Les Américains émettent de « sérieux doutes » sur la réélection de Nicolas Maduro, avec 51,2 % des voix. Ils vont nous faire pleurer, eux qui ont truandé à mort leur propre élection de 2020 pour faire passer un mort-vivant, corrompu jusqu’à l’os, et qui n’a même pas pu finir son mandat. Il est remplacé par une promo canapé qui est obligée de mettre un masque.
Joe Biden isn’t the only one wearing a mask. pic.twitter.com/XGuxSSJKGb
— Stew Peters (@realstewpeters) July 26, 2024
L’Amérique « démocrate » n’a donc aucune leçon à donner sur le déroulement d’un suffrage, surtout s’il s’agit d’un ennemi, c’est-à-dire d’un pays qui résiste à l’américanisation. On a vu le résultat en France, et on comprend le peuple vénézuélien, même si tout n’est pas simple là-bas.
Carrément hitlérisé par l’AFP et France Info !
Il n’y a pas que les Amerloques, ces donneurs de leçons universels, pour critiquer la réélection de l’héritier de Chávez, la presse française n’est pas en reste. Déjà, l’image choisie par France Info nous rappelle quelque chose, ou quelqu’un... On peut appeler ça un point Godwin.
On écoute Blinken, le président américain par intérim depuis l’élection truquée du pédo sénile :
« Maintenant que le vote est terminé, il est d’une importance vitale que chaque voix soit comptée de manière juste et transparente. Nous demandons aux autorités électorales de publier le décompte détaillé des votes afin de garantir la transparence et la responsabilité. »
Si Maduro a bien dû gratter 2 ou 3 % quelque part pour gagner, les sanctions économiques que les États-Unis imposent au peuple vénézuélien pour le faire craquer, un blocus à l’origine d’une crise sociale très dure, est un acte criminel que les vassaux de l’Oncle Sam(uel) n’osent pas dénoncer. Ce n’est pas comme ça que l’Amérique va se faire aimer, ou respecter. Et les journalistes aux ordres encore moins.
France 24 a rêvé de « la fin du chavisme », s’alignant en cela sur le plan américain. Il ne vient pas à l’idée de ces désinformateurs malhonnêtes payés grassement par nos impôts d’associer les sanctions US depuis 5 ans à la crise que traverse le peuple vénézuélien et qui a poussé 7 millions d’entre eux à quitter le pays.
La collabo : « Ces sanctions d’après vous vont-elles peser sur le vote des électeurs vénézuéliens ? »