Et voilà le résultat de 50 ans de socialo-sionisme médiatique, culturel et éducatif : parce que deux délinquants sont morts pendant leur interpellation, le lycée Colbert de Thionville, « sur proposition des élèves et avec l’assentiment du Conseil régional LR du Grand Est » nous dit la presse, aura désormais pour nom le lycée Rosa Parks.
Certes, la plupart des élèves, des profs et des parents se foutent du nom du bahut de leurs enfants ou élèves, mais là, on est dans le symbole, et un symbole vaut plus qu’une statue : c’est un marqueur, un point de bascule. Il s’agit d’effacer peu à peu l’Histoire de France, sous un prétexte moral rétroactif, pour la remplacer par une histoire revue et corrigée par la bien-pensance, changeant les grands anciens pour des petits nouveaux et ce, sans jeux de mots. Et la bien-pensance, c’est le socialo-sionisme, celui des trotskistes qui ont tué l’école publique française en réduisant le sentiment national, le sentiment chrétien et le goût de l’excellence qui étaient incarnés par la royauté.
issu du réacteur socialo-sioniste antiraciste de Canal+
Rosa Parks, pour ceux qui n’étaient pas nés le 5 décembre 1955, ou qui ne lisaient pas les journaux en anglais de l’époque, ou encore qui n’étaient tout simplement pas des Américains adultes, racistes ou pas, dans l’Alabama des années 50, est cette femme de couleur noire (mais pas trop non plus) qui a refusé de céder sa place dans le bus à un Blanc.
La suite est connue : amende, procès, avocat du nom de Martin Luther King, et changement de la loi ségrégationniste dans les bus par la Cour suprême dès l’année suivante. La lutte pour les droits civiques était lancée, dans une Amérique, il faut le dire, qui était alors à l’image de l’Afrique du Sud : y régnait un apartheid brutal et injuste.
Tout ceci est très joli et fait partie de l’histoire américaine, mais pas de l’histoire française, car la France n’est pas et n’a jamais été un pays ségrégationniste. Ceux qui sont venus en France depuis des lustres se sont intégrés ou pas, mais c’était selon leurs désirs (de France) et leurs capacités. De son côté, la France a tout fait, avec son administration, pour bien accueillir les immigrants. On ne peut pas en dire autant de l’Amérique qui a été beaucoup plus dure avec ses néo-arrivants et surtout avec ses descendants d’esclaves. La preuve, beaucoup de Noirs devenus célèbres, de Eugene Bullard à Chester Himes, sont venus en France goûter à l’antiracisme, ou plutôt au non-racisme. Et ce n’est pas la médiocre racialiste Assa Rothschild Traoré qui va changer ça. D’ailleurs, que ceux qui haïssent la France la quittent immédiatement. Personne ne les regrettera !
À propos, Le Figaro révèle que la pasionaria noire a fait en 2019 une tournée dans plusieurs lycées du 93 pour porter sa bonne parole racialiste anti-Blancs et anti-flics. Une autorisation stupéfiante – quand on sait le niveau moral de cette grande famille multidélinquante – accordée par un rectorat qui corrigera le tir plus tard.
« Quant à Assa Traoré, elle poursuit inlassablement son combat contre “les restes liés à l’esclavage” en France. “Le passeport français a été créé pour l’esclave noir, la voit-on proclamer, en pleine rue au milieu d’enfants, dans une vidéo largement partagée ce week-end sur les réseaux sociaux. Quand l’esclave noir sortait dans la rue, on avait le droit de l’abattre. Adama Traoré sort dans la rue sans sa pièce d’identité, on l’abat. Un de nos frères sort dans la rue sans sa pièce d’identité, on peut l’abattre. Ce sont des restes coloniaux qui sont là depuis l’esclavage. Et mon frère va mourir de ces restes coloniaux qu’on défend aujourd’hui.”
Sont-ce ces “faits historiques” qu’elle est allée exposer à des lycéens durant l’année 2019 ? L’an dernier, la sœur d’Adama Traoré a en effet engagé une “tournée” dans plusieurs lycées de Seine-Saint-Denis. Ainsi aux lycées Voillaume d’Aulnay-sous-Bois et Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois en mai, ou encore au lycée polyvalent Angela Davis à Saint-Denis en novembre… “Ce sont ces moments d’échange sur le terrain qui donnent encore plus de sens à notre combat, se réjouit le comité Adama sur les réseaux sociaux. La jeunesse est si réceptive et motivée à se battre pour que la France soit plus juste et respectueuse des droits de chacun d’entre nous quelle que soit notre origine sociale, raciale, religieuse”. Au rectorat de Créteil, on assure que désormais, “les propos polémiques de Mme Traoré ne lui permettent plus d’être reçue dans les établissements”. »
Ainsi, les élèves du lycée (Jurassic) Parks sauront qui est Rosa, mais ne sauront plus qui est Colbert. Un Jean-Baptiste qui sera l’homme fort de Louis XIV, un visionnaire qui mettra la France sur les rails du développement industriel et commercial. Il mettra aussi en place le Code noir, ce qui à l’époque n’était un scandale pour personne en France, et c’est ce qui lui est reproché aujourd’hui.
