Tous les dossiers sont excellents, mais celui-là est essentiel.

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Dommage pour le fond sonore un peu élevé....

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Je disais ça façon de parler mais évidemment que je m’y suis intéressé plus qu’une peu. En tout cas suffisamment pour faire ce constat.

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Remarquable, passionnante, érudite et brillante évocation des aspects extérieurs aussi bien qu’ésotériques des principes de la royauté !!!... Compliments.

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Le discours de Monsieur K. est trop empreint d’un vocabulaire ésotérique pour
être innocent. On fait mention une ou deux fois de christianisme, mais jamais
du Christ et des Evangiles.
Le roi est le lieutenant du Christ et non le symbole de la toute puissance du Cosmos.
En faisant allusion à l’alchimie, en utilisant des métaphores de la sacralité non chrétienne voire païenne et en évitant délibérément l’exotérisme chrétien, Monsieur K. trahit le sens véritable de la royauté telle que nous l’avons connue
en France.

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Bravo monsieur K pour vos émissions. Le ton est a souhait et bien pese, un regal et un plaisir a vous ecouter. Merci pour le partage de votre erudition, on ressort toujours moins con et ca m’a donné envie d’approfondir chaque sujets par les livres et la recherche.
La lumière de zarta version men in black ^^ ?

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Monsieur K.,
j’ai écouté de nouveau votre émission.
Premier point : Le choix de votre musique nimbe votre discours d’une
ambiance non chrétienne. Pourquoi ne pas choisir un Te Deum, un Gloria in excelsis Deo ?

Deuxième point : Vous semblez légitimer la Royauté par une sorte de moteur « interne », autonome, même si vous parlez « d’onction ». Or cette légitimité se fonde sur la Révélation, qui est un moteur « externe », commandement divin auquel les hommes doivent se soumettre.
Cette partie de votre discours n’échappe pas à la tautologie et à la redondance.

Troisième point : Au sujet de la sacralité, vous insistez sur les ornements et les vertus thaumaturges de l’état royal en évoquant l’autotransformation de l’être royal, sa transmutation, thème gnostique antichrétien.
Or la valeur centrale du sujet chrétien est le salut de l’âme, et le Roi s’en trouve le premier garant.
Quatrième point : Vos références puisent en majorité hors de l’héritage pourtant si riche de la France, alors qu’il s’agit de le remettre en lumière.
(suite au commentaire suivant)

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Monsieur K.
Cinquième point : « Couronne de lumière », « Mondes intelligibles », « les influences d’en haut », « intimité avec les activités célestes », « on se souviendra d’ailleurs que nombre de nos rois étaient versés dans la réalisation du Grand Oeuvre alchimique », « pensez au bon Roi St Louis rendant sous son chêne la Justice à Vincennes, réalisant en cela le projet platonicien décrit
au quatrième livre de « La République » traitant de la justice comme fonction cardinale », « vise le Bien mais utilise le Mal, faisant travailler les Anges et les Démons sur le même chantier », « le roi combat contre les forces cosmiques de dissolution » :
Pas une seule fois vous ne mentionnez « Dieu », « Christ », « Évangiles », « Jésus », etc., et vous multipliez des notions nous expulsant de la sphère proprement chrétienne, qui est l’humus de la Royauté française.
Sixième point : « Les hommes se reconnaissaient à la fois dans une autorité surhumaine et amie des hommes ».
Non pas surhumaine, mais divine !
D’accord avec vous sur le rôle modérateur de l’église contre le « tout politique ».
Septième point : L’utilisation de la métaphore du corps dans toute son organicité est une façon « d’horizontaliser » le champ de la culture institutionnelle chrétienne, au détriment de sa « verticalité ».
« L’Homme est un Roi en petit et le Roi un Homme en grand. » : Nous ne sommes pas loin de l’Homme-Dieu si chère à certaines loges !
Huitième point : « Le Roi est une incarnation de la souveraineté, entendue comme puissance d’action sur le monde, et surtout comme maîtrise de soi. Il est la figure de l’homme accompli, celui qui domine sa nature, son tempérament, ses passions (…), le prototype de celui qui domine le monde, (…) il n’est happé par aucune des vanités de ce monde, il est le modèle de celui qui se domine lui-même, (…) qui a empire sur lui-même. »
Si « l’Homme est un Roi en petit », il est donc lui aussi le prototype de celui qui domine le monde, une sorte de surhomme nietzschéen qui n’a à rendre de compte qu’à lui-même,un franc-maçon en quelque sorte.

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@ Leo :

Effectivement très bonne remarque. C’est quelques chose que beaucoup ont oublié malheureusement.

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Très intéressants les dossiers de monsieur K,
ça devrait être prescrit par les docteurs, c’est bon pour la santé mentale.
Merci !

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