J’aurai dit de lui que c’est un vendu, un collabo... mais le bobo est malheureusement, surtout porteur, d’une immense connerie ! Son statut, il l’a gagné dans l’ablation de ses cojones et, par l’appui des deux mains contre le mur pour sa femme au boulot...
En retour, ils bénéficient d’une qualité de vie, et jouissent d’une impression de supériorité sur les autres, qui pense qu’ils vont s’plaindre ? leurs enfants sont inscrits à tous les clubs, cachetonnés à la moindre pâleur et c’est “nounou” qui les élève... argent, temps libre, vie sociale clanique et libertinage, voilà leur gain, le gratin quoi... Dans un monde d’enculés, qui voudrait jouer les doublures franchement ?
Le bobo, ne voit pas les pals qu’on lui prépare ! Pour lui, c’est un amusement de plus auquel le convie, l’élu ! Dans ce petit univers, on jurerait que ces gens se croient invités à la table de “dieu”... Le bobo, n’a rien à défendre d’autre que ses prétendus acquis, il y a longtemps qu’il a oublié qu’il n’est qu’un péquenot à qui une famille du terroir a donné une chance... son aspiration ultime, devenir un notable de son coin !
C’est un intello des peoples magazines, un geek, un communautaire aux mêmes préférences... moins qu’un salaud, ou que la pire des putes (parce que celles-là, ça fait du bien par où ça passe), en vrai, c’est une grosse merde ; qui a vendu âme, conscience et intelligence au bénéfice d’une chimère !
Et, puisque ceux-là, aiment le caca, pourquoi ne pas les mettre dans l’ambiance artistique en leur en balançant sur leurs tronches à l’entrée du théâtre ?
Tu n’es pas mon berger à l’endroit de l’image du Christ, peut-on lire à la fin de cette mascarade, si ce n’est pas une attaque contre la foi chrétienne, qu’est-ce donc ?
Des emberlificotés diront que c’est par intégrisme religieux que nous considérons les choses sous un tel angle, oh, mais ils prendront soin de dire qu’un tel intégrisme est plus acceptable que n’importe lequel musulman... il faut toujours diviser ! Mais, où est contraint un artiste comme Dieudonné de se représenter en dehors de son théâtre, pourquoi la seule présence de M. Faurisson sur une scène, vaudrait-elle des poursuites, pourquoi la liberté d’expression et la création artistique doivent-elles s’écraser sur le mur du judaïsme ?
Une raison me vient, peut-être sommes-nous tout simplement, des spectateurs ébahis par une guerre dont nous sommes aussi, les victimes... !
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