Qu’est qui a bien pu motiver les dernières générations à s’engager dans le domaine de la santé ? C’est une vraie question.
Est-ce par altruisme, par souci du prochain ? Dans un pays ou une majeure partie de la population est athée, ne jure que par la science et l’argent, se délecte de pornographie, de spectacles nihilistes ; de fictions perverses et obscures. Le tout habilement dirigé par une communauté parasitaire et prédatrice qui s’est emparé de l’ensemble des institutions par la subversion, la corruption et la trahison ?
C’est certainement pas le souci du prochain qui suscite une telle vocation, ou le chèque, à moins d’être chirurgien ou titulaire d’un doctorat dans une discipline particulière (réservé par numerus clausus à Qui vous savez). Voyez comment vous étiez déjà traité aux urgences et dans les hôpitaux avant même la "pandémie Covid 19".
Beaucoup rêvent juste de gloire à l’image de ce qu’on voit dans les séries télévisées : « je fais partie de l’équipe, je sauve des vies, je suis un héros du quotidien ». Des générations élevées par Grey’s Anatomy, Scrub, Urgences, le cynisme d’un docteur House, les plans cul Nip/Tuck, etc. Pour un grand nombre d’entre eux, voilà ce qui a suscité leur vocation. Dieu, l’altruisme, la compassion et la bienveillance ne font pas partie de leur langage. C’est juste pour satisfaire leur vanité et s’élever au-dessus des autres.
Pourquoi iraient-ils risquer de perdre leur travail, le prestige qui lui est associé et subir l’opprobre de leur entourage en allant témoigner de ce qu’ils voient, ils ont surement déjà vu et fait pire. Il y a des exceptions bien sûr, mais ceux-là viennent d’être suspendus. Vous comprenez ce que cela signifie ? Les hôpitaux sont devenus des abattoirs où il ne reste plus qu’un personnel sans âme, des "nofakemed’ comme ils aiment à se définir sur Twitter.