Le vaste programme d’espionnage PRISM de la NSA récemment révélé par le lanceur d’alertes Edward Snowden, qui aurait débuté dès février 2001, soit six mois avant le 11 Septembre, pourrait-il expliquer en partie l’uniformisation du positionnement des grands médias américains, voire occidentaux, sur les attentats terroristes de New York et Washington ? A-t-il permis de fournir à certains les moyens indiscrets de faire pression sur les personnages clefs du monde journalistique, politique, judiciaire US, et d’établir cette hallucinante « voix unique » sur les grands enjeux de notre époque, dont le 11 Septembre, mais aussi le cas du président syrien Bachar al-Assad, font partie ? Voici l’analyse qu’en donne la co-fondatrice (avec David Ray Griffin) du 9/11 Consensus.
Cet article étudie les liens entre les différentes interventions étrangères en Syrie, le programme de surveillance généralisé de la NSA dévoilé récemment, et toute la série d’événements qui débute par les nouveaux programmes [de surveillance] de la NSA en février 2001 – six mois avant le 11 Septembre. Ces liens sont tout à fait révélateurs.
À la mi-juin 2013, l’administration Obama a annoncé qu’elle allait armer les rebelles qui se battent contre le gouvernement syrien, expliquant que le régime de Bashar al-Assad avait « franchi la ligne rouge » en utilisant des armes chimiques – qui auraient, selon certaines estimations, fait entre 100 et 150 victimes parmi les rebelles [1].
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