Colbert, né le 29 août 1619, a donc 400 ans tout rond aujourd’hui, et il doit se cacher quelque part, comme Ghislaine Maxwell, pour ne pas avoir à répondre de ses crimes racistes datant d’un presque demi-millénaire. Si vous croisez cet homme, appelez la juge suprême Assa Traoré, subventionnée par une officine rothschildienne. Car c’est elle qui fait la justice aujourd’hui en France.
Quant aux Républicains du Conseil régional de la région Grand Est, qui tremblent devant l’antiracisme, c’est-à-dire l’accusation potentielle de racisme, on peut dire qu’ils ont perdu tout honneur ! On comprend pourquoi ce parti de la droite non nationale, soumis à toutes les forces du Marché et à tous les lobbies, s’est effondré lors des dernières grandes élections. Pour info, le président de la région n’est autre que Jean Rottner, dont le Conseil organise des voyages vers l’Est :
« En cette période marquée par une résurgence d’actes antisémites, la 15e édition du Mois de l’Autre se veut résolument engagée et encourage lycéens et apprentis à mener une réflexion autour du rôle que jouent les réseaux sociaux, à l’heure où racisme et antisémitisme s’intensifient sur le territoire français. »
Plus jamais ça !
Heureusement, tout le monde n’est pas d’accord avec la racialisation et la culpabilisation éternelle de la France.
Héros nationaliste malgré lui
Stéphane Bern va sûrement se faire traiter rétroactivement de raciste (dans 400 ans) et les lycées à son nom seront débaptisés pour prendre le nom de lycée Assa Traoré, mais il devient, en étant simplement un amoureux de la France, un ennemi de l’antiracisme débilitant qui règne dans les médias, la culture et l’éducation. Il en faut peu !
Un jour, quand les Français auront retrouvé leur honneur, leur fierté et leur indépendance, il débaptiseront le lycée Rosa Parks pour le ré-appeler Jean-Baptiste Colbert. La démagogie n’apporte rien, ou alors juste un répit provisoire. À quand la révolte des élèves contre l’antiracisme avilisseur ?
Vive le Roi ! Aux chiottes la République pourrie par les lobbies !
Bonus : Jean Rottner pète les plombs
C’est Ouest-France qui relaie la colère du débaptiseur :
« Le président (LR) de la région Grand Est Jean Rottner a annoncé mercredi 24 juin avoir déposé plainte à la suite d’un déferlement de commentaires diffamatoires sur les réseaux sociaux et dans des médias, orchestrés selon lui par le RN, liés à la décision de baptiser un lycée Rosa-Parks.
Jean Rottner ne peut admettre, qu’il puisse être, comme l’ensemble de ses collègues et des services de la Région, cloué au pilori par une campagne haineuse initiée par le Rassemblement National et reprise, de manière souvent erronée, par les médias locaux ou nationaux, selon un communiqué diffusé mercredi soir par la Région.
Le président du Grand Est indique avoir déposé une dizaine de plaintes, visant des médias et des personnes physiques ayant outrageusement dépassé les bornes acceptables du débat politique. »
Et remplacer Colbert par Rosa, ce n’est pas dépasser les bornes, insulter la France, son histoire et son souverainisme ? Évidemment, la séance au Conseil régional lors du vote a été houleuse. La Région a donc pondu un communiqué, accusant le Rassemblement national :
« Quelques secondes après le vote en séance et l’intervention, virulente et minutieusement préparée d’une élue du Rassemblement National par ailleurs candidate aux élections municipales à Metz (Françoise Grolet, qui a recueilli 11,79 % des voix au premier tour, NDLR), une campagne orchestrée par le Parti d’extrême Droite et ses affidés s’est abattue sur les réseaux sociaux et dans certains médias avec des propos inacceptables tant à l’encontre du Président de la Région, intuitu personae, que des élus et de l’Institution Régionale. »
Maintenant, dès qu’on défend la France, on est d’extrême droite. C’est bon à savoir. Quant à ceux d’en face, ils sont socialo-sionistes, même les élus de droite, qui ont tout renié !