On ne présente plus Dieudonné, qui, dans la lignée d’un Desproges, d’un Coluche, ose encore rire de tout. Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, suivi de toute la bien-pensance médiatique, s’en est amplement chargé durant ce qui a pris le nom d’« affaire Dieudonné » à l’hiver 2014.
Mais leur présentation de l’aimable et aimé « Dieudo » correspond à leur représentation du monde – manichéenne, partiale, au service d’un projet – et à celle des lobbies qui poussent à la roue pour le faire taire : la LICRA, l’UEJF, SOS Racisme et autres ligues contre la « haaaiiine ».
Dieudonné, la parole est à la défense rétablit la vérité sur un saltimbanque plein de talent qui utilise son art pour dénoncer l’indéfendable, ce politiquement correct constamment matraqué à notre peuple anesthésié : hiérarchisation de la souffrance, occupation de la Palestine, exacerbation et instrumentalisation de certains faits divers alors que d’autres, tout aussi horribles, sont passés sous silence ; racisme – osons le dire – des antiracistes adoubés par le système…
Plus qu’un humoriste, plus même qu’un polémiste, Dieudonné est un éveilleur de consciences. Si vous en doutez, si autour de vous on hésite à y croire, lisez, prêtez ou offrez cette plaidoirie en défense d’un homme de cœur et d’un véritable humaniste.
Zohra Mahi est née en 1945 en Algérie. Après des études de droit, elle devient avocate et commence sa carrière à Alger avant de venir vivre en France où elle exerce sa profession au Barreau de Paris. Elle a défendu Dieudonné lors d’un des multiples procès qui lui ont été intentés. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages, portant notamment sur les blessures de la guerre d’Algérie.