Pas vraiment, son analyse tend à démontrer que depuis la conférence de Genève les Etats Unis qui se sont déja affaiblit comme puissance économique ne peuvent plus prétendre à rester « le gendarme du monde », rôle suprémaciste qu’il s’étaient octroyés après la chute soviétique et le régime mafieux d’oligarques Eltsiniens ; avant la reprise de la Russie par Poutine et son renouveau sur la scène mondiale.
Il indique qu’Obama soumis aux nécessités internes et aux limites d’influences de la sphère Amériquaine, reconnait un échec dans l’affaire Syriaine. On peut apercevoir ici une esquisse de changement politique dans l’attitude Amériquaine. Reconnaitre l’Iran comme piéce maîtresse du pulzze Moyen-Oriental est déja significatif.
S’agit-il d’un retour vers une « real-politique » ? Obama soumis à une opposition inattendue tant qu’ interieure et extérieure, ne peut plus agir comme Bush et Clinton l’avait fait. Comme dit le proverbe dit : « les faits sont têtus », et si ce changement ce produit, la politique Amériquaine devra alors admettre qu’elle ne peut plus se dissoudre dans des intérêts qui ne sont pas siennes.
Un retour donc à la réalité, et le réveil donc, risque d’être difficile.....

la stratégie est la même que celle usitée contre la Libye : on fait amis amis, on en profite pour signer quelques contrats juteux - le plus souvent au bénéfice de l’Oncle Sam-, les services secrets occidentaux infiltrent le pays, achètent la complicité de généraux et de dignitaires de l’état iranien....avant de provoquer une révolution de palais, par exemple...les iraniens doivent se garder de tomber dans le panneau et garder à l’esprit que le plus dur commence !!!! oeil de lynx et prudence de serpent, donc !