encore plus stupide que la multitude de nos dociles covidés masqués, bientôt vaccinés et pucés [5] … Sachant que si les médias et les autorités sanitaires alimentent frénétiquement la psychose de la deuxième vague – « inéluctable » à entendre les infaillibles oracles qui dégoisent à longueur de temps dans les lucarnes – c’est bien pour nous tenir sous le boisseau et nous faire désirer et accueillir à l’arrivée la vaccination comme la seule et unique planche de salut ! Bonjour les futurs estropiés de la tyrannie sanitaire grande sœur de la dictature hygiéniste. La panique sera mauvaise conseillère et la pression administrative, irrésistible…
Maintenant « on » nous parle d’ensauvagement de la société. Mais d’où sortit-il cet ensauvagement ? Est-ce une fatalité liée au changement climatique, aux transferts de populations depuis les zones intertropicales vers les zones tempérées ou bien ce retour à la sauvagerie primitive a-t-elle des causes plus repérables, identifiables, curables… voire politiques et in fine idéologiques ? Et ne perdons pas de vue que le métissage puisse être une sélection naturelle à rebours, autrement dit une involution ! À méditer !
Le 8 juillet [6], Najat Belkacem – encore elle ! – se posait sur France Info cette taraudante question existentielle : « Est-ce-que nous sommes [en français : sommes-nous ?] encore capables de vivre ensemble ? ». Opportune question, mais hélas sans lien immédiat avec les deux drames sus-rapportés. Ce qui interpelle cette très petite personne, réside dans la « tragédie ignoble que vit Assa Traoré et sa famille [polygamique vivant aux crochets des cochons de payant], cela doit être une souffrance indicible, depuis quatre ans, que d’avoir perdu son frère » ! Au demeurant les familles de Thomas, 23 ans, huit fois poignardé à Sarcelles dans la nuit du 10 mai par un taulard tout juste sorti, de Philippe le paisible Bayonnnais, de Mélanie la gendarme, pour ne citer que les dernières victimes immolées sur l’autel sanguinolent du « vivre-ensemble », n’ont à l’évidence aucun intérêt aux yeux de ce dérisoire personnage. Que faudra-t-il dire ou faire pour lui enfoncer dans la caboche qu’également White Lives Matter – « la vie des blancs a également un prix » ! – et pas moindre que celle de toute la racaille délinquante aujourd’hui idolâtrée dans l’hémisphère Nord.
Ah j’oubliais ! Ces gens de sac et de corde, ces cailleras droguées et surineuses, sont ontologiquement innocentes, elles ne sont pas criminelles sui generis, non, elles ne sortent du droit chemin de la vertu que parce que nous les rejetons, nous les infériorisons, parce que nous sommes discriminationnistes dans l’âme, que nous sommes des racistes systémiques jouissant insolemment du privilège blanc… Or le seul privilège visible à l’heure actuelle est bien celui des marches blanches… Trop blanches encore peut-être au goût de certains parce que les blancs, les fromages, les babtous, les céfrans à n’en pas douter devraient crever en silence et rendre l’âme en bénissant leurs bourreaux… De la race blanche faisons table rase ! D’ailleurs M. Sarkozy nous l’a bien dit, nous devons nous métisser [7], de gré ou de force… « La diversité à la base du pays doit se [re]trouver à la tête du pays ». C’est chose faite. Entre un « sang mêlé » place Vendôme et un décolonisé place Beauvau1, le nouveau monde que M. Sarkozy appelait – en nous menaçant à mots à peine couverts – de tous ses vœux avance vraiment à grands pas …
Racaille d’en-bas et canaille d’en-haut
En vérité, nous bénéficions – pour ceux qui ne s’en douteraient pas – d’un gouvernement de la pègre. Avec pour vocation d’être le bec verseur d’allocs en tous genres et protecteur par son laxisme de l’économie noire que les gouvernements de gauche successifs ont complaisamment laissée s’installer, s’incruster et prospérer. Vous ne voyez quand même pas le couple Darmanin/Moretti reprendre pied au cours des deux ans qui leur sont échus dans les territoires perdus de la République ? Il y a quarante ans, la France était déjà l’agonie, devenue cadavre dans les années 90 elle est à présent entrée en phase de décomposition avancée… Nous ne parlons pas seulement de la France institutionnelle, mais aussi sociale [8] ! Une France