Bruno Gollnisch ferait un excellent président de la France actuelle. Perçu comme profondément bienveillant, expérimenté, cultivé, mesuré, d’expression claire, logique, pédagogique et courtoise, son implication pour l’Asie (il parle couramment japonais) et sa sympathie pour la Russie constituent un atout énorme en cette période menaçante (Corée du Nord). Il est propre à rassurer l’électorat moyen, l’armée, la police, le personnel éducatif.
On l’imagine en débat contre Macron. Match inégal dont il sortait largement vainqueur.
La masse immigrée et la bobocaille des villes aurait encore voté contre lui, mais (pour la fraction instruite et non parasitaire de la bobocaille) il aurait sans doute gagné des voix ou provoqué une abstention pleine de questions.
La masse immigrée fait quand même gagner les ennemis de la France à chaque élection. Jamais elle n’est convaincue par le patriotisme, puisqu’elle ne s’identifie en rien, et tout à fait logiquement, au pays historique.
Elle gagne surtout pas mal d’avantages à voter contre la France. Elle n’a pas le désir de voter pour, elle n’en voit pas l’intérêt, point.
BG s’intéresse, quant à lui à la France ou à ce qui en reste et s’adresse aux Français.
Marine fut jugée dans sa jeunesse par une partie des adhérents FN et son fondateur, plus propre à convaincre un peuple français illusionné par l’apparence, car supposé mieux s’identifier à son personnage. Ce fut un mauvais calcul, dans un jeu où la triche est perpétuelle.
Il faut dire la vérité, ignorer l’hostilité d’abrutis ou d’étrangers, et compter sur de vraies forces d’appui qui apparaîtront le moment venu.
BG doit le savoir et connaît ces forces.
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