En France on condamne sans état d’âme les néo-nazis qui profanent des cimetières juifs où s’affichent comme néonazis, racistes ou antisémites notoires !Des procès sont en cours et le fantaisiste Dieudonné vient d’être condamné pour propos antisémites !
Un peu partout en Europe ou ailleurs la justice se montre sévère à l’encontre de ces individus qui ont la nostalgie du nazisme voire d’un certain culte pour Adolphe Hitler lui-même…
Et il en est de même dans tous les pays du monde où la démocratie est reine..
La question ne s’y pose même pas !
Et en Israël où même le prénom du pire tyran que l’humanité ait connu ne devrait jamais être prononcé, où les mots racisme et antisémite devraient sentir la puanteur de la charogne que la personne humaine fuit comme la peste même quand elle n’existe pas, il faudrait que l’unanimité soit le ferment de la lutte contre ces thèmes de méchanceté, de haine et d’horreur.
Un sujet infâme qui tend à ranimer le spectre de « la solution finale » et des camps de la mort. L’arrestation récente en Eretz d’une dizaine d’individus qui sont de nationalité israélienne à la faveur de la loi du retour, appliquée comme à la parade à des ressortissants de l’ex URSS, lesquels ne sont ni juifs ni tout net, a constitué le scandale des scandales en Israël, parce que jamais au grand jamais l’on eût pensé que dans ce pays-là, un jour le nazisme renaîtrait de ces cendres et viendrait provoquer l’homme jusque chez lui, dans sa chaumière et au milieu des des siens, Ou qu’il viendrait planter sa semence néfaste dans une terre qui n’en veut pas !
Et pour cause !
A telle enseigne qu’aucune loi n’existe vraiment en Israël pour juger et punir ces fauteurs de trouble d’un type nouveau et bien spécifique.
Alors maintenant que les faits sont là, évidents et de mauvais augure, que les prémices de l’innommable menacent, il faut légiférer pour traduire, juger et punir les auteurs de ces actes Déjà les langues se délient et certains responsables comme le vice-premier ministre Elie Ishay qui demande même que « la nationalité israélienne soit retirée à de tels individus » tandis que de son côté le commissaire chargé de cette enquête, Revital Almog de déclarer « Qu’il est difficile de croire que des partisans de l’idéologie nazie puissent exister en Israël, mais c’est un fait avéré. » poursuit-il.
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Un peu partout en Europe ou ailleurs la justice se montre sévère à l’encontre de ces individus qui ont la nostalgie du nazisme voire d’un certain culte pour Adolphe Hitler lui-même…
Et il en est de même dans tous les pays du monde où la démocratie est reine..
La question ne s’y pose même pas !
Et en Israël où même le prénom du pire tyran que l’humanité ait connu ne devrait jamais être prononcé, où les mots racisme et antisémite devraient sentir la puanteur de la charogne que la personne humaine fuit comme la peste même quand elle n’existe pas, il faudrait que l’unanimité soit le ferment de la lutte contre ces thèmes de méchanceté, de haine et d’horreur.
Un sujet infâme qui tend à ranimer le spectre de « la solution finale » et des camps de la mort. L’arrestation récente en Eretz d’une dizaine d’individus qui sont de nationalité israélienne à la faveur de la loi du retour, appliquée comme à la parade à des ressortissants de l’ex URSS, lesquels ne sont ni juifs ni tout net, a constitué le scandale des scandales en Israël, parce que jamais au grand jamais l’on eût pensé que dans ce pays-là, un jour le nazisme renaîtrait de ces cendres et viendrait provoquer l’homme jusque chez lui, dans sa chaumière et au milieu des des siens, Ou qu’il viendrait planter sa semence néfaste dans une terre qui n’en veut pas !
Et pour cause !
A telle enseigne qu’aucune loi n’existe vraiment en Israël pour juger et punir ces fauteurs de trouble d’un type nouveau et bien spécifique.
Alors maintenant que les faits sont là, évidents et de mauvais augure, que les prémices de l’innommable menacent, il faut légiférer pour traduire, juger et punir les auteurs de ces actes Déjà les langues se délient et certains responsables comme le vice-premier ministre Elie Ishay qui demande même que « la nationalité israélienne soit retirée à de tels individus » tandis que de son côté le commissaire chargé de cette enquête, Revital Almog de déclarer « Qu’il est difficile de croire que des partisans de l’idéologie nazie puissent exister en Israël, mais c’est un fait avéré. » poursuit-il.
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