décérébrée grâce à Mme Belkacem & Cie où l’on se félicite d’avoir accompli en 2020 le délire égalitariste de l’instituteur monté en graine jusqu’à devenir Premier ministre, Lionel Jospin, lequel visait cent pour cent de réussite à l’épreuve du baccalauréat… Cette année ce sont 95,7 % des élèves de terminale après rattrapages (13,7% de plus qu’en 2019) qui l’ont trouvé dans une pochette surprise ! Un exploit dans un pays qui peut se targuer d’avoir quelque 20 % d’illettrés à l’entrée au collège. C’est fait… Tous égaux face à l’inculture généralisée. Le plus grave étant non d’ignorer, mais d’avoir perdu la curiosité, la capacité de chercher et d’apprendre par soi-même, puisque les diplômes au rabais procurent et entretiennent l’illusion du savoir.
Certes le poisson pourrit par la tête. Nous ne ferons pas un récapitulatif des turpitudes dont les dernières décades foisonnent pour ne porter notre attention que sur quelques péripéties relatives à ce grand remplacement à la tête de l’État faisant mécaniquement remonter par capillarité la racaille d’en bas vers ses facilitateurs et promoteurs d’en haut… Ainsi la blonde Nadia Hai, ministre déléguée auprès du ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargée de la ville, a démissionné en loucedé de son siège de député, le 7 juillet dans la nuit qui suivit son entrée au gouvernement, parce que… son suppléant, Moussa Ouarouss – placé sous contrôle judiciaire à Reims et qui eut dû siéger à son lieu et place – se trouve mouillé jusqu’au cou dans un trafic de drogue à grande échelle [9]. Une mise en examen qui remonterait à août 2019 pour « importation, transport, détention de produits stupéfiants en bande organisée et association de malfaiteurs dans le cadre d’une enquête portant sur un vaste trafic de cannabis entre la France et le Maroc »… Qui dit mieux ? À Saint-Ouen (ville du 9 cube où il est aisé d’acquérir une AK47 pour quelques centaines d’euros), à peine élu, un conseiller municipal se fait interpeller par la police deux fois en trois jours ! Zakaria Zigh, 19 ans – la valeur n’attend pas le nombre des années ! – est arrêté dans la nuit du 9 au 10 juillet, circulant avec d’autres affranchis sur des scooters volés. L’exact lendemain, le même est une nouvelle fois alpagué par la maréchaussée en train de fumer un pétard avec quelques compagnons de goguette sous le pont Alexandre-III… Tels sont les nouveaux édiles ! On comprend mieux que le demi-marocain (ministricule) Jean-Baptiste Djebbari ait souligné l’évolution de la clientèle, qu’elle soit électorale ou usagère des transports publics… (voir supra). Regardons les choses en face… La fameuse « vague verte » des municipales est à ce titre surtout une vague assez fortement bistre et les Écolos ne sont en vérité que les prête-noms de leur clientèle d’importation (les destinataires de la manne céleste de l’argent public), vivier dans lequel se recrute préférentiellement (la discrimination positive comme ascenseur social… la discrimination étant souhaitable lorsqu’elle va dans le bon sens, n’est-ce pas ?) les équipes et leurs chefs directement issus de la façade orientale du bassin méditerranéen. Illustration : Zakaria Zigh est donc un élu (français) dont le patron et nouveau maire de Saint Ouen, se nomme Karim Bouamrane. Un individu que Jean-Christophe Cambadélis, trotskiste lambertiste avant de devenir en 2014 premier secrétaire du Parti socialiste, présentait dans Le Parisien du 4 juillet dernier comme « un pragmatique et un vertébré. Il a des convictions et il est aussi bienveillant ». Et même apparemment complaisant (pour ne pas dire un peu laxiste) avec les membres de son conseil. Le plus gênant dans l’affaire, est que le gamin pris en flagrant délit n’a pas été molesté par les forces de l’ordre… pas plus que Yacine, meurtrier de Mélanie Lemée ou Mohamed, meneur des brutes qui démolirent Philippe Monguillot. Pas plus que l’on ne vit se lever dans les médias une vague d’indignation après ces meurtres sordides, pas plus que ne se sont embrasés quartiers et cités. Pourquoi ? Parce que Mélanie, Philippe et Thomas sont des morts sans importance dont la vie importe infiniment moins que celle des drogués et délinquants Traoré et Floyd ? Parce qu’ils sont blancs ?
