100% d’accord avec ça , d’ailleurs j’ai des collègues qui sont totalement dans le délire que les clips ont induits pic.twitter.com/Ugdp7oMqip
— sainteté_pépé (@Saintete_pepe) September 14, 2022
On sent qu’un système touche à sa fin quand ses représentants n’ont plus le niveau. Aujourd’hui, sans exagérer, on peut dire qu’on touche le fond. Et c’est pas parce qu’on est un site politique, le premier de France, et qu’on connaît un peu la question : c’est que vraiment le niveau de nos représentants médiatico-politiques s’est effondré.
La dégénérescence mentale du Système
En réalité, il ne s’est pas effondré, c’est parce que le Système en question est devenu suffisamment idiot, fou et agressif que ses représentants, qui le représentent par définition, le sont naturellement devenus. Quand on écoute Barbier qui demande qu’on envoie des milices chez les antivax, on comprend qu’on a franchi un cap. Et lui pense que les retours logiquement un peu rudes des RS (réseaux sociaux) sont des réactions de haine : non, ce sont juste des boucliers contre la connerie, qui est une nuisance, qui plus est contagieuse.
Fin de l’abondance. pic.twitter.com/qikc6RwV5o
— Alexis Poulin (@Poulin2012) September 16, 2022
Si la direction de notre pays donne l’impression d’être une assemblée d’imbéciles, c’est parce que son plan profond échappe aux Français : en admettant que l’organisation qui noyaute l’État et les médias est là pour détruire ou changer sans espoir de retour notre pays – c’est d’ailleurs plus changer que détruire –, alors les choses deviennent plus claires, et les imbéciles se transforment en salauds, ou en escrocs, puisque ces choses ne sont jamais avouées, par définition. Quel manipulateur, quel joueur d’échecs va dévoiler sa stratégie ?
Alors il faut mentir, tout en essayant de rester crédible, rationnel. Mais ça finit toujours par foirer.
Selon l’ineffable Marlène Schiappa, la macronie, c’est l’émancipation.
Elle aurait pu dire citrouille ou tétraèdre à la place, ça n’aurait absolument rien changé parce qu’en fait la macronie, c’est un kamoulox…pic.twitter.com/r3c5juwIHr— Marcel (@realmarcel1) September 16, 2022
Cette bonne femme est obligée de raconter n’importe quoi pour sauver les fesses de son patron. C’est de bonne guerre, mais rien ne tient, et tout le monde se fout de sa gueule. La seule émancipation à laquelle on peut raccrocher la Macronie, c’est l’émancipation sexuelle, et encore, si c’est pour que tout le monde change de sexe...
Changer de sexe n’est pas une émancipation mais une opération à risques. Parfois, la greffe ne tient pas, et il y a rejet (ici du corps social).
Notre critique de Schiappa n’est pas de la grossophobie ou de la gonzessophobie, puisqu’on peut dire pareil de Runacher, qui est nettement plus mince et brillante, donc plus dangereuse pour le grand public : même ceux qui n’ont pas fait la filière scientifique à l’école savent qu’elle baratine. Avoir fait HEC, Sciences Po et l’ENA pour arriver à débiter de telles sornettes, c’est ça qu’on appelle une intelligence au service du mal.
Fille de Jean-Michel Runacher, ingénieur diplômé de l’École nationale des ponts et chaussées, dirigeant de la société pétrolière Perenco et ancien vice-président de la banque Paris Bertrand Sturdza (ou « Paris Bertrand Rothschild & Co »), et de Renée-Christine Lassave, Agnès Pannier-Runacher est née à Paris, où elle a grandi.
Après une classe préparatoire à Ipésup, Agnès Runacher sort diplômée d’HEC Paris en 1995 (cursus Grande École). Élève à Sciences Po Paris, elle intègre l’École nationale d’administration (ENA) au sein de la promotion Averroès (1998-2000). À l’ENA, elle a comme camarades de promotion Alexis Kohler, Fleur Pellerin ou encore Audrey Azoulay. À sa sortie de l’ENA en 2000, elle devient inspectrice des finances. (Wikipédia)
— VERITY France (@verity_france) September 15, 2022
Une intelligence au service du mensonge, de la manipulation, on allait dire le Diable !
Sandrine, l’allumée d’EELV, a moins de diplômes mais elle débloque tout autant, en défendant le droit à la paresse dans une France en proie au chômage de masse.
A propos des allocations Sandrine Rousseau : "Il y a un droit à la paresse".
Vraiment merci, continuez à fond dans ce niveau de bêtises et demain la gauche n’existera électoralement même plus dans ce pays.
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) September 15, 2022
Le mélange de l’intelligence et de la bêtise, c’est peut-être ce qu’on appelle la folie. Il y a la folie dure, dont on ne parle pas ici, celle de nos tristes HP, et la folie douce, celle de nos dirigeants. Mais ça fait quand même mal que la plus belle ville du monde soit dirigée par ça, même si ça n’est qu’une femme de paille.
Hablas inglés ?
Quand @Anne_Hidalgo tente de parler anglais (“a very big road around ze city, ze périphérique”), elle est aussi précise et convaincante que lorsqu’elle s’exprime en français.
Mais ça donne un sketch beaucoup plus drôle ⤵️ pic.twitter.com/stjcLIZjEC
— Jérôme Godefroy (@jeromegodefroy) September 16, 2022
Certes, ne pas savoir parler anglais n’est pas une preuve de bêtise, mais alors, pourquoi s’humilier en singeant la langue de l’Empire ?
L’Empire, aujourd’hui, c’est ce déchet :
Le sinistre biden devient érotique avec un enfant en public.... pic.twitter.com/dGt1YfB7ZN
— A__SAMEDI (@_samedi_) September 16, 2022
Vous voulez obéir à cette engeance ?
Allez, on va finir sur une jolie trouvaille.
L'Angleterre a perdu sa Reine, les États-unis ont perdu leurs Tours, mais la France a toujours son Fou.
— Soignants Militants (@SoignantsMLU) September 14, 2022