s’abandonne dans les bras du black renégat de l’Empire
Expliquez moi si il s’agit de la norme ou d’un récit subversif ? Puisque c’est dans ces catégories qu’on est censé réfléchir ?
Imaginons un film où votre fille adolescente rentre du collège avec un petit ami que vous retrouvez dans sa chambre à coucher. Deux possibilités : premier scénario, c’est un blanc jouant dans un groupe de punk et il a une crête d’iroquois verte. Second scénario, c’est un blanc mais c’est un rappeur dans un groupe de rap. Habiller comme un bourgeois style versaillais. Troisième scenario, c’est un rappeur noir.
Quel est le récit le plus subversif ?
Le punk aux cheveux verts n’est plus subversif...
La subversion, c’est une tentative de prise de pouvoir et la race n’est qu’un des éléments. La subversion doit être en adéquation avec le réel sinon ça s’enferme dans la fiction... pour s’ouvrir à une vérité générale, il faut percevoir une leçon de vie.... et échapper à la monotonie de la mécanique d’une histoire qui nous ai raconté.
C’est le pote qui raconte bien des histoires ou qui a des sujets captivants.. ou celui qui raconte mal ou lorsqu’on nous raconte des histoires que l’on a entendus mille fois.
Ce qu’il y a le plus important dans le récit ou vous découvrez le petit ami de votre fille, c’est qui vous êtes... Le père a sûrement lui-même été punk... la subversion d’hier ne peut être celle d’aujourd’hui... C’est la subversion de demain, la plus « terrifiante »...
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