Les zélus qui prétendent nous remplacer
Notons quand même que ces gens, les zélus (pas « nos ») qui prétendent nous remplacer (mais surtout pas nous succéder), outre le gros de leurs troupes recrutées au sein de communautés d’importation, ne représentent qu’eux-mêmes. Ceci tant le nombre de suffrages qui se sont portés sur leur nom apparaît comme désespérément misérable, montrant à quel point la soi-disant démocratie est un théâtre d’ombres et une arnaque majeure. Avec une abstention massive, approchant les 58,6 %. Un taux comparable à celui – affolant – des législatives de juin 2017 : 57,36 %… ou du référendum de septembre 2000 relatif à l’établissement du quinquennat : 69,8 % d’abstentions ! La Ve République se détrame et n’était la chaleur de l’été, l’appel des plages et la peur lancinante de l’épidémie soigneusement entretenue par la propagande anxiogène que les autorités sanitaires déversent par tombereaux entiers via les antennes et les écrans tant publics que privés, nous aurions peut-être – après la mise en quarantaine forcée de la nation » des mouvements populaires similaires par leur violence aux émeutes américaines dont l’écho assourdi est péniblement parvenu jusqu’à nous… Des débordements de colère qui pourraient ressembler aux émeutes raciales (marxistes et subversives) qui embrasent les États-Unis.
À Paris, Hidalgo, la radieuse « madone des rats », mairesse récidiviste, gagne avec 17,5 % des inscrits (36,68 % de votants), tout comme à Nice, Christian Estrosi élu avec 15,8 % ; idem les écologistes à Lyon et à Bordeaux, 19,1 % et 17,5 % ; à Lille, Martine Aubry, 12,4 %… Des résultats qui demeurent malgré tout très au-dessus de celui – 12, 13% des inscrits – que récolta le sieur Macron et lui permit de disposer d’une écrasante et accablante majorité à l’Assemblée nationale. En fait il s’agit là d’une constante depuis près de quatre décennies, à savoir que le pays est dirigé (mais non gouverné) par des minorités coalisées avec d’autres minorités qui toutes, intellectuellement converties ou matériellement convaincues, font le jeu du surpuissant Parti de l’Étranger. Alias l’État profond mondialiste, oligarchique et messianique. Ces agglomérats parlementaires disparates créent ici, en Hexagonie, ce que l’on nomme sans sourires des majorités, acmé de la démocratie représentative renommée de nos jours en participative… en un mot comme en cent, du pur enfumage ! Motif pour lequel les citoyens, déçus et amers, se détournent des urnes – le vote blanc n’étant pas pris en considération – et traînent de plus en plus les pieds pour accomplir un devoir républicain sans rime ni raison. Par conséquent la voie est libre pour les nouveaux entrants qui apportent, collé à leurs semelles, les bonnes mœurs héritées d’un très long passé de despotisme oriental. Ah les beaux jours !