La tentative d’immolation par le feu de Mohammed Bouaziz, jeune diplômé sans emploi, le 17 décembre à Sidi Bouzid a provoqué une vague de contestation. Depuis lors, ce mouvement s’est étendu au reste de la Tunisie, constate El Watan.
Chômage endémique, injustice sociale, pouvoir d’achat érodé, répression... les Tunisiens n’en peuvent plus et le font savoir de la manière la plus forte. Le centre de Tunis, la capitale, a été investi le 27 décembre 2010 par des centaines de manifestants qui ont bravé la menace policière.
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