Le titre semble fouillis, mais on ne peut pas le dire autrement. Alors que la presse applaudit les deux journalistes de cour qui ont mené le débat Marine/Macron avec leur chrono censé prouver l’équilibre du temps de parole démocratique, nous allons rappeler le lien, que les lecteurs de Faits & Documents connaissent forcément, entre les protagonistes cités dans le titre.
Quel rapport y a-t-il en effet entre la pseudo-journaliste Léa Salamé-Glucksmann, l’increvable milliardaire mondialiste George Soros, la radio du service public privatisé par les agents socialo-sionistes France Inter, et le représentant des puissances mondialistes déguisé en président de la République française ?
Avant de placer la banderille, retour sur la préparation du grand débat par Léa Salamé.
« Comment poser les questions qui soient le plus plates possibles »
Léa Salamé et Gilles Bouleau ont fait exactement ce pour quoi on les a choisis. Zéro surprise…#debatmacronlepen #Debat2022pic.twitter.com/2Dk1gL44uc
— Marcel (@realmarcel1) April 21, 2022
Maintenant, comme promis, la banderille :
Le père de Léa Salamé , Ghassan Salamé ,est au conseil d’administration de l’Open Society Foundations (Georges soros) pic.twitter.com/2rWN5p4emW
— fabian naceri (@AllanicFabian) April 21, 2022
Avec la source, quand même :
Ghassan Salamé was Political Advisor to the UN Mission in Iraq (2003) and Senior Advisor to the United Nations Secretary-General (2003-2005 and again since August 2012).
He is presently Vice-Chairman of the Board of the International Crisis Group (Brussels) and sits on the board of the Open Society Institute (New York), the Council of the International Institute for Strategic Studies and a few other not-for-profit organisations. He is the founding chairman of the Arab Fund for Arts and Culture (Beirut).
On notera que Wikipédia, cette encyclopédie d’obédience mondialiste, a oublié, dans sa version française, de préciser cette appartenance, pourtant essentielle, du père de Léa : il siège au conseil de l’Open Society, à New York, au cœur de la maison mère, quand même, merde !
Il est alors logique de voir ce qui suit :
Croyez-vous que Léa Salamé va regarder Le Pen comme ça au nom de l'impartialité ? pic.twitter.com/fbiwyvJGY1
— Kadoνebackφ #Legislatives2022 (@kadoveback) April 20, 2022
Léa Salamé, malgré ses questions stupides, se retrouve en première ligne de l’audiovisuel de service public, c’est-à-dire au cœur du réacteur de la propagande. Partout, elle impose sa marque de fabrique : une platitude inoffensive pour le pouvoir, qu’il soit visible ou profond.
@LeaSalame l'intelligence des questions politiques chez les journalistes d'aujourd'hui
Et ceci n'est pas un poisson d'avril... malheureusement https://t.co/brpVAuY93Y— VMA (@VMA04313114) April 1, 2022
Sur France Inter, au lieu de dénoncer cette partialité et ce conflit évident d’intérêts, sans même parler du compagnon de Léa, l’agent socialo-sioniste Raphaël Glucksmann, on préfère botter en touche dans la gaudriole. C’est plus sûr.
« Oui mais attendez, y a rien qui vous a choqué, vous ? Réfléchissez bien, vous n’avez rien remarqué d’anormal ? Nan mais Léa qui fait gaffe à l’horloge à la seconde près, on en parle ou pas ? Y a pas UN matin où je peux commencer mon billet à l’heure parce qu’elle déborde son temps de parole ! Et là, je l’entends crier à Macron à propos de Le Pen : “Elle a deux minutes de retard, laissez-la parler !” C’est limite vexant ! En tout cas les étudiants en journalisme savent ce qui leur reste à faire : aller chez Décathlon acheter un bon chronomètre. »
Quel humour !, quelle indépendance d’esprit !, la Toile en tremble encore. L’entre-soi, c’est l’autre nom de cette hyperclasse arrogante et méprisante qui tient la France entre ses serres et qui est incarnée par la paire Salamé–Macron.