« Comme beaucoup d’autres, Sandrine Rousseau s’est rendue dans la maison de Gérard Miller, cet hôtel particulier caché au fond d’une cour près de la place de la Nation à Paris. "C’est même un petit château sur trois étages. C’est somptueux !" raconte Julien qui a aussi fréquenté ces soirées organisées par le psychanalyste mélenchoniste. "Il est le même qu’à la télé. Très théâtral, d’une extrême politesse, glissant en permanence des références à Mao. Dans ce décor de grand bourgeois, il s’est fabriqué un personnage de dandy d’extrême-gauche", décrit-il. »
On a chopé ça sur Facebook et c’est probablement de la désinformation, puisque Gérard (Miller, pas Depardieu) est de gauche, et qu’à gauche, par solidarité avec les pauvres et les damnés de la terre, on vit chichement, on a une morale, on se sacrifie pour ceux qui ont eu moins de chance dans la vie.
Sauf que le Miller a un bel hôtel particulier où se bousculait le tout-Paris de gauche, de la télé, de la production et de la politique. Une maison achetée grâce aux droits d’auteur glanés dans OATE, On a tout essayé, alors qu’il n’était pas humoriste mais qu’il entendait bien se faire payer, au mot près, ses prestations dans l’équipe de Ruquier.
C’était le commissaire politique de l’émission, il avait tous les droits, même celui de prendre des droits d’auteur sans en avoir le droit. C’est ça, l’influence, les gars.
Comme c'est étonnant. Sandrine Rousseau n'a rien commenté sur Gérard Miller...
Ah ben oui elle est amie avec la fille...
Et c'est assez ironique de voir la fille parler des violences sexuelles.. #gérardmiller pic.twitter.com/XGEDXTeyVQ— Chat Teigne OO_̅_̅_̅_̅_̅_̅_̅̅(̅_̅) (@Chat___Teigne) February 1, 2024
« Je l’ai croisé une ou deux fois, peut-être plus. (...) Je suis allée deux ou trois fois chez lui », dont une fois pour répéter une pièce mise en scène en scène par Coralie Miller. (Sardine dans le magazine Elle)
Première victime collatérale de l’effondrement de la tour Miller, c’est notre pauvre Sardine, qui ne sait plus comment se sortir du pétrin. Dans ces cas-là, il faut avouer tout de suite, et la meute journalistique avide de sang saute sur une autre victime, qui elle va se défendre, et finir à terre.
Mais Sardine, qui est copine avec la fille Miller, joue les ignorantes indignées, donc les lâcheuses, alors qu’il fallait pas. Quand on se fait prendre la main dans le pot de confiote, soit on avoue, piteusement, en attendant une petite raclée, soit on se défend en balançant le pot à la gueule des lyncheurs, qui vont répondre beaucoup plus violemment. Sardine a choisi la solution 2. Pour elle, c’est mort.
Sandrine Rousseau (@sandrousseau) sur l'affaire Gérard Miller : "Quand j'ai lu cet article, j'ai été non seulement déçue, mais aussi très en colère" pic.twitter.com/AZnzYQ0kEP
— BFMTV (@BFMTV) February 14, 2024
Depuis, Sardine s’est repositionnée dans la case des victimes. Le statut idéal pour ne plus avoir besoin de se défendre. Elle aussi est une victime de Gérard Miller, qui l’a « totalement » trahie. Décidément, « on ne peut compter sur aucun homme », sauf peut-être les hommes Lego que l’on monte soi-même…
Franchement, cette période française prérévolutionnaire a de bons côtés : la gauche caviar s’effondre, mais il y a un dommage collatéral : la droite sionarde reprend du poil de la bête. La seule limite de cette prise de pouvoir profond, c’est le génocide à Gaza en cours, qui n’était pas prévu au programme.
Eugénie Bastié, sur la déclaration de Sandrine Rousseau au sujet de Gérard Miller : « Sandrine Rousseau est représentative d’un post-féminisme qui n’hésite pas à pratiquer l’amalgame qu’il dénonce sur plein d’autres sujets », dans #Punchline pic.twitter.com/48NGDu79mf
— CNEWS (@CNEWS) February 15, 2024
Les amis de Goldnadel et Zemmour avaient battu la gauche idéologiquement, c’était pas vraiment un combat équitable tant les gauchistes étaient nuls, ne sachant pas se battre, habitués qu’ils étaient à dominer sans opposition. Malheureusement, si l’on peut dire, pour GoldaZem, les nazis de Tel-Aviv ont complètement pété les plombs, probablement sous l’influence de rabbins dingos, qui croient aux écritures « divines ».
Ainsi, et la gauche caviar et la droite sionarde prennent cher. On n’ignore pas que la chute de Miller arrange les affaires de la droite, qui vise au premier chef Mélenchon, mais dans notre très nauséabonde République, les pourris tombent toujours pour de mauvaises raisons. Les vraies sont ainsi dire souvent indicibles. Jack Lang, par exemple, s’il tombe un jour, ce sera probablement pour sa gestion princière de l’Institut du monde arabe.
Que ce message aille au cœur de tous les pauvres Français qui ont cru en cette gauche, en ces hommes qui leur promettaient monts et merveilles, justice de Grand Soir, et qui ont juste vécu sur la Bête, qui devient immonde dès qu’elle commence à piger l’arnaque et à se cabrer.