La planète vit désormais à crédit. Calculé par le think tank américain Global Footprint Network depuis les années 1970, le Jour du dépassement ne cesse d’avancer depuis ces dix dernières années, malgré un recul observé en 2020 en raison de la baisse globale de l’activité mondiale liée à la pandémie. Cette année, la date du délai fatidique arrive un jour plus tôt que l’année dernière.
Concrètement, cela veut dire que toutes les ressources que la Terre est capable de produire en une année ont été épuisées. Cette "dette écologique" ne cesse de se creuser d’année en année avec un "jour de dépassement" qui arrive de plus en plus tôt. Selon la WWF, il faudrait à l’humanité 1,75 planète pour vivre normalement et régénérer ce que nous consommons.
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C’est n’est pas à E&R qu’on vous dira que tout va pour le mieux en matière d’environnement. Loin s’en faut. Et contrairement à ce que d’aucuns pourraient « penser », comme on peut le lire parfois dans les commentaires, si l’on s’oppose à certains points portés par les environnementalistes, ce n’est pas bêtement parce qu’ils servent les intérêts mondialistes, mais parce qu’il y a de bonnes raisons à cela, indépendamment de l’instrumentalisation qui peut en être faite.
Ainsi en va-t-il de ce concept foireux de jour du dépassement. Nous vous invitons à lire ou relire les articles en renvoi ci-dessous. Et pour ceux qui croiraient malgré tout à ces balivernes mal conçues, eh bien rassurez-vous, not’ bon gouvernement prévoit de vous mettre à contribution cet hiver, en réduisant vos dépenses énergétiques. Histoire de ressentir l’hiver du réchauffement climatique.