A propos de l’immigration africano-musulmane - auprès de laquelle le CRIF a d’ailleurs une position ambivalente : immigrés, oui, musulmans, non - il faut reprendre une interrogation de Jean-Marie Le Pen sur l’immigration massive de peuplement par rapport au lobby juif pro-sioniste et à la politique de l’état hébreux en ce domaine : "comment des gens qui sont incapables de vivre avec leurs propres cousins (juifs et arabes étant sémites), demandent-ils à la France de faire venir massivement des individus qui ne nous ressemblent pas ?".
D’un autre côté, Richard Prasquier - président du CRIF - appelait de ses vœux - dans un ouvrage de Pierre-André Taguieff sur la nouvelle judéophobie issue des banlieues (et d’une certaine jeunesse de gauche pro-palestienne) - un vote Front National, ce qui permettrait - je le cite - "d’inciter les jeunes arabes à se tenir tranquilles !" (je rajoute et je précise "par rapport aux juifs et à la recrudescence des actes antisémites" réels ou fantasmés, les agressions des goys, Prasquier et sa clique, eux, ils s’en tapent).
Il faudrait que le CRIF - à travers les gens qui le représentent - adopte un comportement clair, car là, ces dirigeants nagent en pleine schizophrénie ! Et malheureusement, ils ne sont pas les seuls à être dans ce cas, car beaucoup d’immigrés des anciennes colonies le sont ainsi que de nombreux français qui ont intégré le logiciel sos-racisme mais savent pertinement bien que l’immigration massive et incontrôlée plombe totalement l’économie nationale, leur pouvoir d’achat, leur bien-être, etc !
Non, les différences n’enrichissent pas (demandez à un comptable), non le mélange des couleurs ne donne pas un arc-en-ciel (idem à un peintre), et à l’image d’une entreprise qui si elle adoptait cette méthode mettrait bien vite la clé sous la porte, l’immigration ne se compose pas uniquement d’actifs mais aussi de... passifs !
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